La littérature française au dix-huitième siècle |
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... reste plus guère que ma Paix perpétuelle ; mais son tour viendra comme aux au- tres vous n'avez donc plus besoin d'étudier mes livres . Si je les avais composés pour faire admirer mon esprit , comme tel et tel que je ne veux pas nommer ...
... reste plus guère que ma Paix perpétuelle ; mais son tour viendra comme aux au- tres vous n'avez donc plus besoin d'étudier mes livres . Si je les avais composés pour faire admirer mon esprit , comme tel et tel que je ne veux pas nommer ...
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... reste on laissa au réformateur toute liberté de publier ses mé- moires et ses projets . Le cardinal Dubois les qualifiait de Rêves d'un homme de bien , et il en parut vers 1750 an résumé sous ce titre , sans que le pouvoir en prît le ...
... reste on laissa au réformateur toute liberté de publier ses mé- moires et ses projets . Le cardinal Dubois les qualifiait de Rêves d'un homme de bien , et il en parut vers 1750 an résumé sous ce titre , sans que le pouvoir en prît le ...
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... reste - t - il donc du fameux Projet de paix per- pétuelle ? Une idée , ou plutôt un sentiment , l'horreur de la guerre , la ferme conviction que l'abominable droit de la force doit disparaître . C'est l'abbé de Saint - Pierre qui a ...
... reste - t - il donc du fameux Projet de paix per- pétuelle ? Une idée , ou plutôt un sentiment , l'horreur de la guerre , la ferme conviction que l'abominable droit de la force doit disparaître . C'est l'abbé de Saint - Pierre qui a ...
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... reste de la nation au gouvernement ; mais ce qu'ils entendaient par la nation , c'était surtout la noblesse et le haut clergé . Le régent , prince libéral et ouvert aux idées nouvelles , avait essayé de substituer à l'autocratie des ...
... reste de la nation au gouvernement ; mais ce qu'ils entendaient par la nation , c'était surtout la noblesse et le haut clergé . Le régent , prince libéral et ouvert aux idées nouvelles , avait essayé de substituer à l'autocratie des ...
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... reste intimement associés à l'œuvre de leur éducation ; ils se formaient en jurys pour décerner l'éloge et le blâme en un mot , au lieu de tout attendre et de tout recevoir humblement , doci- lement des mains d'un maître enfoncé dans l ...
... reste intimement associés à l'œuvre de leur éducation ; ils se formaient en jurys pour décerner l'éloge et le blâme en un mot , au lieu de tout attendre et de tout recevoir humblement , doci- lement des mains d'un maître enfoncé dans l ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 216 - ... j'ai dévoilé mon intérieur tel que tu l'as vu toi-même, Etre éternel! Rassemble autour de moi l'innombrable foule de mes semblables : qu'ils écoutent mes confessions, qu'ils gémissent de mes indignités, qu'ils rougissent de mes misères. Que chacun d'eux découvre à son tour son cœur au pied de ton trône avec la même sincérité, et puis qu'un seul te dise, s'il l'ose : « Je fus meilleur que cet homme-là.
Page 272 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 272 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 101 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 351 - Quand verra-t-on naître des poètes? Ce sera après les temps de désastres et de grands malheurs ; lorsque les peuples harassés commenceront à respirer. Alors les imaginations, ébranlées par des spectacles terribles, peindront des choses inconnues à ceux qui n'en ont pas été les témoins. N'avons-nous pas éprouvé, dans quelques circonstances, une sorte de terreur qui nous était étrangère? Pourquoi n'at-elle rien produit? N'avons-nous plus de génie?
Page 113 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous les lieux et dans tous les temps.
Page 102 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 247 - ... ont bâtis dans leur imagination. Du reste, renversant, détruisant, foulant aux pieds tout ce que les hommes respectent, ils ôtent aux affligés la dernière consolation de leur misère, aux puissants et aux riches le seul frein de leurs passions; ils arrachent du fond des cœurs le remords du crime, l'espoir de la vertu , et se vantent encore d'être les bienfaiteurs du genre humain.
Page 270 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 402 - De la foi d'un chrétien les mystères terribles D'ornements égayés ne sont point susceptibles...