Bibliothèque Latine-Française, Volume 40C. L. F. Pancoucke, 1836 |
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Page xxiv
... terre féconde Accorde à nos travaux les biens dont elle abonde . D'un prestige éclatant , ah ! loin de s'éblouir , N'est - il pas riche assez celui qui sait jouir ? O toi , mortel heureux , dans ta noble indigence , Si du luxe trompeur ...
... terre féconde Accorde à nos travaux les biens dont elle abonde . D'un prestige éclatant , ah ! loin de s'éblouir , N'est - il pas riche assez celui qui sait jouir ? O toi , mortel heureux , dans ta noble indigence , Si du luxe trompeur ...
Page xxxiv
... terre où , faute d'écoles philosophiques , il ne pouvait guère y avoir pour lui échanges et progrès d'idées , doué d'ailleurs d'un esprit éminemment poétique , quoique , sous plus d'un rapport , bien supé- rieur à la poésie ; Lucrèce ...
... terre où , faute d'écoles philosophiques , il ne pouvait guère y avoir pour lui échanges et progrès d'idées , doué d'ailleurs d'un esprit éminemment poétique , quoique , sous plus d'un rapport , bien supé- rieur à la poésie ; Lucrèce ...
Page xlvi
... Terre , qui nourrirait tes fruits délicieux 2 ? Les élémens sans cesse , assortis , combinés , Enfantent . De leur choc tous les êtres sont nés . Ainsi dans nos écrits , les mêmes caractères Tracent des mots joyeux ou des discours ...
... Terre , qui nourrirait tes fruits délicieux 2 ? Les élémens sans cesse , assortis , combinés , Enfantent . De leur choc tous les êtres sont nés . Ainsi dans nos écrits , les mêmes caractères Tracent des mots joyeux ou des discours ...
Page liii
... terre , suspendue dans l'espace quoiqu'elle n'ait pas d'appui ; 3 ° aux saisons , aux solstices , aux inégalités des jours et des nuits . Il nous déroule le tableau de la civilisation humaine : nos yeux voient successivement les mœurs ...
... terre , suspendue dans l'espace quoiqu'elle n'ait pas d'appui ; 3 ° aux saisons , aux solstices , aux inégalités des jours et des nuits . Il nous déroule le tableau de la civilisation humaine : nos yeux voient successivement les mœurs ...
Page liv
... terre , aux éruptions volcaniques , aux débordemens du Nil , aux exhalaisons minérales qui frappent de mort les quadrupèdes et les oiseaux , à l'ai- mant , et enfin aux maladies contagieuses . Une description de la peste d'Athènes ...
... terre , aux éruptions volcaniques , aux débordemens du Nil , aux exhalaisons minérales qui frappent de mort les quadrupèdes et les oiseaux , à l'ai- mant , et enfin aux maladies contagieuses . Une description de la peste d'Athènes ...
Common terms and phrases
acri Aeris ætas æterna æther ævo animæ animum artus atomes atque cætera cernere choc Cicéron cœli colore constare corpore Corporibus corps corpus cuncta d'élémens debent DENIQUE eadem édition élémens enim Épicure Ergo esse éternelle etiam extremum flots genus gigni hæc Haud igitur immortalis immortelle inane inque inter ipsa l'âme læta loca Lucrèce lumina magis magnis materiai membres Memmius ment mort mortels motus multis naturam nature necesse neque nihil nimirum nobis nunc ô Memmius omnes omnia omnibus omnis philosophie poëme poète porro posse possint potest prædita PRÆTEREA primordia primordia rerum primum principes Principiis quæ quæ sunt quæcunque quædam quæque quam quamvis Quapropter quibus quid quidquam quin quod quoniam quoque quorum quum ratione rebus RERUM NATURA sæcla sæpe semina semper sensus sibi sine sint summa tamen tempore terre tibi traduction ulla undique vide videmus videtur viscera vitæ
Popular passages
Page 385 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 190 - Nam veluti pueris absinthia taetra medentes cum dare conantur, prius oras pocula circum contingunt mellis dulci flavoque liquore. ut puerorum aetas improvida ludificetur labrorum tenus, interea perpotet amarum absinthi laticem deceptaque non capiatur, sed potius tali pacto recreata valescat...
Page 208 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem : Non quia vexari quemquam est jucunda voluptas, Sed, quibus ipse malis careas, quia cernere suave est.
Page 208 - ... sed nil dulcius est, bene quam munita tenere edita doctrina sapientum templa serena, despicere unde queas alios passimque videre errare atque viam palantis quaerere vitae, certare ingenio, contendere nobilitate, noctes atque dies niti praestante labore ad summas emergere opes rerumque potiri.
Page 136 - ... quippe ita formido mortalis continet omnis, quod multa in terris fieri caeloque tuentur quorum operum causas nulla ratione videre possunt ac fieri divino numine rentur.
Page 128 - Rejicit, aeterno devinctus volnere amoris; Atque ita suspiciens tereti cervice reposta Pascit amore avidos inhians in te, dea, visus ; Eque tuo pendet resupini spiritus ore. Hune tu, diva, tuo recubantem corpore sancto Circumfusa super, suaveis ex ore loquelas Funde, petens placidam Romanis, incluta, pacem.
Page lxviii - O vous 72 , à qui j'offris mes premiers sacrifices, Muses , soyez toujours mes plus chères délices ! Dites-moi quelle cause éclipse dans leur cours Le clair flambeau des nuits , l'astre pompeux des jours ; . Pourquoi la terre tremble , et pourquoi la mer gronde ; Quel pouvoir fait enfler , fait décroître son onde ; Comment...
Page xxv - ... si non aurea sunt iuvenum simulacra per aedes lampadas igniferas manibus retinentia dextris, lumina nocturnis epulis ut suppeditentur, nec domus argento fulget auroque renidet nec citharae reboant laqueata aurataque templa, cum tamen inter se prostrati in gramine molli propter aquae rivum sub ramis arboris altae non magnis opibus iucunde corpora curant, praesertim cum tempestas arridet et anni tempora conspergunt viridantis floribus herbas.
Page 300 - ... floriferis ut apes in saltibus omnia libant, omnia nos itidem depascimur aurea dicta, aurea, perpetua semper dignissima vita.
Page 366 - Non potius. vitae finem facis atque laboris ? Nam tibi praeterea quod machiner inveniamque, Quod placeat, nil est : eadem sunt omnia semper. Si tibi non annis corpus iam marcet et artus Confecti languent, eadem tamen omnia restant, Omnia si pergas vivendo vincere saecla, Atque etiam potius, si numquam sis moriturus...