Répertoire de la littérature ancienne et moderne, Volume 1Chez Castel de Courval, 1824 - Authors |
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... goût ; mais on y admire en même temps des traits d'une haute éloquence . JUGEMENTS . I. Nous lisons l'Histoire de l'Église , de M. Godeau ; vraiment c'est une très belle chose ; quel respect cela donne pour la religion ! avec Abbadie ...
... goût ; mais on y admire en même temps des traits d'une haute éloquence . JUGEMENTS . I. Nous lisons l'Histoire de l'Église , de M. Godeau ; vraiment c'est une très belle chose ; quel respect cela donne pour la religion ! avec Abbadie ...
Page 16
... goût assez vif pour les plaisirs , sans qu'ils lui fissent négliger l'étude , et ce fut ce goût qui le détourna d'embrasser l'état ecclésiastique que voulait lui faire prendre son oncle , Cyprien Perrot , dont les sollicitations l ...
... goût assez vif pour les plaisirs , sans qu'ils lui fissent négliger l'étude , et ce fut ce goût qui le détourna d'embrasser l'état ecclésiastique que voulait lui faire prendre son oncle , Cyprien Perrot , dont les sollicitations l ...
Page 19
... goût en fait de poésie , et qui n'avait pas même l'idée de la grâce et de la beauté poétique , emploie , à décrire les charmes et la parure d'Agnès Sorel , quarante vers dans le goût de ceux - ci : On voit hors des deux bouts de ses ...
... goût en fait de poésie , et qui n'avait pas même l'idée de la grâce et de la beauté poétique , emploie , à décrire les charmes et la parure d'Agnès Sorel , quarante vers dans le goût de ceux - ci : On voit hors des deux bouts de ses ...
Page 26
... goût et la raison prescrivent . « ( ( << Le sage est ménager du temps et des paroles , surtout lorsqu'il occupe tout un peuple assemblé . Écoutez Massillon parlant de la tolérance reli- gieuse : « L'Église n'opposa jamais aux ...
... goût et la raison prescrivent . « ( ( << Le sage est ménager du temps et des paroles , surtout lorsqu'il occupe tout un peuple assemblé . Écoutez Massillon parlant de la tolérance reli- gieuse : « L'Église n'opposa jamais aux ...
Page 70
... goût , oblitérés par de fausses opinions ou par de mauvaises habitudes , ont dis- paru avec les grands talents . Si une suite de surprises et de méprises divertis- santes formaient seules la bonne comédie , l'Étourdi et le Cocu ...
... goût , oblitérés par de fausses opinions ou par de mauvaises habitudes , ont dis- paru avec les grands talents . Si une suite de surprises et de méprises divertis- santes formaient seules la bonne comédie , l'Étourdi et le Cocu ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 326 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux.
Page 297 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 454 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son. Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
Page 330 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Page 423 - C'est que je le garde, Voilà mon dernier mot. » Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté.
Page 304 - C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins. Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché dans les feux, dans les larmes.
Page 256 - Un Loup disait que l'on l'avait volé : Un Renard, son voisin, d'assez mauvaise vie, Pour ce prétendu vol par lui fut appelé. Devant le Singe il fut plaidé, Non point par Avocats, mais par chaque Partie. Thémis n'avait point travaillé, De mémoire de Singe, à fait plus embrouillé. Le Magistrat suait en son lit de Justice. Après qu'on eut bien contesté, Répliqué, crié, tempêté, Le Juge, instruit de leur malice, Leur dit : Je vous connais de longtemps, mes amis ; Et tous deux vous...
Page 403 - Toute la question de la prééminence entre les anciens et les modernes, étant una fois bien entendue, se réduit à savoir si les arbres qui étaient autrefois dans nos campagnes étaient plus grands que ceux d'aujourd'hui. En cas qu'ils l'aient été, Homère, Platon , Démosthène , ne peuvent être égalés dans ces derniers siècles ; mais si nos arbres sont aussi grands que ceux d'autrefois, nous pouvons égaler Homère, Platon et Démosthène.
Page 297 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 318 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.