Chaque muscle de mon corps frémit de douleur... Inutile!... Affreux!... Oh ! malheureuse ! si elle pouvait un instant concevoir toute la poésie, tout l'infini d'un pareil amour , elle volerait dans mes bras , dût-elle mourir de mon embrassement. J'étais... Lettres intimes - Page 64by Hector Berlioz, Charles Gounod - 1882 - 319 pagesFull view - About this book
| French periodicals - 1880 - 960 pages
...machine à vapeur. Chaque muscle de mon corps frémit de douleur... Inutile!... Affreux!... « Oh ! malheureuse! si elle pouvait un instant concevoir...les chanter aux soirées où il va habituellement. « II s'agit maintenant de les faire annoncer, mais je n'ai plus d'activité. « Mon cher ami, écrivez-moi... | |
| DEUXIEME ANNEE - 1880 - 982 pages
...tout l'infini d'un pareil amour, elle volerait dans mes bras, dût-elle mourir de mon cmbrassement. « J'étais sur le point de commencer ma grande symphonie...les faire annoncer, mais je n'ai plus d'activité. « Adieu donc; j'attends une lettre de vous dans neuf jours, si votre état maladif vous permet d'écrire.... | |
| Hector Berlioz - 1882 - 348 pages
...d'une machine à vapeur. Chaque muscle de mon corps frémit de douleur... Inutile!... Affreux!... Oh ! malheureuse ! si elle pouvait un instant concevoir...faire annoncer ; mais je n'ai plus d'activité... Mon cher ami, écrivez-moi souvent et longuement, je vous en supplie; je suis séparé de vous; que... | |
| Edmond Hippeau - Composers - 1883 - 522 pages
...symphonie (y Episode de la vie d'un (1) J. d'Ortigue. Le Balcon de l'Opéra, p. 306. (2) Mémoires, p. 106. artiste) où le développement de mon infernale passion...tête, mais je ne puis rien écrire... Attendons. » Oh ! oui, attendons, car voici un véritable coup de théâtre. Entre cette lettre et la suivante,... | |
| Julien Tiersot - 1904 - 402 pages
...moment d'une de ses crises passionnelles, écrivait en parlant de la Symphonie l'a ut as tui ne : « Je l'ai toute dans la tête, mais je ne puis rien écrire. » Lo 16 avril suivant, la rupture momentanée avec miss Smithson était consommée, et la symphonie... | |
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