Les races aryennes du Pérou: leur langue--leur religion--leur histoire

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A la Librairie A. Franck, F. Vieweg, propriétaire, 1871 - English language - 421 pages
 

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Popular passages

Page 218 - Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. Et la terre était sans forme et vide; les ténèbres étaient sur la face de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait sur le dessus des eaux. Et Dieu dit : Que la lumière soit; et la lumière fut.
Page 20 - ... du tamoul, plutôt que du sanscrit, du grec et de l'allemand. Mais si, après avoir fait l'étude des formes grammaticales, on passe à l'étude des racines qui ont constitué et les mots et les formes elles-mêmes, on est bientôt forcé de reconnaître que toutes ces racines se retrouvent avec le même sens , les mêmes fonctions et les mêmes dérivations que dans les langues aryennes, et principalement dans le rameau pélasgique. Le quichua appartient donc primitivement à la même famille...
Page 415 - ... el agua diferencia no mostraba de la fuente y pilar do se arrojaba. La puerta del palacio era pequeña, de cobre, pero fuerte y muy fornida: el quicio puesto, y firme en dura peña, con fuertes edificios guarnecida, seguro que del pelo y de la greña, del viejo del portero, que es crecida, pudiéramos hacer un gran cabestro; oid pues del viejazo el mal siniestro.
Page 336 - Ia mer, le soleil, les montagnes d'or; et désigne par consequent le pays situé à l'est de l'Inde, avec tous ses caractéres principaux. Aussi le même radical se rencontre-t'-il plus ou moins corrompu sur tous les points du íontinent sud-amerieain : Paraguay ou Parahuay, Veragua, Beragua ou Pera-hua, Paria, Farina, jBrazil ou Para-sil, etc.
Page 414 - Quien iay! que no tomara una tajada De la luna, aunque fuera de menguada. Pasadas estas torres se formaba Una pequeña plaza bien cuadrada, Del invierno y verano fresca estaba Que de árboles está toda poblada, Los cuales una fuente los regaba, Que en medio de la plaza está sitiada, Con cuatro caños de oro, gruesos, bellos, Que yo sé quién holgara de tenellos.
Page 415 - ... lados Encendidas, y alguna no se mata, Que están cuatro ministros diputados. Un sol bermejo más que una escarlata Allí está con sus rayos señalados, Es de oro fino el Sol allí adorado, Más al de quien él sea desechado.
Page 120 - ... pouvons expliquer cette confusion que par un vice ou une mollesse d'articulation, le plat de la langue allant frapper le milieu du palais entre les points où k et t prennent naissance, et produisant ainsi un son qui tantôt se rapproche davantage de la lettre dentale et tantôt de la lettre palatale. Mais il est curieux d'observer que, selon des juges compétents, quelque chose d'analogue se produit en français et en anglais. Des observateurs attentifs nous disent qu'au Canada les gens du peuple...
Page 414 - Centenera que describen la ciudad y sus palacios. En una gran laguna éste habitaba, En torno de la cual están poblados Los indios, que a su mano él sujetaba En pueblos por gran orden bien formados. En medio la laguna se formaba Una isla de edificios fabricados Con tal belleza y tanta hermosura Que exceden a la humana compostura. Una casa el Señor tenía labrada De piedra blanca toda hasta el techo, Con dos torres muy altas a la entrada, Había del una al otra poco trecho, Y estaba en medio...
Page 20 - Je n'ai nullement la prétention de soutenir que l'on doive retrouver dans ses formes secondaires toutes les formes correspondantes du sanscrit, du zend et des idiomes congénères. Le système grammatical du quichua diffère beaucoup du système grammatical des langues que l'on a seules jusqu'à présent appelées ariennes. Sa déclinaison contient, il est vrai, de véritables flexions qui présentent une analogie radicale avec les flexions ariennes ; mais, le plus souvent, il offre tous les caractères...
Page 20 - ... mais j'ai eu la bonne fortune de trouver récemment, dans un nouvel ouvrage de M. Ellis, l'exposé de la doctrine du linguiste montévidéen, par l'auteur lui-même. Voici comment s'exprime M. Lopez : « Quand je dis du quichua que c'est une langue aryenne, je ne voudrais pas que l'on s'exagérât par trop la portée et le sens de mes paroles. Je n'ai nullement la prétention de soutenir que l'on doive retrouver dans ses formes secondaires, toutes les formes correspondantes du sanscrit, du zend...

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