CHASTEL (Jacques du), évêque de Soissons. Sa mort volontaire, 180. CHASTILLON (l'amiral de). Voy. COLIGNY. Châtiments. Pourquoi ne devraient pas être infligés par des gens en colère, 368. CHELONIS, fille et femme de rois de Sparte. Sa tendresse et sa générosité, 577. Cheval. Chevaux destriers; pourquoi ainsi nommés, 145. Chevaux à changer au milieu de la course, ibid. Chevaux des Mamelucks fort adroits, 146. Du cheval d'Alexandre et de celui de César, ib. Aller à cheval, exercice très-salutaire, ibid. Gens de cheval; à quelle occasion les généraux romains leur ordonnaient de mettre pied à terre dans un combat, ibid. Combats à cheval; quels en étaient les inconvénients, ibid. et 147. Les Massyliens se servaient de leurs chevaux sans selle et sans bride, 148. Chevaux farouches des Assyriens, ibid. Le sang et l'urine des chevaux dont on s'est abreuvé dans un cas de nécessité, ibid. Chevaux autant estimés et respectés des Américains que les Espagnols, 149. Chevaux éventrés pour se garantir du froid, ibid. Chevaux tondus pour être menés en triomphe, ibid. Adresse surprenante d'un homme à cheval, 150. Autres exemples du même genre, ibid. Chèvres. S'affectionnent pour les enfants qu'elles nourrissent de leur lait, 199. Chien. Animal capable de raison, 231. Chien qui contrefait le mort, 232. Chien qui trouve le moyen de tirer de l'huile du fond d'une cruche, 233. Chiens dressés à combattre dans les armées, 234. Chiens de chasse connaissent quel est le meilleur de leurs petits, 236. Chiens plus fidèles que les hommes, 239. Chien des Indes, d'une magnanimité extraordinaire, 241. CHILON. Précepte de lui, qui ne s'applique qu'aux amitiés communes, 85. CHINE (la). Il y a dans ce royaume des officiers établis pour récompenser les bonnes actions, aussi bien que pour punir les mauvaises, 561. CHIRON. Pourquoi refusa l'immortalité, 35. CHRÉTIENS. Pourquoi ne doivent point autoriser leur religion par les événements, 102. Leur zèle plein d'injustice et de fureur, 221. Sur quoi est fondée la profession qu'ils font de leur religion, 222. Christianisme. Quelle est la marque du vrai christia- CHRYSIPPE. Combien il aimait à charger ses livres de ci- CIMBER, un des conspirateurs contre César : ce qu'il dit CINEAS, conseiller de Pyrrhus. Comment il réprime la vaine ambition de ce prince, 136. CINNA. Sa conjuration contre Auguste, et clémence de celui-ci, 50 et suiv. CIPPUS. Comment il lui vint des cornes au front, 36. CLEANTHES. Opinion peu déterminée qu'il avait sur la na- CLÉOMÈNES III. Attend la dernière extrémité pour se dep- CLIMACIDES, femmes de Syrie. Quel était leur office, 230. CLODOMIRE, roi d'Aquitaine. Par son opiniâtreté à poursuivre son ennemi vaincu, il perd la vie, 143. CLOVIS. Quel salaire obtinrent de lui trois esclaves qui Coches. De quel usage ils ont été dans la guerre, 468. COELIUS, l'orateur. S'emporte contre un homme qui, COLIGNY (Gaspard de), seigneur de Chastillon-sur- Colléges, sévèrement jugés par Montaigne, 72. Cruautés Combattre à l'épée et à la cape, usage pratiqué par les Comédiens, qui pleuraient encore au sortir du théâtre, où COMINES (Philippe de). Jugement qu'en fait Montaigne, Conférence. Son utilité, 480. Exercice plus avantageux Conjurations. S'il est dangereux de les prévenir par des turelles, 273. Jusqu'où peut atteindre l'humaine connais- CONRAD, marquis de Montferrat, 366. CONRAD III. Comment il fut réconcilié avec Guelphe, son Conscience. Sa force, 182. Ne laisse pas le crime long- Conseils. Ils sont indépendants des événements, 421. Converser. Combien il est utile de savoir converser fami- COSSITIUS (Lucius). De femme, changé en homme, 36. Couardise. Voyez Poltronnerie. Coutume. Sa force, 41 et suiv. Étranges impressions CRASSUS (Publius). Pourquoi fait donner le fouet à un CRATES. Sa réponse à celui qui lui demandait jusques à CRÉTOIS. Imprécations qu'ils faisaient contre ceux qu'ils Crime. La peine naît avec lui, 182. Criminels. Livrés aux médecins pour être anatomisés en Croyants. Si la multitude des croyants est une bonne preuve Cruauté extrême, 216. Conséquences de la cruauté qu'on Cuisines portatives en usage chez les Romains, 151. Curiosité, passion avide et gourmande de nouvelles, Cyniques. Appelaient vice, de n'oser faire à découvert ce CYRUS. Défense qu'il fit à ses enfants de voir et de toucher CYRUS le jeune. Pourquoi il se préférait à son frère Ar- D. DAMINDAS, Lacédémonien. Sa généreuse réponse à quel DANDAMIS, sage Indien. Ce qu'il blåmait dans Socrate, DARIUS. Proposition qu'il fait à des Indiens qui mangeaient Défauts. Raisons que nous avons tous de supporter les Délibération. Doit précéder nos engagements dans les af- Démades, Athénien. Jugement qu'il prononce contre ur DÉMOCRITE. Comparé avec Héraclite; pourquoi lui est prés DENISOT (Nicolas), poëte moins connu par ce nom que DENYS. Voyez DIONYSIUS. Désir. S'accroit par la difficulté d'obtenir une chose, 315. Crocodile. Quel secours il reçoit du roitelet, et quels égards DICEARCHUS. Ce qu'il pensait de notre âme, 276. il a pour lui, 241. CROESUS. Acte barbare de ce prince, 361. DIEU. Les hommes ne doivent pas l'invoquer indifférem- quand on le prie, 160. Prier Dieu seulement par coutume, en quoi blàmable, ibid. Le nom de Dieu ne doit pas entrer dans nos discours ordinaires, 162, 163. Dieu doit être prié rarement, et pourquoi, 163. Dieu se fait connaître par ses ouvrages visibles; ce qui devrait nous y attacher solidement, 223. Sa nature ne doit point être recherchée trop curieusement par l'homme, 252. A quoi se réduisent nos notions de la Divinité, ibid. et suiv. Idées que les histoires païennes nous donnent de Dieu, 260. Diverses opinions des philosophes sur la nature de Dieu, 261 et suiv. Des hommes en faire des dieux, c'est la dernière des extravagances, 262. Il est ridicule de raisonner de Dieu par comparaison à l'homme, 264; et de juger du pouvoir et des perfections de Dieu par rapport à nos conceptions et par rapport à nous, 265. Arguments que la philosophie a imaginés pour et contre une Divinité, également frivoles, 267 et suiv. Dieu seul a une substance réelle et constante, 310. Comment son nom peut être accru, 318. Dieux qui épousent les querelles des hommes, 271. Dieux étrangers bannis par les Cauniens, ibid. Puissance des dieux bornée à certaines choses, ibid. Dieux chétifs et populaires, 272. DIOCLÉTIEN. Pourquoi il ne voulut point reprendre le gou vernement de l'empire, auquel il avait renoncé, 136. DIODORUS, le dialecticien. Sa mort soudaine causée par la honte, 5. DIOGENE le cynique. Comment il se moquait des grammairiens, des musiciens et des orateurs, 58. Pourquoi s'appliquait à la philosophie, 74. Comment il en usait avec ses amis quand il avait besoin d'argent, 85. Diogène plus mordant que Timon, 153, 154. Sa réponse à ses parents qui voulaient le racheter de l'esclavage, 231. Impudence de ce philosophe, 301. Raillé sur ce qu'en plein hiver il embrassait tout nu une statue de neige, 530. DIOGÈNE LAERCE. Ce qu'en jugeait Montaigne, 208. DIOMEDON, capitaine athénien. Condamné injustement à la mort, prie pour ses juges, 8. DIONYSIUS le père, tyran de Syracuse. Sa cruauté au siége de Rhége, 2. Grand chef de guerre, voulut encore s'illustrer par la poésie, 23. Conseil qu'il reçut pour se mettre à l'abri des conjurations, 54. Comment il traita un Syracusain qui tenait ses richesses cachées dans la terre, 129. Sa poésie méprisée aux jeux olympiques, 327. Quelle fut la cause de sa mort, ibid. et suiv. Pourquoi il condamna Philoxène aux carrières, et Platon à être vendu esclave, 479. DIOSCORIDE, île de la mer Rouge. Habitée par des chrétiens d'un genre tout particulier, 162. Disputes mal conduites. Mauvais effets qu'elles produi sent, 482. C'est l'ordre et la conduite qui donnent du prix à la dispute, 483. Les disputes sont infinies parmi les hommes, et ne roulent la plupart que sur des mots, 559. Dissimulation. Inconvénients dont ce vice est accompagné, 333,334. Diversion. Consoler par diversion, de quelle utilité, 429. Cette voie utilement employée dans la guerre et les négociations, 430. Est une recette utile aux maladies de l'âme, ibid. et en particulier contre l'amour, 432. Divination. Son étrange origine, 18. Quelles sont les voies naturelles qui y conduisent, 291. Divorce. Si, par l'interdiction du divorce, on a resserré les nœuds du mariage, 317. MONTAIGNE. Doctrine nouvelle. Pourquoi on doit s'en défier, selon Montaigne, 292. Dogmatistes. A quoi se réduit leur profession, 256. Dormir. Sommeil profond de grands personnages dans leurs plus importantes affaires, 138. Nations où les hommes dorment et veillent par demi-années, 139. Douaire. Gros douaire est la ruine des familles, 198. Douleur. Le pire accident de notre être; comment peut être adoucie, 123. Plusieurs exemples de fermeté dans la douleur, 124 et suiv. Opinion de la douleur, sur quoi fondée, 130. N'est pas toujours à fuir, 249. Tient à la volupté par un bout, 347. Plaisant moyen de la divertir, 434. DREUX (bataille de). Ses accidents les plus remarquables, 139. Drogues médicinales. Forfanterie employée dans leur choix et leurs doses, 398. Drogues odoriférantes. Mêlées avec les viandes, 159. DRUSUS (Livius). Ce qu'il dit d'un architecte qui lui offrait de disposer sa maison de telle sorte que ses voisins n'y auraient aucune vue, 417. Duels. C'est par lâcheté qu'on y a introduit des seconds, des tiers, etc. 357. Histoire d'un duel entre des Français à Rome, 358. DURAS (madame de). Fin de chapitre adressée à cette dame, 405 et suiv. E. Échecs. Quel jugement Montaigne faisait du jeu des échecs, 153. Ce jeu peut nous aider à nous connaitre nousmêmes, ibid. Écrits obscurs. Trouvent des interprètes qui leur font honneur, 301. Écriture sainte. S'il faut la mettre entre les mains du petit peuple, 161; et la traduire en toutes sortes d'idiomes, ibid. Écrivains. Pourquoi les écrivains ineptes devraient être réprimés par les lois, 492. ÉDOUARD Ier, roi d'Angleterre. Pourquoi il veut que ses os soient portés dans l'armée de son fils, lorsqu'il marchera contre les Écossais, 6. ÉDOUARD III, roi d'Angleterre. Pourquoi, à la bataille de Crécy, il ne veut pas envoyer du secours au prince de Galles, 131. Ce qu'il disait de Charles V, roi de France, 349. Pourquoi, en faisant une paix générale avec la France, il ne voulut pas terminer le différend du duché de Bretagne, 352. ÉDOUARD, prince de Galles, fils du précédent. Comment sa colère fut apaisée en Guienne par la valeur de trois gentilshommes français, 1. Education des enfants. Ouvrage tout plein de difficultés, 63 et suiv. Éducation des enfants doit être conduite sans violence, 72. Effets d'une bonne éducation, 341. L'éducation fortifie les inclinations naturelles, loin de les changer, 418. Effets. Un même effet produit par deux causes directement contraires, 157. Raisons opposées d'un même effet, 541. ÉGINARD, chancelier de Charlemagne, 210. EGMONT (Lamoral, comte d'), 12. Équillettes ou aiguillettes. D'où procède ce qu'on a nommé nouement d'équillettes, 37. Mal d'imagination, guéri par un moyen fondé sur le même principe, ibid. ÉGYPTE. Serment des juges d'Égypte, 411. Pourquoi l'on y 40 ordon.a, par une loi expresse, que les corps des belles | Enfant monstrueux. Sa description, 366, 367. et jeunes femmes seraient gardés trois jours, avant que d'être mis entre les mains de ceux qui devaient les embaumer, 458. ÉGYPTIENS. Comment, au milieu de leurs festins, rappelaient aux conviés Fidée de la mort, 32. Pourquoi ils avaient le crâne plus dur que les Perses, 107. Les Egyptiens offraient à leurs dieux des pourceaux en figure, 216. Adoraient dans les animaux quelque image des facultés divines, 217; et portaient le deuil à leur trépas, 218. Leur prudence impudente au sujet de leurs dieux, 262. Éléphants. Dressés à danser au son de la voix, 233. Subtilité et pénétration de ces animaux, ibid. Si les éléphants ont quelque sentiment de religion, 234. Éléphant rival d'Aristophane le grammairien, 237. Éléphant touché de repentir, 241. Eloquence. Elle a plus contribué que les armes à l'avancement des grands personnages de Rome, 154. En quel temps elle y a le plus fleuri, ibid. Ce qui constitue la véritable éloquence, 453. EMMANUEL, roi de Portugal. Edit cruel qu'il fit publier contre les Juifs, 128. Effet horrible qui en résulte, ibid. EMPEDOCLES. Pourquoi refuse la royauté que lui offraient les Agrigentins, 56. Son opinion touchant la nature de Dieu, 261; et sur celle de notre âme, 277. Empereurs romains: Pourquoi les dépenses qu'ils faisaient pour les spectacles publics étaient injustes, 471 et 472. Encens. Son usage dans les églises, sur quoi fondé, 159. Énéide. Si ce poëme et l'Orlando furioso peuvent être comparés ensemble, 206. Enfants. Le mensonge et l'opiniâtreté doivent être d'abord réprimés en eux, 15. Combien il importe de les corriger de bonne heure, 42. Il n'est pas aisé de prévoir, par leurs premières actions, ce qu'ils seront un jour, 63. Le succès de l'éducation d'un enfant dépend du choix que l'on fera de son gouverneur, 64. Utilité des voyages pour les enfants, 65. Pourquoi ils ne devraient point être élevés auprès de leurs parents, ibid. Doivent être dressés à avoir en compagnie les yeux ouverts sur tout ce qui s'y passe, 67. Il faut leur inspirer la sincérité et une honnête curiosité, ibid. En quel temps doivent être instruits dans les sciences, 69. A quoi on peut connaître qu'un enfant est bien ou mal né, 71. Un enfant est capable de recevoir les leçons de philosophie, ibid. Les enfants ne doivent pas être engagés à l'étude par sévérité, 72. Doivent être corrigés de toute humeur étrange et particulière, 73; et formés à toute sorte de coutumes, et même à pouvoir souffrir quelques excès, ibid. C'est par leurs actions qu'on doit juger des progrès qu'ils font, 74. Doivent être plus soigneusement instruits dans la connaissance des choses que dans celle des mots, ibid. Ne doivent pas s'embarrasser de débrouiller des subtilités sophistiques, 75. Socrate veut qu'on leur donne un beau nom, 140. D'où vient que leur affection envers leurs pères est moins grande que celle de leurs pères envers eux, 192. Violence dans leur éducation, condamnée, 193. Vrai moyen de se faire aimer de ses enfants, 194. L'appellation paternelle ne doit pas leur être interdite, 196. Ils doivent être admis à vivre familièrement avec leurs pères, lorsqu'ils sont d'âge pour cela, ibid. On a raison de les empêcher de contrefaire les défauts naturels, 355. Ne devraient pas être abandonnés indiscrètement au gouvernement de leurs parents, 367. Patience merveilleuse d'un enfant lacédémonien, 372. Enfantement. Douleurs qui l'accompagnent, supportées sans peine, 125. Exemple remarquable sur cela d'une dame romaine, ibid. ENGHIEN (le duc d'). Fut sur le point de se tuer, croyant avoir perdu la bataille de Serisolles, qu'il gagna, 177. Ennemi vaincu. S'il faut le poursuivre a outrance, 142 et suiv. Enthousiasme. Élève l'homme au-dessus de lui-même, 173. ÉPAMINONDAS. Sa fermeté dans une accusation qui lui fut intentée devant le peuple thébain, 2. Mot excellent de lui, 27. Comment il qualifiait les deux fameuses victoires qu'il avait remportées contre les Lacédemoniens, 201. Pourquoi il refusa des richesses légitimes, 211. Fut, selon Montaigne, le plus excellent homme dont on sit connaissance, 390. Caractères de sa valeur, de son cou rage et de son habileté dans la guerre, ibid. Son savoir, ses mœurs, sa vertu pleine partout et uniforme, ibid. Sa résolution à demeurer constamment attaché à la panvreté ce qu'en jugeait Montaigne, ibid. Preuves palpables de sa bonté, de son équité et de son humanite, ibid. Sa douceur et sa courtoisie dans le fort du combat, 391. Jusqu'où il portait la délicatesse sur l'article de la justice, 414. Épée. L'arme la plus sûre et la plus utile dans un combat, 147. : ÉPICIARIS. Accusée d'avoir trempé dans une conspiration contre Néron sa fermeté dans les tourments, 372,373. ÉPICURE. Dispense son sage de la prévoyance et du souci de l'avenir, 5. Ne mettait aucune citation dans ses écrits, 62. Mis en opposition avec Cicéron et Pline, 118, 119. Ce qu'il pensait des richesses, 127. S'il n'aurait pas préféré ses ouvrages à des enfants nés de lui, 201. Ses doganes irréligieux et délicats, sa vie dévotieuse et laborieuse, 214. Comment Épicure représentait les dieux, 261. Coa seillait de fuir la gloire, 319; et n'y était pas insensii (+ lui-même, ibid. ÉPICURIENS. Extravagance de leurs principes de physique 278. Pourquoi ils déchargeaient la Divinité de toute sorte de soins, 291. ÉPIMÉNIDE. Son sommeil durant cinquante-sept ans, 139. Eponge. Usage qu'en faisaient les anciens Romains, 151. ESCALIN (Antoine). Moins connu par ce nom, qui était son Esclave, récompensé et puni pour avoir trahi son maître, 412. Escrime. Exercice qui n'a rien de noble, 358. Est inutile ESCUT (le seigneur de l'), au siége de Reggio, 10. quelle occasion il lui donne le titre de grand homme, 586. ESPAGNOL. Fermeté d'un paysan espagnol mis à la torture la plus violente, 372. ESPAGNOLS. Avec quelle barbarie ils traitèrent les Américains, 474. Cruautés qu'ils exercèrent contre le dernier roi du Pérou, ibid. et contre celui de Mexico, 475. Boucherie qu'ils firent de leurs prisonniers de guerre, ibid. Espérance. Jusqu'où doit nous accompagner, 176. Esprit humain. Comment défini, 286. Pourquoi est inca- Esprits simples. Propres à devenir bons chrétiens, 158. Esprits médiocres, sujets à s'égarer, ibid. Grands esprits, chrétiens les plus accomplis, ibid. Quels esprits sont les mieux disposés à se soumettre à la religion et aux lois politiques, 256. Esprits communs, plus propres aux affaires que les subtils, 348. ESSENIENS. Comment ils se maintenaient sans l'usage des femmes, 456. ESTAMPES (madame d'), 210. ESTISSAC, (madame d'). Citée comme un éxemple d'affection maternelle, 191. ESTRÉE (le sieur d'), 104. État. Rien n'est plus dangereux pour un État qu'un grand changement, 498 et suiv. Exemple remarquable de la difficulté qui accompagne la réformation générale d'un État, 499. États politiques. Sujets aux mêmes accidents que le corps humain, 351 et suiv. Ne laissent pas de se soutenir, quoique fort déréglés, 499. Une vertu naïve et sincère ne peut être employée à la conduite des États corrompus, 519. Étre à soi. Combien il importe de savoir être à soi, 114. EUDAMIDAS de Corinthe. Son testament singulier, 85, 86. EUDÉMONIDAS, ou plutôt Eudamidas, fils d'Archida- EUDOXUS, philosophe pythagoricien. A quel prix il sou- EYQUEM, 323. Voy. MONTAIGNE. F. Fatalisme. Quel usage on a fait de cette doctrine, 364 et FAVORINUS. Pourquoi il se laisse vaincre dans une dispute 1. Femmes jugées incapables d'une parfaite amitié, 83. FÉRAULEZ. Bel exemple qu'il donne du mépris des richesses, 129. FICIN (Marsile), interprète de Platon, 454. Fille. Changée en homme, 36. Fille d'une vertu fort équivoque, qui se précipita de peur d'être violée par un soldat, 166 et suiv. Filles. L'éducation qu'on leur donne ne tend qu'à leur inspirer de l'amour, 444; et c'est à cette passion qu'elles sont portées naturellement, ibid. Finesse contre un ennemi. Blàmée, et avec raison, 9 et suiv. FIORAVANTI, médecin de Bologne, 399. FLORA. Quelle était l'humeur de cette fameuse courtisane, 427. 220. FLORENTINS. Dénonçaient la guerre au son d'une cloche, 10. 40. |