Les métamorphoses, Volume 3Crapelet, 1808 |
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Page 21
... dernier pli , leur légère courbure Dans le travail de l'art imite la nature . Icare auprès de lui l'observe , et sans songer Qu'il s'amuse , en jouant , de son propre danger , Court après le duvet qu'emporte le zéphyre , De ses doigts ...
... dernier pli , leur légère courbure Dans le travail de l'art imite la nature . Icare auprès de lui l'observe , et sans songer Qu'il s'amuse , en jouant , de son propre danger , Court après le duvet qu'emporte le zéphyre , De ses doigts ...
Page 51
... dernier devoir connaissez tout le prix : Il me coûte assez cher : c'est mon sang , c'est mon fils . Que fais - je ? hélas ! je sens trembler ma main cruelle : Mes frères , pardonnez ma pitié maternelle . Oui , mon fils a commis deux ...
... dernier devoir connaissez tout le prix : Il me coûte assez cher : c'est mon sang , c'est mon fils . Que fais - je ? hélas ! je sens trembler ma main cruelle : Mes frères , pardonnez ma pitié maternelle . Oui , mon fils a commis deux ...
Page 95
... dernier bien des vivans , la terre celui des morts , l'océan celui des cadavres qui flot- tent sur les eaux , et le rivage celui des corps rejetés par les vagues ? Le parricide ne peut respirer l'air dans les courts instans de la vie qu ...
... dernier bien des vivans , la terre celui des morts , l'océan celui des cadavres qui flot- tent sur les eaux , et le rivage celui des corps rejetés par les vagues ? Le parricide ne peut respirer l'air dans les courts instans de la vie qu ...
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... dernier effort la puissante secousse L'écarte loin de moi , loin de lui me repousse . Déjà son poing fermé me presse sans repos , Me retourne , et soudain élancé sur mon dos , ( Je ne cacherai rien ; je le dis à ma honte ) Hercule me ...
... dernier effort la puissante secousse L'écarte loin de moi , loin de lui me repousse . Déjà son poing fermé me presse sans repos , Me retourne , et soudain élancé sur mon dos , ( Je ne cacherai rien ; je le dis à ma honte ) Hercule me ...
Page 127
... dernier mets , les présens de Pomone . Le jour commence à poindre au sommet des coteaux . Thésée et ses amis que lasse le repos , : Et lacerum cornu mediis caput abdidit undis . Hunc LIVRE 127 IX . La Corne d'Abondance.
... dernier mets , les présens de Pomone . Le jour commence à poindre au sommet des coteaux . Thésée et ses amis que lasse le repos , : Et lacerum cornu mediis caput abdidit undis . Hunc LIVRE 127 IX . La Corne d'Abondance.
Contents
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Popular passages
Page 380 - Phoebus adire potest: nebulae caligine mixtae exhalantur humo dubiaeque crepuscula lucis. non vigil ales ibi cristati cantibus oris evocat Auroram, nee voce silentia rumpunt sollicitive canes canibusve sagacior anser: non fera, non pecudes, non moti flamine rami humanaeve sonum reddunt convicia linguae.
Page 410 - Comme roi des auteurs, qu'on l'élève à l'empire, Ma bile alors s'échauffe, et je brûle d'écrire ; Et, s'il ne m'est permis de le dire au papier, J'irai creuser la terre, et, comme ce barbier, Faire dire aux roseaux par un nouvel organe : ' Midas, le roi Midas a des oreilles d'âne.
Page 380 - Est prope Cimmerios longo spelunca recessu, mons cavus, ignavi domus et penetralia Somni, quo numquam radiis oriens mediusve cadensve Phoebus adire potest : nebulae caligine mixtae 595 exhalantur humo dubiaeque crepuscula lucis.
Page 419 - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ; Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau. Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
Page 312 - Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 102 - O malheureux Phocas ! ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n'en puis trouver pour régner...
Page 197 - On le craint; tout est examiné. A d'illustres parents s'il doit son origine , La splendeur de son sort doit hâter sa ruine : Dans le vulgaire obscur si le sort l'a placé, Qu'importé qu'au hasard un sang vil soit versé? Est-ce aux rois à garder cette lente justice ? Leur sûreté souvent dépend d'un prompt supplice. N'allons point les gêner d'un soin embarrassant : Dès qu'on leur est suspect , on n'est plus innocent.
Page 319 - Je m'étais toute ma vie exercé en ce genre de poésie que nous nommons héroïque : c'est assurément le plus beau de tous, le plus fleuri, le plus susceptible d'ornements et de ces figures nobles et hardies qui font une langue à part, une langue assez charmante pour mériter qu'on l'appelle la langue des dieux.
Page 24 - Calymne, cum puer audaci coepit gaudere volatu deseruitque ducem caelique cupidine tractus altius egit iter. rapidi vicinia solis mollit odoratas, pennarum vincula, ceras; tabuerant cerae : nudos quatit ille lacertos, remigioque carens non ullas percipit auras, oraque caerulea patrium clamantia nomen excipiuntur aqua, quae nomen traxit ab illo. at pater infelix, nee iam pater, "Icare", dixit, "Icare", dixit "ubi es?
Page 300 - Prît à filer leur trame une peine éternelle; Bien loin que mon pouvoir l'empêchât de finir, Je demande un moment, et ne puis l'obtenir. Noires divinités du ténébreux empire, Dont le pouvoir s'étend sur tout ce qui respire, Rois des peuples légers, souffrez que mon amant De son triste départ me console un moment. Vous ne le perdrez point : le trésor que je pleure Ornera tôt ou tard votre sombre demeure.