Mais Platon parle d'une république fondée sur la vertu, et nous parlons d'une monarchie. Or, dans une monarchie où, quand les charges ne se... De l'esprit des lois - Page 68by Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803Full view - About this book
| Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 892 pages
...Platon parle d'une république fondée sur la vertu. (l ' Esprit «le« Lois, I. v, ch. lî). et nous parlons d'une monarchie. Or, dans une monarchie où, quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public, l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout... | |
| Antoine Théodore marquis Du Prat - France - 1857 - 490 pages
...pour la vertu ; qu'elle destine chacun à son devoir, et rend les ordres de l'État plus permanents... Dans une monarchie où, quand les charges ne se vendroient...meilleurs sujets que le choix du Prince... Enfin la manière de s'avancer par les richesses inspire et entretient l'industrie, chose dont cette espèce... | |
| Antoine Théodore Du Prat (marq.) - 1857 - 498 pages
...qu'elle destine chacun à son devoir, et rend les ordres de l'État plus permanents... Dans une monarchio où, quand les charges ne se vendroient pas par un...meilleurs sujets que le choix du Prince... Enfin la manière de s'avancer par les richesses inspire et entretient l'industrie, chose dont cette espèce... | |
| Henri Martin - France - 1857 - 526 pages
...se vendraient pas par un réglement public, l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de même , le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prince. « K»j»rit des Lois. La question était moins entre l'hérédité et la nomination royale, qu'entre... | |
| Auguste Aubry - Bibliography - 1857 - 706 pages
...vendraient pas par un règlement public, l'in« digence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de même , le « hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prince '. » A l'égard des gens de finance , il fallait en réduire le nombre le • plus possible; n'y ayant... | |
| Henri Martin (historien français) - 1857 - 524 pages
...se vendraient pas par un règlement public, l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de même, le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prirce. » t'jprit des Lois. La question était moins entre l'hérédité et la nomination royalr,... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 676 pages
...pour conduire une république? » Mais Platon parle d'une république fondée sur la vertu, et nous parlons d'une monarchie. Or, dans une monarchie où, quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public, l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout... | |
| Charles Adrien Desmaze - 1860 - 560 pages
...vendraient pas par « Un règlement public, l'indulgence et l'avidité des « courtisans les vendraient tout de même, le hasard « donnera de meilleurs sujets que le choix du prince, « enfin, la manière de s'avancer par les richesses in« spire et entretient l'industrie, chose dont cette espèce... | |
| Gabriel Sénac de Meilhan - France - 1862 - 520 pages
...ne se vendraient pas par un règlement publie, l'indigence ou l'avidité des courtisans les vendrait tout de même, le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du Prince ; enfin la manière de s'avancer par les richesses, inspire et entretient l'industrie, chose dontccttu espèce... | |
| Maurice Block - Political science - 1864 - 1194 pages
...'Vendraient pas par un règlement public, l'indigence et l'avidité des courtisans les un OFFICES. draient tout de même, le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prince. Enfln la manière de s'avancer par les richesses inspire et entretient l'industrie, chose dont cette... | |
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