| Marcel Braunschvig - French literature - 1926 - 864 pages
...savais quelque chose qui'me fût utile et qui fût préjudiciah'e à ma famille, je le rejetterai» de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fût...ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherai» à l'oublier, bi j« savais quelque chose utile à ma patrie et qui fût préjudiciable... | |
| Joseph Bédier, Paul Hazard - French literature - 1924 - 414 pages
...cosmopolites » qui n'aient pas été des aventuriers, classant ses devoirs avec assurance et noblesse : « Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui...rejetterais de mon esprit; si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas pour ma patrie, je chercherais à l'oublier; si je savais... | |
| Bernard Wolfer - Law - 1997 - 226 pages
...la science politique qui écrivait ces lignes deux siècles et demi avant nos débats sur l'Europe : «Si je savais quelque chose qui me fût utile, et qui fût préjudiciable à ma famille , je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas... | |
| Koula Mellos, Patrick Savidan - Philosophy - 1999 - 209 pages
...cousine, ma cousine à ma voisine, etc. » Combien semble abstraite la « pensée » de Montesquieu : Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui...chercherais à l'oublier. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma 155 patrie et préjudiciable à l'Europe et au genre humain, je le regarderais... | |
| Elie Barnavi, Paul Goossens - History - 2001 - 276 pages
...certaine unité. 6 Du cosmopolitisme au nationalisme Jacques JULLIARD Je commencerai par deux citations.« Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui...rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose d'utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l'oublier. Si je savais... | |
| Christian Godin - Art - 1997 - 778 pages
...autre, je ne la proposerais pas à mon prince, parce que je suis homme avant d'être français [...]. Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas... | |
| Valéry Laurand, Jean Terrel - Enlightenment - 2003 - 164 pages
...conception stoïcienne de Voikeiôsis, et dégage des voies nouvelles. Cosmopolitisme et oikeiôsis Si je savais quelque chose qui me fût utile, et qui fût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas... | |
| Kinvi Logossah, Jean-Michel Salmon - Economic development - 2005 - 424 pages
...éperdument vers autrui, et élevant l'autre au dessus de soit même. Montesquieu en donne une formule, « Si je savais quelque chose qui me fût utile, et qui fût préjudiciable à ma famille, je la rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose utile à ma famille et qui ne le fût pas... | |
| Ecotourism - 2006 - 490 pages
...éperdument vers autrui, et élevant l'autre au-dessus de soit même. Montesquieu en donne une formule : « Si je savais quelque chose qui me fût utile, et qui fût préjudiciable à ma famille, je la rejette47. La notion de biosphère (Vernadsky V, [1926], «Biosphera», Moscou, (trad. française,... | |
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