Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, 'les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations , la présence... L'Énéide, - Page 261by Virgil - 1804Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1761 - 336 pages
...fraicheur qui rend fcs rives encore plt;s charmantct. ferein, les doux rayons de la lune, le frémifleinent argenté dont l'eau brilloit autour de nous, le concours des plus agréables fenfations, la préfence même de cet objet chéri, rien ne pût détourner de mon cœur mille réflexions... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 444 pages
...j'étois accablé. Un Ciel ferein , la fraîcheur de l'air , les doux rayons de la lune , le frémiflement argenté dont l'eau brilloit autour de nous , le concours des plus agréables fenfations , la préfence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 366 pages
...peu je fentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel ferein , la fraî- • cheur de l'air , les doux rayons de la lune , le frémissement...brilloit autour de nous , le concours des plus agréables fensations , la présence même de cet objet chéri , rien ne pouvoit détourner de mon cœur mille... | |
| Publius Maro Vergilius - 1804 - 384 pages
...m'attristoit. » Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois » accablé. Un ciel serein , la fraîcheur de l'air , les doux » rayons de la...détourner de mon cœur mille réflexions doulou» reuses. » At non infelix animi Phœmssa; Voltaire, qui a essayé de traduire ce passage, est tombé... | |
| Virgil - 1808 - 410 pages
...m'attristoit. » Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois » accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux » rayons de la lune,...pouvoit détourner de mon cœur mille réflexions douloua reuses. » 56) PAGE 66, VERS 9. At non infelix animi Phœnissa, etc. Voltaire, qui a essayé... | |
| Jacques Delille - French literature - 1809 - 400 pages
...m'attristoit. » Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois » accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux » rayons de la lune,...agréables » sensations, la présence même de cet objet chéfi, rien ne » pouvoit détourner de mon cœur mille réflexions doulblt» reuscs. » œ > PAGE... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 670 pages
...m'attristoit. Peu-à-peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel serein , la fraîcheur de l'air,. les doux rayons de la lune..., la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 636 pages
...m'attristoit. Peu-à-peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel serein , la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune,...dont l'eau brilloit autour de nous , le concours des plus-agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur... | |
| Jacques Delille - English poetry - 1824 - 366 pages
...«accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux « rayons de la lune, le fre'missement argenté dont l'eau «brilloit autour de nous, le..., la présence même de cet objet chéri, rien ne « pou voit détourner de mon cœur mille réflexions doulou« reuses. « (55) Oculisve aut pectore... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 588 pages
...m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, 'les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations , la présence même de cet objet... | |
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