Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on se doit à soi-même : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en distingue. De l'esprit des lois - Page 27by Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803Full view - About this book
| Jacques Pateau - Corporate culture - 1998 - 260 pages
...préjugé, il dépend moins de ce que l'on doit aux autres que de ce que l'on doit à soimême, il n 'est pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens que ce qui nous en distingue170. " 166 Troeltsch, E., 1925, p. 97 167ibid.,p. 94 168 ibid., p. 97 169 D'Iribarne, Ph.,... | |
| 1798 - 428 pages
...nécessaires dans les républiques. Dans les, monarchies , les lois suppléent aux vertus ; celles qu'on y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux...autres que ce que l'on se doit à soi-même : elles tendent moins à nous rapprocher de nos concitoyens, qu'à nous en distinguer. Mais si le gouvernement... | |
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