Les métamorphoses, Volume 3Crapelet, 1808 |
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Page 78
... bipennim , ut pote quæ cedebat quercum gementem . 3 Ironie amère et passionnée par laquelle Erésicton fait en- tendre le contraire de ce qu'il énonce . On hésite : il s'offense : et sa main indignée 78 LES MÉTAMORPHOSES D'OVIDE ,
... bipennim , ut pote quæ cedebat quercum gementem . 3 Ironie amère et passionnée par laquelle Erésicton fait en- tendre le contraire de ce qu'il énonce . On hésite : il s'offense : et sa main indignée 78 LES MÉTAMORPHOSES D'OVIDE ,
Page 133
... tendre amour Eut gémi , soupiré de l'oubli de ses charmes : Pourquoi pleurer , dit - elle ? afin que de mes larmes Ma rivale triomphe . Elle approche . Hâtons - nous . N'attendons pas qu'elle entre au lit de mon époux . Dois - je partir ...
... tendre amour Eut gémi , soupiré de l'oubli de ses charmes : Pourquoi pleurer , dit - elle ? afin que de mes larmes Ma rivale triomphe . Elle approche . Hâtons - nous . N'attendons pas qu'elle entre au lit de mon époux . Dois - je partir ...
Page 149
... tendre que chère , A son cou suspendu souriait à sa mère . Là s'élève un lotos , dont les fleurs en bouton Se peignent , en s'ouvrant , des couleurs de Sidon . Dryope , pour son fils , en bouquet les assemble ; Et j'allais l'imiter ...
... tendre que chère , A son cou suspendu souriait à sa mère . Là s'élève un lotos , dont les fleurs en bouton Se peignent , en s'ouvrant , des couleurs de Sidon . Dryope , pour son fils , en bouquet les assemble ; Et j'allais l'imiter ...
Page 153
... tendre : Otez - le de mes bras , devenus mes rameaux ; Qu'il croisse , en se jouant , à l'ombre des lotos ; Qu'il apprenne mon nom ; qu'il plaigne ma misère , Et qu'il dise en pleurant : Cet arbre fut ma mère ! Mais qu'il craigne les ...
... tendre : Otez - le de mes bras , devenus mes rameaux ; Qu'il croisse , en se jouant , à l'ombre des lotos ; Qu'il apprenne mon nom ; qu'il plaigne ma misère , Et qu'il dise en pleurant : Cet arbre fut ma mère ! Mais qu'il craigne les ...
Page 163
... Tendre soeur de Caunus , Biblis pour son malheur L'aima comme une amante , et non comme une sœur . D'abord sans soupçonner sa flainme criminelle , Elle en nourrit long - tems la première étincelle :, Elle presse Caunus dans ses bras ...
... Tendre soeur de Caunus , Biblis pour son malheur L'aima comme une amante , et non comme une sœur . D'abord sans soupçonner sa flainme criminelle , Elle en nourrit long - tems la première étincelle :, Elle presse Caunus dans ses bras ...
Contents
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Popular passages
Page 380 - Phoebus adire potest: nebulae caligine mixtae exhalantur humo dubiaeque crepuscula lucis. non vigil ales ibi cristati cantibus oris evocat Auroram, nee voce silentia rumpunt sollicitive canes canibusve sagacior anser: non fera, non pecudes, non moti flamine rami humanaeve sonum reddunt convicia linguae.
Page 410 - Comme roi des auteurs, qu'on l'élève à l'empire, Ma bile alors s'échauffe, et je brûle d'écrire ; Et, s'il ne m'est permis de le dire au papier, J'irai creuser la terre, et, comme ce barbier, Faire dire aux roseaux par un nouvel organe : ' Midas, le roi Midas a des oreilles d'âne.
Page 380 - Est prope Cimmerios longo spelunca recessu, mons cavus, ignavi domus et penetralia Somni, quo numquam radiis oriens mediusve cadensve Phoebus adire potest : nebulae caligine mixtae 595 exhalantur humo dubiaeque crepuscula lucis.
Page 419 - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ; Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau. Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
Page 312 - Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 102 - O malheureux Phocas ! ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n'en puis trouver pour régner...
Page 197 - On le craint; tout est examiné. A d'illustres parents s'il doit son origine , La splendeur de son sort doit hâter sa ruine : Dans le vulgaire obscur si le sort l'a placé, Qu'importé qu'au hasard un sang vil soit versé? Est-ce aux rois à garder cette lente justice ? Leur sûreté souvent dépend d'un prompt supplice. N'allons point les gêner d'un soin embarrassant : Dès qu'on leur est suspect , on n'est plus innocent.
Page 319 - Je m'étais toute ma vie exercé en ce genre de poésie que nous nommons héroïque : c'est assurément le plus beau de tous, le plus fleuri, le plus susceptible d'ornements et de ces figures nobles et hardies qui font une langue à part, une langue assez charmante pour mériter qu'on l'appelle la langue des dieux.
Page 24 - Calymne, cum puer audaci coepit gaudere volatu deseruitque ducem caelique cupidine tractus altius egit iter. rapidi vicinia solis mollit odoratas, pennarum vincula, ceras; tabuerant cerae : nudos quatit ille lacertos, remigioque carens non ullas percipit auras, oraque caerulea patrium clamantia nomen excipiuntur aqua, quae nomen traxit ab illo. at pater infelix, nee iam pater, "Icare", dixit, "Icare", dixit "ubi es?
Page 300 - Prît à filer leur trame une peine éternelle; Bien loin que mon pouvoir l'empêchât de finir, Je demande un moment, et ne puis l'obtenir. Noires divinités du ténébreux empire, Dont le pouvoir s'étend sur tout ce qui respire, Rois des peuples légers, souffrez que mon amant De son triste départ me console un moment. Vous ne le perdrez point : le trésor que je pleure Ornera tôt ou tard votre sombre demeure.