| Alexandre Rodolphe Vinet - 1852 - 486 pages
...m'entourait. Si j'étais au spectacle, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma ligure ; enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais...jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : 11 faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...m'entourait. Si j'étais au spectacle, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfm jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient jamais sortis de leur chambre qui disaient entre eux : ll faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1856 - 488 pages
...mille couleurs qui m'entourait. Si j'étais au spectacle, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure. Enfin , jamais homme n'a tant été...je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...couleurs, qui m'entourait : si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin, jamais homme n'a tant été...jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : " Il faut avouer qu'il a l'air bien persan." Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1857 - 586 pages
...couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais ausitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été...jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : Il faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose admirable! je trouvais de mes portraits partout;... | |
| Gabriel H. Aubertin - French language - 1861 - 506 pages
...employé, et il est seul employé aujourd'hui : «Je ne suis point sortie de ma chambre. SÉVIG. « Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient...presque jamais sortis de leur chambre qui disaient etc. MONTESQ. « J'en suis sorti de bonne heure (de la carrière d'auteur). I. JACQ. « Ayant appris... | |
| William Ireland Knapp - French language - 1863 - 500 pages
...je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a été tant vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des...Je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas... | |
| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure ; enfin jamais (391.) homme n'a été tant vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des...Je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplier dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait du ne m'avoir pas... | |
| French examination papers - 1863 - 282 pages
...mille couleurs, qui m'entourait. Si j'etais au spectacle , je voyais ausitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre les gens qui n'étaient jamais sortis de leur chambre , qui disaient entré eux : il faut avouer qu'il... | |
| Edward A. Oppen - French language - 1864 - 344 pages
...couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été...jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : " Il faut avouer qu'il a l'air bien persan." Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout... | |
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