Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 3Firmin Didot Frères, Libraries, 1845 |
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Page 13
... fond de mon cœur . Un vent favorable remplissait déjà nos voiles , les rameurs fendaient les ondes écumantes , la vaste mer était couverte de navires , les mariniers poussaient des cris de joie ; les rivages d'Égypte s'enfuyaient loin ...
... fond de mon cœur . Un vent favorable remplissait déjà nos voiles , les rameurs fendaient les ondes écumantes , la vaste mer était couverte de navires , les mariniers poussaient des cris de joie ; les rivages d'Égypte s'enfuyaient loin ...
Page 14
... fond de son palais : ses amis mê- mes n'osent l'aborder , de peur de lui devenir sus- pects . Une garde terrible tient toujours des épées Quand nous arrivâmes à Tyr , je suivis le conseil de Narbal , et je reconnus la vérité de tout ce ...
... fond de son palais : ses amis mê- mes n'osent l'aborder , de peur de lui devenir sus- pects . Une garde terrible tient toujours des épées Quand nous arrivâmes à Tyr , je suivis le conseil de Narbal , et je reconnus la vérité de tout ce ...
Page 31
... fond de mon cœur : il faut que je vous quitte ; mais la mort seule pourra finir ma recon- naissance . Oui , jusqu'au dernier soupir , Télémaque aimera les Crétois , et s'intéressera à leur gloire comme à la sienne propre . A peine eus ...
... fond de mon cœur : il faut que je vous quitte ; mais la mort seule pourra finir ma recon- naissance . Oui , jusqu'au dernier soupir , Télémaque aimera les Crétois , et s'intéressera à leur gloire comme à la sienne propre . A peine eus ...
Page 34
... fond du navire . L'eau entre de tous côtés ; le navire s'enfonce ; tous nos rameurs poussent de la- | mentables cris ... fond des abîmes , la main de Jupiter pourrait vous en tirer . Fussiez - vous dans l'Olympe , voyant les astres sous ...
... fond du navire . L'eau entre de tous côtés ; le navire s'enfonce ; tous nos rameurs poussent de la- | mentables cris ... fond des abîmes , la main de Jupiter pourrait vous en tirer . Fussiez - vous dans l'Olympe , voyant les astres sous ...
Page 37
... fond de quelque bois sombre , versant des larmes amères , et poussant des cris semblables aux rugis- sements d'un lion . Il était devenu maigre ; ses yeux creux étaient pleins d'un feu dévorant : à le voir pâle , abattu et défiguré , on ...
... fond de quelque bois sombre , versant des larmes amères , et poussant des cris semblables aux rugis- sements d'un lion . Il était devenu maigre ; ses yeux creux étaient pleins d'un feu dévorant : à le voir pâle , abattu et défiguré , on ...
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Common terms and phrases
Adraste aime Aristote assez aurait autorité avaient avez besoin c'était Calypso Cambrai cher choses cœur commença conseil courage croyait cruelle d'Espagne Dauniens déesse demande Dieu dieux Diogène dire disait dit-il divin doit donner douleur Égypte enfants ennemis Épicure état êtes Fénelon fils d'Ulysse gens gloire gouvernement Grecs guerre heureux Hippias hommes Idoménée Ithaque j'ai jamais jeune joie jour juger Jupiter l'autorité l'île Laërte laisser lois madame madame Guyon main malheureux maux Ménélas ment Mentor Minerve monde monsieur mort nation Nestor paix parler paroles passer passions patrie pays peine pendant Pénélope père Périandre personne peuple Phéaciens Philoclès Philoctète philosophie Pisistrate plaisir Platon poëte pouvait prince Protésilas puissance Pylos qu'à qu'un raison rendre répondit rien rois royaume s'il sage sagesse sentiments serait servir seul Socrate Solon sortes souffrir souverain Télémaque terre tion Troie troupes trouver Ulysse vaisseau vérité vertu Voilà voulait Xénocrate yeux
Popular passages
Page 429 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti.
Page 83 - Il voulut qu'on punît sévèrement toutes les banqueroutes, parce que celles qui sont exemptes de mauvaise foi ne le sont presque jamais de témérité. En même temps il fit des règles pour faire en sorte qu'il fût aisé de ne faire jamais banqueroute.
Page 49 - Quand on parle à ces peuples des batailles sanglantes , des rapides conquêtes , des renversemens d'état qu'on voit dans les autres nations , ils ne peuvent assez s'étonner. Quoi! disent-ils, les hommes ne sont-ils pas assez mortels , sans se donner encore les uns aux autres une mort précipitée ? la vie est si courte ! et il semble qu'elle leur paraisse trop...
Page 218 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu...
Page 238 - L'eau frémit sous le Dieu qui lui donne la loi (3), Et semble avec plaisir reconnoltre son roi. Cependant le char vole, etc. Ainsi le législateur des Juifs, qui n'étoit pas un homme ordinaire, ayant fort bien conçu la grandeur et la puissance de Dieu, l'a exprimée dans toute sa dignité au commencement de ses lois, par ces paroles : Dieu dit, Que la lumière se fasse; et la lumière se fit : Que la terre se fasse; et la terre fut faite.
Page 82 - J'avoue, reprit Mentor, qu'il a fait de grandes fautes; mais cherchez dans la Grèce et dans tous les autres pays les mieux policés un roi qui n'en ait point fait d'inexcusables. Les plus grands hommes ont, dans leur tempérament et dans le caractère de leur esprit, des défauts qui les entraînent, et les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.
Page 97 - Il se regardait comme étant d'une autre nature que le reste des hommes ; les autres ne lui semblaient mis sur la terre par les dieux que pour lui plaire, pour le servir, pour prévenir tous ses désirs, et pour rapporter...
Page 93 - D'abord, je l'interrompis , en lui disant : Quoi ! Achille est mort ! Pardonne-moi, mon fils, si je trouble ton récit par les larmes que je dois à ton père.
Page 67 - C'est ainsi que les justes dieux, amateurs des hommes, qu'ils ont formés, veulent être le lien éternel de leur parfaite concorde. Tout le genre humain n'est qu'une famille dispersée sur la face de toute la terre. Tous les peuples sont frères, et doivent s'aimer comme tels.
Page 113 - J'ai cru que le reste des hommes était, à l'égard des rois , ce que les chevaux et les autres tétés de charge sont à l'égard des hommes , c'està-dire des animaux dont on ne fait cas qu'autant qu'ils rendent de services , et qu'ils donnent de commodités. Je l'ai cru ; c'est vous qui me l'avez fait croire; et maintenant je souffre tant de maux pour vous avoir imité.