Théåtre des auteurs du second ordre ...Ménard fils, 1814 |
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... pour lui , Il n'en abusoit pas comme vous aujourd'hui . CLÉON . Ah ! vous voulez prêcher et me faire comprendre Que vous m'honorez trop en me prenant pour gendre ? 1 LE BARON . Si je vous le disois ... je 26 LE DISSIPATEUR .
... pour lui , Il n'en abusoit pas comme vous aujourd'hui . CLÉON . Ah ! vous voulez prêcher et me faire comprendre Que vous m'honorez trop en me prenant pour gendre ? 1 LE BARON . Si je vous le disois ... je 26 LE DISSIPATEUR .
Page 42
... Voulez - vous que je meure ? FINETTE , entraînant Julie . A vous permis . CLÉON , retenant Julie . FINETTE , à Julie qui s'arrête . Madame .. 1 1 Fuyez . Il vous séduit . CLÉON , à Julie . Un moment . FINETTE , à Julie , en voyant qu ...
... Voulez - vous que je meure ? FINETTE , entraînant Julie . A vous permis . CLÉON , retenant Julie . FINETTE , à Julie qui s'arrête . Madame .. 1 1 Fuyez . Il vous séduit . CLÉON , à Julie . Un moment . FINETTE , à Julie , en voyant qu ...
Page 43
... voulez que nous allions y vivre , Nous vous épouserons , et nous allons vous suivre . JULIE , à Cléon . Mais partons dès demain . FINETTE . Soit . JULIE , à Cléon . Vous ne dites mot ? CLÉON , à part . Dorante m'a trahi ; je suis pris ...
... voulez que nous allions y vivre , Nous vous épouserons , et nous allons vous suivre . JULIE , à Cléon . Mais partons dès demain . FINETTE . Soit . JULIE , à Cléon . Vous ne dites mot ? CLÉON , à part . Dorante m'a trahi ; je suis pris ...
Page 44
... voulez - vous qu'une femme se taise ? Quand je garde un secret , j'ai les pieds sur la braise . JULIE , à Cléon . Puis - je me dispenser de lui faire savoir ? .... CLÉON , l'interrompant . Si vous me déçelez , craignez mon désespoir ...
... voulez - vous qu'une femme se taise ? Quand je garde un secret , j'ai les pieds sur la braise . JULIE , à Cléon . Puis - je me dispenser de lui faire savoir ? .... CLÉON , l'interrompant . Si vous me déçelez , craignez mon désespoir ...
Page 49
... voulez vous perdre , il faut bien le souffrir . CLÉON , lui prenant la main . M'aimez - vous ? JULIE , tendrement . C'est un mal dont je ne puis guérir . CLÉON . Un mal ? ... Vous me charmez et me faites outrage . JULIE , attendrie ...
... voulez vous perdre , il faut bien le souffrir . CLÉON , lui prenant la main . M'aimez - vous ? JULIE , tendrement . C'est un mal dont je ne puis guérir . CLÉON . Un mal ? ... Vous me charmez et me faites outrage . JULIE , attendrie ...
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Common terms and phrases
Adieu aimable aime allez Allons ANGÉLIQUE ANN ARBOR ARAMINTE ARSINOÉ avez BABET beau Beausang BÉLISE bian CARTON céans charmante cher CIDALISE ciel CLEON cœur comte d'Arbois comte de Sanspair COMTESSE connois connoître cousin crois croyez dire donne Embrassez-moi esclavage esprit Est-ce êtes étoit étrivières fais femme fille FINETTE flatter FLORIMON foiblesse folle frère GÉRONTE GLÉON GORJU goût GUÉRETS homme j'ai j'aime j'en JULIE jure l'amour l'arrétant l'embrassant l'esprit L'HOMME SINGULIER l'interrompant LAFLEUR LÉANDRE LISETTE LOLIVE m'aime m'en vais Madame Mademoiselle main maître Pierre maîtresse malheur MARQUIS mieux mille écus monsieur des Masures monsieur le Baron Morbleu n'en neveu oncle Parbleu PARGUE parler paroît PASQUIN père plaire plaisir portrait pourroit raison révérence riant rien s'il vous plaît sage sais sauroit savans SCÈNE VII sentimens sera seroit singularité sœur sort souriant Trève valet veux vient voici voilà vois voulez Voulez-vous vrai yeux
Popular passages
Page 133 - O ciel ! c'est vous , Julie ! C'est vous qui m'empêchez de m'arracher la vie ! Pourquoi ce soin ? Songez qu'il ne me reste rien. JULIE. Ingrat! vous avez tout, puisque j'ai votre bien. Lorsque vous m'accusiez d'une âme intéressée , Que ne pouviez-vous lire au fond de ma pensée ! J'ai tâché de vous perdre, afin de vous sauver, Et vous ai tout ravi pour vous le conserver : A votre aveuglement c'étoit le seul remède. Vous êtes maître encor de ce que je possède : Mon cœur, mon tendre cœur...
Page 200 - ANGÉLIQUE , feignant de la surprise. Ah! c'est vous, madame la Comtesse : vous venez à propos pour me déterminer, et je Suivrai votre avis. Le système des tourbillons vous paroît-il préférable à celui de l'attraction? LA COMTESSE. ^ Oh ! je suis furieusement pour l'attraction. J'aime tout ce qui attire. • ANGÉLIQUE.
Page 186 - Voilà la preuve complète de sa bêtise. ANGÉLIQUE , feignant de pleurer. Que je suis malheureuse! Vous me méprisez, vous me désespérez; mais vous serez mon mari, ou... vous direz pourquoi. M. DES MASURES.
Page 180 - Mais on peut être une honnête fille et être une virtuose. ANGÉLIQUE. Et moi , je vous soutiens que cela ne se peut pas. Moi, une virtuose ! M.
Page 171 - Cousine incomparable , je crois que vous avez raison. Je suis en danger 'de mourir d'impatience. Je cherche partout mademoiselle votre fille; je la demande à tous les échos d'alentour; ils sont sourds à ma voix , et je ne puis trouver ma déesse. J'ai un torrent de belles pensées qui vont me suffoquer, si elle ne vient pas leur ouvrir le passage.
Page 177 - Supposons tout ce que vous croyez , il est certain cependant que vous avez un rival dangereux , qu'on croit qu'il est en ce pays-ci , et qu'il est homme à vous insulter : ainsi tenez-vous sur vos gardes. Vous rêvez ? M.
Page 79 - C'est bien dit!... La canaille, Quand je passe, m'insulte et me siffle souvent. J'entre, j'ouvre mon coffre, et puis mon cher argent Me console... J'en ai de quoi remplir deux pipes!... Outre cet argent-là, mes meubles, et mes nippes, J'ai, de revenu clair, trois cent bons mille francs, Et n'en dépense pas trois mille tous les ans. Aussi mon tas s'accroît, il se renfle ! PASQUIN.
Page 77 - L'argent est un ami toujours prompt et fidèle. Le plaisir d'entasser vaut seul tous les plaisirs. Dès qu'on sait que l'on peut remplir tous ses désirs, Qu'on en a les moyens, notre âme est satisfaite... De tout ce que je vois je puis faire l'emplette, Et cela me suffit. J'admire un beau château...
Page 17 - L'amitié n'est qu'un nom. FINETTE. Cette mode me plaît; Et de là je conclus, en dépit des scrupules, Que les honnêtes gens sont de francs ridicules. Il vous fut réservé d'éclairer ma raison. Que ne vous dois-je pas, Monsieur, pour la leçon! Mais venons donc au fait. LE COMTE.
Page 179 - Allons , allons , vous badinez ; prenons le ton sérieux'. Je vais vous étaler les. richesses de mon esprit, prodiguez-moi les trésors du vôtre. Je sais que c'est le Pactole qui roule de l'or avec ses flots.