| Alphonse Naus Van Daell - Franch language - 1893 - 344 pages
...fit connaitre ce que je valais reellement. Libre de tous les ornements etrangers, je me vis apprecie au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur qui me fit perdre, en un instant, 1'attention et 1'estime publiques. J'entrai tout a coup dans un neant... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1896 - 390 pages
...Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une beure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la boucbe.... | |
| Eugène Aubert - French literature - 1897 - 314 pages
...Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on... | |
| Eugène F. Bauer - French literature - 1902 - 556 pages
...d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement : libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques, car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans... | |
| Othon Goepp Guerlac - French language - 1905 - 234 pages
...valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis S apprécié au plus juste. 2 J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait...sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occa- 10 sion 8 d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais... | |
| Amédé Rougemont - French literature - 1907 - 476 pages
...Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout- à-coup dans 5 un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on... | |
| Émile Paul Toutey - 1907 - 424 pages
...Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement ; libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant * affreux. Je demeurais quelquefois une heure... | |
| Régis Michuad - French language - 1910 - 456 pages
...Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me...mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant 10 l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1912 - 462 pages
...excite l'admiration, mais aussi qui excite l'étonnement ; cf. plus bas : « l'attention et l'estime ». apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre...instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1912 - 200 pages
...thé line of thé text. I. ADJECTIVES Adjectives in thé singular, though referring to two nouns : — j'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait...perdre en un instant l'attention et l'estime publique (21. 4). Also 30. 25. The comparative used instead of thé superlative : — Paris est peutêtre la... | |
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