Œuvres complètes de VirgileJ.-J. Dubochet, Le Chevalier et cie., 1845 - 704 pages |
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Page 27
... yeux , elle lui rougit le front et les tempes du jus sanglant de la mùre . Lui , riant du badinage : « Pourquoi ces nœuds , enfants ? leur dit - il . Déga- << gez - moi ; c'est assez d'avoir pu me surprendre . Les chants « que vous ...
... yeux , elle lui rougit le front et les tempes du jus sanglant de la mùre . Lui , riant du badinage : « Pourquoi ces nœuds , enfants ? leur dit - il . Déga- << gez - moi ; c'est assez d'avoir pu me surprendre . Les chants « que vous ...
Page 29
... yeux les traces va- gabondes du taureau que j'aime ; peut - être aussi que , charmé par les verts pâturages , ou que , suivant un troupeau , quelque génisse l'attire vers les étables de Gortyne . Alors il chante la jeune fille éblouie ...
... yeux les traces va- gabondes du taureau que j'aime ; peut - être aussi que , charmé par les verts pâturages , ou que , suivant un troupeau , quelque génisse l'attire vers les étables de Gortyne . Alors il chante la jeune fille éblouie ...
Page 48
... yeux de Gallus , de Gallus pour qui ma tendresse croît autant chaque jour , que chaque jour , au printemps , crois- sent les tiges verdoyantes de l'aune . Levons - nous ; l'ombre est nuisible à ceux qui chantent , l'ombre du genévrier ...
... yeux de Gallus , de Gallus pour qui ma tendresse croît autant chaque jour , que chaque jour , au printemps , crois- sent les tiges verdoyantes de l'aune . Levons - nous ; l'ombre est nuisible à ceux qui chantent , l'ombre du genévrier ...
Page 72
... yeux tant de fibres menaçantes ; par- 465 470 475 480 485 Sol tibi signa dabit . Solem quis dicere falsum Audeat ? ille etiam cæcos instare tumultus Sæpe monet , fraudemque et operta tumescere bella . Ille etiam exstincto miseratus ...
... yeux tant de fibres menaçantes ; par- 465 470 475 480 485 Sol tibi signa dabit . Solem quis dicere falsum Audeat ? ille etiam cæcos instare tumultus Sæpe monet , fraudemque et operta tumescere bella . Ille etiam exstincto miseratus ...
Page 86
... yeux , ce sont les pins , les ifs empestés , les lierres noirs , qui y crois- sent de temps en temps . 240 245 250 255 Salsa autem tellus , et quæ perhibetur amara , Frugibus infelix ( ea nec mansuescit arando , Nec Baccho genus , aut ...
... yeux , ce sont les pins , les ifs empestés , les lierres noirs , qui y crois- sent de temps en temps . 240 245 250 255 Salsa autem tellus , et quæ perhibetur amara , Frugibus infelix ( ea nec mansuescit arando , Nec Baccho genus , aut ...
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Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æthera agmina alta altis alto amor Anchise Apollon arma armes armis arva Ascagne atque bello caput carmina cieux circum clamore cœlo cœur combat corpore coursiers cruel déesse dextra Dido dieux divom Énée erat etiam Évandre fata ferro flamme fleuve flots forêts fugit genus guerre hæc Haud hinc Hunc illa ille illi Incipe infelix ingens inter ipsa ipse Jamque Junon Jupiter Juturne juventus labor Latinus Latium limina litora lumina magna main manu manus Messape mihi multa namque neque Nisus nocte numina nunc omnes omnia omnis Pallas pater pectore père Pergame porte prælia Priam primum procul quæ quam Quid quis quod quos quum rivage Rutules sacré sæpe sang sanguine Scylla sese silvis super talia tamen tantum tecta tempora terre Teucri Teucros tibi Tityre triste Troie Troyens Turnus urbem vents viri
Popular passages
Page 70 - Si tu es attentif au cours régulier du soleil et de la lune, jamais tu ne seras trompé sur le temps du lendemain , et tu ne te laisseras pas prendre a la sérénité perfide de la nuit.
Page 289 - Neque te teneo neque dicta refello : 380 i, sequere Italiam, ventis pete regna per undas. Spero equidem mediis, si quid pia numina p'ossunt, supplicia hausurum scopulis et nomine Dido saepe vocaturum. Sequar atris ignibus absens, et, cum frigida mors anima seduxerit artus, 385 omnibus umbra locis adero. Dabis, improbe, poenas. Audiam et haec Manis veniet mihi fama sub imos.
Page 158 - Samo ; hic illius arma, Hic currus fuit ; hoc regnum dea gentibus esse, Si qua fata sinant, jam tum tenditque fovetque.
Page 53 - ... la flamme pétillante : soit que la terre tire de là des forces secrètes et comme une nourriture succulente ; soit que le feu l'épure en la consumant, et que les vapeurs mauvaises s'en exhalent ; soit que la flamme élargisse ou multiplie les chemins cachés par où la sève passe, et s'insinue dans les verts tuyaux des blés ; soit qu'elle affermisse le sol, et qu'elle en resserre tellement les pores trop ouverts, que ni les pluies perçantes, ni les traits embrasés du soleil, ni le souffle...
Page 390 - TU quoque litoribus nostris, Aeneia nutrix, aeternam moriens famam, Caieta, dedisti; et nunc servat honos sedem tuus, ossaque nomen Hesperia in magna, si qua est ea gloria, signat.
Page 424 - Ecce, Sabinorum prisco de sanguine magnum Agmen agens Clausus, magnique ipse agminis instar, Claudia nunc a quo diffunditur et tribus et gens Per Latium, postquam in partem data Roma Sabinis.
Page 370 - Agamemnoniaeque phalanges, 490 ut videre virum fulgentiaque arma per umbras, ingenti trepidare metu; pars vertere terga, ceu quondam petiere rates, pars tollere vocem exiguam; inceptus clamor frustratur hiantis.
Page 452 - Enée qui avait reclamé son secours : « Illustre chef des Troyens les forces que je puis joindre aux « vôtres dans la guerre sont bien médiocres pour une cause aussi » grande que la vôtre. D'un côté le Tibre borne mes Etals ; de l'au» tre les Rutules nous ressèrent , et le bruit de leurs armes retentit
Page 33 - Apium, c'est-à-dire la môme plante que l'herba Sardoa, de Virgile. » II fait allusion au vers que le chantre de Mantoue met dans la bouche d'un de ses bergers (4) : Et moi, je veux bien te paraître plus amer que les herbes de Sardaigne : « Immo ego Sardois videar tibi amarior herbis.
Page 156 - ... dernières limites, fut appelée une seconde Babylone, et tandis que les uns la nommaient la ville éternelle, les autres se la représentaient comme un prochain exemple de la vengeance divine excitée par tant de perversité. Virgile termine ainsi ses Géorgiques : « Ma muse chantait les champs, les troupeaux et les arbres, pendant que César , grand dans la guerre , foudroyait l'Euphrate épouvanté, donnait des lois aux nations qui soupiraient après un nouveau régime, et se frayait la route...