C'est bien une action très-bonne de prêter à «. un autre son argent sans intérêt : mais on sent « que ce ne peut être qu'un conseil de religion, « et non une loi civile. « Pour que le commerce puisse se bien faire, il « faut que l'argent ait... De l'esprit des lois - Page 104by Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803Full view - About this book
| Société agricole et industrielle de l'arrondissement de Saint-Étienne - Agriculture - 1827 - 614 pages
...terminera sans doute pas sitôt. Nous dirons avec Montesquieu : c'est une très-bonne action de prêter à un autre son argent , sans intérêt ; mais on sent...être qu'un conseil de religion et non une loi civile. L'intérêt est le loyer d'une somme prêtée. Est-il convenable que le taux en soit fixé par la loi... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1834 - 488 pages
...choses, se loue « et ne s'achète pas. * Liv. xxn. « C'est bien une action très-bonne de prêter à « un autre son argent sans intérêt : mais on sent...« soit peu considérable. S'il est trop haut, le négo« ciant, qui voit qu'il lui en coûteroit plus en in« térêts qu'il ne pourroit gagner dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1834 - 494 pages
...des choses, se loue « et ne s'achète pas. « C'est bien une action très-bonne de prêter à «. un autre son argent sans intérêt : mais on sent...« soit peu considérable. S'il est trop haut, le négo« ciant, qui voit qu'il lui en coûteroit plus en in« térêts qu'il ne pourroit gagner dans... | |
| Casimir Bonnet - Interest - 1834 - 422 pages
...action très-louable, ajoute le législateur français , que de prêter son argent sans intérêt, mais ce ne peut être qu'un conseil de religion , et non une loi civile. En effet , les institutions sociales assimilent l'argent à une propriété , qui ne diffère de la... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1834 - 492 pages
...choses, se loue « et ne s'achète pas. * Liv. xxn. « Cest bien une action très-bonne de prêter à « un autre son argent sans intérêt : mais on sent « que ce ne peift être qu'un conseil de religion , « et non une loi civile. « Pour que le commerce puisse se... | |
| Joseph Dutens - Economics - 1835 - 422 pages
...IV. DE I/IHTERÊT DE L'ARGENT. « C'est bien , dit Montesquieu , une action » très bonne de prêter son argent sans intérêt; » mais on sent que ce ne peut être qu'un con» seil de religion, et non une loi civile (1). » Ainsi que l'ouvrier qui contribue de son travail... | |
| Léon Faucher - Economics - 1856 - 722 pages
...prix des choses, se loue et ne s'achète pas. — C'est bien une action très- bonne de prêter à un autre son argent sans intérêt ; mais on sent...se bien faire, il faut que l'argent ait un prix... Si l'argent n'a point de prix, personne n'en prête, et le négociant n'entreprend rien non plus. Je... | |
| Nicolas Villiaumé - Economics - 1857 - 760 pages
...bien une action très-bonne de prêter son argent « à un autre sans intérêt, dit Montesquieu ; mais on sent « que ce ne peut être qu'un conseil de religion, et non « une loi civile3, u Le commerce ne peut se faire si l'argent n'a pas un prix ; mais il ne faut pas que ce prix... | |
| C. Tripard - Civilization, Ancient - 1858 - 654 pages
...le prix des choses, se loue et ne s'achète pas. » C'est bien une action très bonne de prêter à un autre son argent sans intérêt; mais on sent que...qu'un conseil de religion, et non une loi civile. » II est à remarquer que Montesquieu circonscrit toujours le débat dans les limites de l'intérêt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1859 - 676 pages
...est le prix des choses, se loue et ne s'achète pas'. C'est bien une action très-bonne de prêter à un autre son argent sans intérêt; mais on sent que ce ne peut être qu'un conseil de reliPOQ, et non une loi civile. Pour que le commerce puisse se bien faire , il faut que l'argent ait... | |
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