| 1787 - 880 pages
...j'ai celle de le croire , je m'en fuis détaché ioudain. » L'étude a été pour moi le fouverain remède contre les dégoûts de la vie , n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de leétnre n'ait diflipt. y Dans le cours de ma vie, je n'ai trouvé de gens communément méprifés... | |
| 1788 - 330 pages
...le croire, je m'en fuis détaché foudain. „ „ L'étude a été pour moi le fouveraîn retnede contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de leûure n'ait diffipé. „ ,, Dans le cours de ma vie je n'ai trouvé des gens communément méprifés,... | |
| France - 1788 - 352 pages
...de le croire , je m'en fuis détaché foudain. ,, „ L'étude a été pour moi le fouverain remede contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de le&ure n'ait diffipé. „ ,, Dans le cours de ma vie je n'ai trouvé des gens communément méprifés... | |
| Société pour l'instruction élémentaire - 1878 - 570 pages
...poste où la nature m'a mis. L'étude a été pour moi le souverain remède contre les disgrâces dé la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure...dissipé. Je m'éveille le matin avec une joie secrète de voir la lumière; je vois la lumière avec une espèce de ravissement, et tout le reste du jour je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1817 - 822 pages
...J'ai été dans ma jeunesse assez heureux pour m'attacher à des femmes que j'ai cru qui m'aimaient ; dès que j'ai cessé de le croire , je m'en suis détaché...chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé. Je suis presque aussi content avec des sots qu'avec des gens d'esprit : car il ya peu d'hommes si ennuyeux... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...J'ai été dans rna jeunesse assez heureux pour m'attacher à des femmes que j'ai cru qui m'aimaient ; dès que j'ai cessé de le croire , je m'en suis détaché...dégoûts de la vie , n'ayant jamais eu de chagrin qu une heure de lecture n'ait dissipé. . • ., Je m'éveille le matin avec une joie secrète de voir... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 480 pages
...l'entendement, et non pas à cette âme, PORTRAIT DE MONTESQUIEU PAR LUI-MÊME. UNE personne de ma connaissance disoit : Je vais faire une assez sotte chose, -c'est...dissipé. Je m'éveille le matin avec une joie secrète de voir la lumière; je vois la lumière avec une espèce de ravissement; et tout le reste du jour je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1821 - 324 pages
...étonné de l'avoip recherché avec tant d'indifl'érence. J'ai été dans ma jeunesse assez heureux four m'attacher à des femmes que j'ai cru qui m'aimoient;...vie , n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lec^ ture n'ait dissipé. Je m'éveille le matin avec une joie secrète» de voir la lumière avec... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 580 pages
...où la nature m'a mis. Lorsque je goute un plaisir, je suis affecté ; et je suis toujours etonné de l'avoir recherché avec tant d'indifférence. J'ai...dissipé. Je m'éveille le matin avec une joie secrète de voir la lumière; je vois la lumière avec une espèce de ravissement ; et tout le reste du jour je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 560 pages
...cessé de le croire, je m'en suis détaché soudain. ; L'étude a été pour moi le souverain remède"1 contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé. -J Je m'éveille le matin avec une joie secrète de voir la lumière ; je vois la lumière avec une... | |
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