Répertoire de la littérature ancienne et moderne, Volume 1Chez Castel de Courval, 1824 - Authors |
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... tragédie de Racine : Malheureuse ! quel mot est sorti de ta bouche ! Ce vers peut se déclamer de façon que la voix éle- vée sur la première syllabe de malheureuse , s'abaisse sur les trois dernières , que la voix se relève sur la ...
... tragédie de Racine : Malheureuse ! quel mot est sorti de ta bouche ! Ce vers peut se déclamer de façon que la voix éle- vée sur la première syllabe de malheureuse , s'abaisse sur les trois dernières , que la voix se relève sur la ...
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... tragédie d'A- trée , celui - ci en trouva le style élevé , mais dur et dépourvu d'élégance . Tacite adressa dans la ... tragédie de Philoctète . Accius composa cependant une tragédie nationale sur l'expulsion des Tarquins . Il écrivit ...
... tragédie d'A- trée , celui - ci en trouva le style élevé , mais dur et dépourvu d'élégance . Tacite adressa dans la ... tragédie de Philoctète . Accius composa cependant une tragédie nationale sur l'expulsion des Tarquins . Il écrivit ...
Page 44
... tragédie de Sophocle , après s'être reconnu pour le meurtrier de son père et pour le mari de sa mère , et s'être crevé les yeux de désespoir , est encore plus malheureux lorsqu'on lui amène ses enfants . Le poète français n'a pas ' osé ...
... tragédie de Sophocle , après s'être reconnu pour le meurtrier de son père et pour le mari de sa mère , et s'être crevé les yeux de désespoir , est encore plus malheureux lorsqu'on lui amène ses enfants . Le poète français n'a pas ' osé ...
Page 45
... tragédie , il doit être plaisant dans la comédie , et d'une extrême vivacité . Pour peu qu'il soit lent , il est froid . C'est un défaut qu'on reproche à Molière . Le poème épique est susceptible d'achèvement comme le poème dramatique ...
... tragédie , il doit être plaisant dans la comédie , et d'une extrême vivacité . Pour peu qu'il soit lent , il est froid . C'est un défaut qu'on reproche à Molière . Le poème épique est susceptible d'achèvement comme le poème dramatique ...
Page 46
... tragédie , la comédie bien compo- sée , dont le noeud ne commence qu'au troisième acte , et dont le cinquième acte en entier soit em- ployé à dénouer ? Le noeud est la partie de l'intrigue qui doit occu- per le plus d'espace . C'est ...
... tragédie , la comédie bien compo- sée , dont le noeud ne commence qu'au troisième acte , et dont le cinquième acte en entier soit em- ployé à dénouer ? Le noeud est la partie de l'intrigue qui doit occu- per le plus d'espace . C'est ...
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Common terms and phrases
Accius actes âme amplification Amyot Anacréon Andrieux assez beau beauté caractère Caton César chant charme chose Cicéron ciel cœur comédie d'Aguesseau d'Alembert d'Alfieri Démosthène Dieu dieux dire discours dit-il doit donner dramatique écrivain Éléments de Littérature éloquence Énéid esprit Euripide eût fable Fontaine force François Ier génie genre gloire goût grace grec Homère homme imitation jamais juges l'action l'allégorie l'âme l'amour l'amplification l'apologue l'art l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'Iliade l'orateur laisse langue livres long-temps Longin Louis XIV malheur MARMONTEL Massillon ment mérite mœurs monde morceau mort nature naturel noble Orat orateurs ouvrage Pacuvius parler paroles passer passions patrie peint pensée père peuple Phèdre philosophie pièce plaisir Plutarque poème poésie poète qu'un quelquefois Quintilien raison rien Romains Rome saint Ambroise scène semble sentiment serait seul siècle Sophocle souvent style sublime sujet talent théâtre théâtre Italien tion traduction tragédie traits Tydée tyran vérité vertu Virgile Voltaire yeux
Popular passages
Page 326 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux.
Page 297 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 454 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son. Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
Page 330 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Page 423 - C'est que je le garde, Voilà mon dernier mot. » Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté.
Page 304 - C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins. Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché dans les feux, dans les larmes.
Page 256 - Un Loup disait que l'on l'avait volé : Un Renard, son voisin, d'assez mauvaise vie, Pour ce prétendu vol par lui fut appelé. Devant le Singe il fut plaidé, Non point par Avocats, mais par chaque Partie. Thémis n'avait point travaillé, De mémoire de Singe, à fait plus embrouillé. Le Magistrat suait en son lit de Justice. Après qu'on eut bien contesté, Répliqué, crié, tempêté, Le Juge, instruit de leur malice, Leur dit : Je vous connais de longtemps, mes amis ; Et tous deux vous...
Page 403 - Toute la question de la prééminence entre les anciens et les modernes, étant una fois bien entendue, se réduit à savoir si les arbres qui étaient autrefois dans nos campagnes étaient plus grands que ceux d'aujourd'hui. En cas qu'ils l'aient été, Homère, Platon , Démosthène , ne peuvent être égalés dans ces derniers siècles ; mais si nos arbres sont aussi grands que ceux d'autrefois, nous pouvons égaler Homère, Platon et Démosthène.
Page 297 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 318 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.