Œuvres complètes de VirgileJ.-J. Dubochet, Le Chevalier et cie., 1845 - 704 pages |
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... monts , aux forêts , cette plainte perdue : « O cruel Alexis , tu dédaignes mes chants , tu « n'es point touché de ma peine ; à la fin tu me feras mourir . « Voici l'heure où les troupeaux cherchent l'ombre et le frais ; << où les ...
... monts , aux forêts , cette plainte perdue : « O cruel Alexis , tu dédaignes mes chants , tu « n'es point touché de ma peine ; à la fin tu me feras mourir . « Voici l'heure où les troupeaux cherchent l'ombre et le frais ; << où les ...
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... monts de Sicile ; l'été , « l'hiver , le lait nouveau ne me manque pas . Je chante les « < airs que chantait , quand il appelait ses troupeaux , Amphion « de Thèbes sur le haut Aracynthe . Je ne suis pas si affreux ; « je me suis vu ...
... monts de Sicile ; l'été , « l'hiver , le lait nouveau ne me manque pas . Je chante les « < airs que chantait , quand il appelait ses troupeaux , Amphion « de Thèbes sur le haut Aracynthe . Je ne suis pas si affreux ; « je me suis vu ...
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... monts , les forêts nous le redisent encore . C'est Daphnis qui nous apprit à atteler au char les tigres d'Armé- nie ; Daphnis qui nous apprit à conduire les chœurs de Bac- chus , à enlacer de pampres gracieux de souples baguettes ...
... monts , les forêts nous le redisent encore . C'est Daphnis qui nous apprit à atteler au char les tigres d'Armé- nie ; Daphnis qui nous apprit à conduire les chœurs de Bac- chus , à enlacer de pampres gracieux de souples baguettes ...
Page 24
... monts in- cultes eux - mêmes en poussent jusqu'aux astres des cris de joie ; les rochers même et les buissons prennent une voix pour dire « C'est un dieu , Ménalque , c'est un dieu ! » > Sois - nous 50 53 60 65 Quale sopor fessis in ...
... monts in- cultes eux - mêmes en poussent jusqu'aux astres des cris de joie ; les rochers même et les buissons prennent une voix pour dire « C'est un dieu , Ménalque , c'est un dieu ! » > Sois - nous 50 53 60 65 Quale sopor fessis in ...
Page 28
... monts inconnus . Il dit les pierres jetées par Pyrrha , le règne de Saturne , les vautours du Caucase , et le vol de Prométhée ; Hylas perdu sous l'onde , et qu'appelaient en vain ses compagnons ; Hylas , Hylas , que redemandait au loin ...
... monts inconnus . Il dit les pierres jetées par Pyrrha , le règne de Saturne , les vautours du Caucase , et le vol de Prométhée ; Hylas perdu sous l'onde , et qu'appelaient en vain ses compagnons ; Hylas , Hylas , que redemandait au loin ...
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Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æthera agmina alta altis alto amor Anchise Apollon arma armes armis arva Ascagne atque bello caput carmina cieux circum clamore cœlo cœur combat corpore coursiers cruel déesse dextra Dido dieux divom Énée erat etiam Évandre fata ferro flamme fleuve flots forêts fugit genus guerre hæc Haud hinc Hunc illa ille illi Incipe infelix ingens inter ipsa ipse Jamque Junon Jupiter Juturne juventus labor Latinus Latium limina litora lumina magna main manu manus Messape mihi multa namque neque Nisus nocte numina nunc omnes omnia omnis Pallas pater pectore père Pergame porte prælia Priam primum procul quæ quam Quid quis quod quos quum rivage Rutules sacré sæpe sang sanguine Scylla sese silvis super talia tamen tantum tecta tempora terre Teucri Teucros tibi Tityre triste Troie Troyens Turnus urbem vents viri
Popular passages
Page 70 - Si tu es attentif au cours régulier du soleil et de la lune, jamais tu ne seras trompé sur le temps du lendemain , et tu ne te laisseras pas prendre a la sérénité perfide de la nuit.
Page 289 - Neque te teneo neque dicta refello : 380 i, sequere Italiam, ventis pete regna per undas. Spero equidem mediis, si quid pia numina p'ossunt, supplicia hausurum scopulis et nomine Dido saepe vocaturum. Sequar atris ignibus absens, et, cum frigida mors anima seduxerit artus, 385 omnibus umbra locis adero. Dabis, improbe, poenas. Audiam et haec Manis veniet mihi fama sub imos.
Page 158 - Samo ; hic illius arma, Hic currus fuit ; hoc regnum dea gentibus esse, Si qua fata sinant, jam tum tenditque fovetque.
Page 53 - ... la flamme pétillante : soit que la terre tire de là des forces secrètes et comme une nourriture succulente ; soit que le feu l'épure en la consumant, et que les vapeurs mauvaises s'en exhalent ; soit que la flamme élargisse ou multiplie les chemins cachés par où la sève passe, et s'insinue dans les verts tuyaux des blés ; soit qu'elle affermisse le sol, et qu'elle en resserre tellement les pores trop ouverts, que ni les pluies perçantes, ni les traits embrasés du soleil, ni le souffle...
Page 390 - TU quoque litoribus nostris, Aeneia nutrix, aeternam moriens famam, Caieta, dedisti; et nunc servat honos sedem tuus, ossaque nomen Hesperia in magna, si qua est ea gloria, signat.
Page 424 - Ecce, Sabinorum prisco de sanguine magnum Agmen agens Clausus, magnique ipse agminis instar, Claudia nunc a quo diffunditur et tribus et gens Per Latium, postquam in partem data Roma Sabinis.
Page 370 - Agamemnoniaeque phalanges, 490 ut videre virum fulgentiaque arma per umbras, ingenti trepidare metu; pars vertere terga, ceu quondam petiere rates, pars tollere vocem exiguam; inceptus clamor frustratur hiantis.
Page 452 - Enée qui avait reclamé son secours : « Illustre chef des Troyens les forces que je puis joindre aux « vôtres dans la guerre sont bien médiocres pour une cause aussi » grande que la vôtre. D'un côté le Tibre borne mes Etals ; de l'au» tre les Rutules nous ressèrent , et le bruit de leurs armes retentit
Page 33 - Apium, c'est-à-dire la môme plante que l'herba Sardoa, de Virgile. » II fait allusion au vers que le chantre de Mantoue met dans la bouche d'un de ses bergers (4) : Et moi, je veux bien te paraître plus amer que les herbes de Sardaigne : « Immo ego Sardois videar tibi amarior herbis.
Page 156 - ... dernières limites, fut appelée une seconde Babylone, et tandis que les uns la nommaient la ville éternelle, les autres se la représentaient comme un prochain exemple de la vengeance divine excitée par tant de perversité. Virgile termine ainsi ses Géorgiques : « Ma muse chantait les champs, les troupeaux et les arbres, pendant que César , grand dans la guerre , foudroyait l'Euphrate épouvanté, donnait des lois aux nations qui soupiraient après un nouveau régime, et se frayait la route...