(277 p.)Impr. et Fonderie stéréotypes de Pierre Didot l'aßné et de Firmin Didot, 1816 |
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... par - tout , trouvoit aussi par- tout des yeux dignes de la voir ; qu'au contraire les ouvrages de goût ne souffrant point de médiocrité , et la capitale étant en ce genre le centre des lumieres et des secours , il étoit trop difficile ...
... par - tout , trouvoit aussi par- tout des yeux dignes de la voir ; qu'au contraire les ouvrages de goût ne souffrant point de médiocrité , et la capitale étant en ce genre le centre des lumieres et des secours , il étoit trop difficile ...
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... par le malheur ; morceau digne du portique . Ailleurs il montre la philosophie , long - temps étouffée , repa- roissant tout à coup , regagnant par ses progrÚs le temps qu'elle a perdu , pénétrant jusque chez les Russes à la voix d'un ...
... par le malheur ; morceau digne du portique . Ailleurs il montre la philosophie , long - temps étouffée , repa- roissant tout à coup , regagnant par ses progrÚs le temps qu'elle a perdu , pénétrant jusque chez les Russes à la voix d'un ...
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... par un extrait in- fidele , la piĂ©tĂ© du ministere . M. de Montesquieu par le conseil de ses amis , soutenu de la ... tout les motifs de l'exclusion , lui paroissoient une injure . Il vit le ministre , lui dÄ- ( 1 ) M. le cardinal de Fleury .
... par un extrait in- fidele , la piĂ©tĂ© du ministere . M. de Montesquieu par le conseil de ses amis , soutenu de la ... tout les motifs de l'exclusion , lui paroissoient une injure . Il vit le ministre , lui dÄ- ( 1 ) M. le cardinal de Fleury .
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... tout le bien qu'il peut leur faire , et qu'il seroit plus utile Ă l'une et Ă l'autre en les Ă©clairant par ses Ă©crits , qu'il ne pouvoit l'ĂȘtre en discutant quelques contesta- tations particulieres dans l'obscuritĂ© . Toutes ces rĂ© ...
... tout le bien qu'il peut leur faire , et qu'il seroit plus utile Ă l'une et Ă l'autre en les Ă©clairant par ses Ă©crits , qu'il ne pouvoit l'ĂȘtre en discutant quelques contesta- tations particulieres dans l'obscuritĂ© . Toutes ces rĂ© ...
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... par - tout le physique et le moral ; d'étudier les lois et la constitution de chaque pays ; de visiter les savants , les écrivains , les artistes célebres ; de chercher sur - tout ces hommes rares et singuliers dont le commerce supplée ...
... par - tout le physique et le moral ; d'étudier les lois et la constitution de chaque pays ; de visiter les savants , les écrivains , les artistes célebres ; de chercher sur - tout ces hommes rares et singuliers dont le commerce supplée ...
Contents
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Common terms and phrases
affaires Aristote Athenes auroit avoient avoit blique bonne c'Ă©toit censeurs CHAPITRE VII Chine choses citoyen civiles commerce connoĂźtre constitution corrompu corruption crainte crimes dĂ©mocratie desirs Dion doit donne Ă©gal empereurs Ă©phores esclaves ESPR esprit Ă©tabli Ă©tats despotiques Ă©toient Ă©toit faisoit femmes foiblesse force fortune frugalitĂ© galitĂ© gens gouver gouvernement despotique gouvernement monarchique Grecs guerre hommes Ibid juge Julie ordonna l'amour l'aristocratie l'Ă©galitĂ© l'Esprit des lois l'Ă©tat l'honneur LacĂ©dĂ©mone lĂ©gislateur libertĂ© lois somptuaires luxe Lycurgue magistrats magistrature maniere ment modĂ©rĂ©s mĆurs monarchie monarque Montesquieu n'avoit nature nement nobles par-tout parcequ'il parceque paroĂźt particulieres patrie peines pere personne peuple Pierre Desfontaines Platon Plutarque politique pourroit pouvoient pouvoir premiere prĂ©teurs prince principe du gouvernement puissance punir regle religion rĂ©pu rĂ©publicain rĂ©publique richesses Romains Rome Samnites sĂ©nat sĂ©nateurs sent seroient seroit seul Solon Strabon supplices sur-tout sĂ»retĂ© teurs tion Tite-Live toyens tribunal tyrannie vertu vouloit Voyez XĂ©nophon
Popular passages
Page 71 - Le droit des gens est naturellement fondĂ© sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible , sans nuire Ă leurs vĂ©ritables intĂ©rĂȘts.â
Page 65 - Les lois, dans la signification la plus Ă©tendue, sont les rapports nĂ©cessaires qui dĂ©rivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les ĂȘtres ont leurs lois : la divinitĂ© a ses lois, le monde matĂ©riel a ses lois, les intelligences supĂ©rieures Ă l'homme ont leurs lois, les bĂȘtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.â
Page 67 - Avant qu'il y eĂ»t des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou dĂ©fendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eĂ»t tracĂ© de cercle, tous les rayons n'Ă©taient pas Ă©gaux. Il faut donc avouer des rapports d'Ă©quitĂ© antĂ©rieurs Ă la loi positive qui les Ă©tablit...â
Page 63 - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eĂ»t de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois; qu'on pĂ»t mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste oĂč l'on se trouve, je me croirais le plus heureux des mortels.â
Page 164 - Pour former un gouvernement modĂ©rĂ©, il faut combiner les puissances, les rĂ©gler, les tempĂ©rer, les faire agir; donner, pour ainsi dire, un lest Ă l'une pour la mettre en Ă©tat de rĂ©sister Ă une autre : c'est un chef-d'Ćuvre de lĂ©gislation , que le hasard fait rarement, et que rarement on laisse faire Ă la prudence.â
Page 102 - L'honneur fait mouvoir toutes les parties du corps politique; il les lie par son action mĂȘme ; et il se trouve que chacun va au bien commun , croyant aller Ă ses intĂ©rĂȘts particuliers.â
Page 104 - COMME il faut de la vertu dans une rĂ©publique , et dans une monarchie de l'honneur , il faut de la CRAINTE dans un gouvernement despotique : pour la vertu , elle n'y est point nĂ©cessaire , et l'honneur y serait dangereux.â
Page 87 - E s pouvoirs intermĂ©diaires , subordonnĂ©s et dĂ©pendants, constituent la nature du gouvernement monarchique, c'est-Ă -dire de celui oĂč un seul gouverne par des lois fondamentales.â
Page 72 - ... elles doivent se rapporter au degrĂ© de libertĂ© que la constitution peut souffrir, Ă la religion des habitants, Ă leurs inclinations, Ă leurs richesses, Ă leur nombre, Ă leur commerce, Ă leurs mĆurs , Ă leurs maniĂšres. Enfin elles ont des rapports entre elles ; elles en ont avec leur origine , avec l'objet -du lĂ©gislateur, avec l'ordre des choses sur lesquelles elles sont Ă©tablies. C'est dans toutes ces vues qu'il faut les considĂ©rer. C'est ce que j'entreprends de faire dans cet...â
Page 62 - Ici, bien des vĂ©ritĂ©s ne se feront sentir qu'aprĂšs qu'on aura vu la chaĂźne qui les lie Ă d'autres.â