| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1790 - 442 pages
...générale. Mais, fi les tribunaux ne doivent pas être fixes > les jugemens doivent l'être à un tel point , qu'ils ne foient jamais qu'un texte précis de la loi. S'ils étoient une opinion particulière du juge , on vivrait dans la fociété , fans favoir précifément... | |
| Sylvester Douglas Baron Glenbervie - 1802 - 394 pages
...LORD GLENBERVtE. Maïs fi les tribunaux ne doivent pas être fixes, les jugemeni doivent l'êtr* à un tel point, qu'ils ne foient jamais qu'un texte précis de la loi. S'ils étoient une opinion particulière du juge, on vivroit dans la focicté fans fcavoir préeifément... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Political science - 1803 - 322 pages
...seroit, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont , comme nous avons dit , que la bouche qui prononce les paroles de la loi ; des êtres inanimés qui n'en peuven l modérer ni la force ni la rigueur. C'est donc la partie du corps législatif que... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1817 - 822 pages
...serait, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont, comme nous avons dit , que la bouche qui prononce les paroles de la loi; des êtres inanimés qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur, (."est donc la partie du corps législatif que... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 584 pages
...seroit, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont, comme nous avons dit, que la bouche qui prononce les paroles de la loi , des êtres inanimés (i) C'étoient des magistrats que le peuple élisoit tous les ans. (Voyez Etienne de Byzance. ) (2)... | |
| Albert Fritot - International law - 1821 - 658 pages
...serait en de certains cas trop rigoureuse ; mais les juges de la nation ne sont , comme nous avons dit , que la bouche qui prononce les paroles de la loi, des êtres inanimés qui n'en peuvent modérer ni la force, ni la rigueur » (a); et ailleurs, en parlant de la. juste proportion... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 492 pages
...seroit, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont, comme nous avons dit, que la bouche qui prononce les paroles de la loi , des êtres inanimés qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur. C'est donc la partie du corps législatif que... | |
| M. A. Macarel - Belgium - 1834 - 172 pages
...serait, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont, comme nous l'avons dit, que la bouche qui prononce les paroles de la loi , des êtres impassibles, qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur. Il faut donc qu'il y ait une des... | |
| Louis Augustin Aimé Marquet-Vasselot - Prisons - 1835 - 524 pages
...de certains cas, trop rigoureuse. Mais » les juges de la nation ne sont , comme nous l'avons dit , que la bouche » qui prononce les paroles de la loi , des êtres impassibles , qui n'en peu» vent modérer ni la force , ni la rigueur. D faut donc qu'il y ait une... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1838 - 826 pages
...serait, en de certains cas, trop rigoureuse. Mais les juges de la nation ne sont, comme nous avons dit , ion très-bonne de prêter à un autre son argent sans intérêt ; mais qui n'en peuvent modérer ni la force ni la rigueur. C'est donc la partie du corps législatif que... | |
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