Oeuvres, Volume 2chez Jean-François Bastien, 1788 |
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... Cicéron ( 3 ) dit que les causes de répudiation venoient de la loi des douze tables . On ne peut donc pas douter que cette loi n'eût augmenté le nombre des causes de répudiation établies par Romulus . La faculté du divorce fut encore ...
... Cicéron ( 3 ) dit que les causes de répudiation venoient de la loi des douze tables . On ne peut donc pas douter que cette loi n'eût augmenté le nombre des causes de répudiation établies par Romulus . La faculté du divorce fut encore ...
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... Cicéron à Atticus ( * ) ? seront - ce les » gens de commerce et de la campagne ? à » moins que nous n'imaginions qu'ils sont » opposés à la monarchie , eux à qui tous les » gouvernemens sont égaux , dès - lors qu'ils » sont tranquilles ...
... Cicéron à Atticus ( * ) ? seront - ce les » gens de commerce et de la campagne ? à » moins que nous n'imaginions qu'ils sont » opposés à la monarchie , eux à qui tous les » gouvernemens sont égaux , dès - lors qu'ils » sont tranquilles ...
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... Cicéron , seconde Philippique . ( 3 ) Si verberibus , quæ ingenuis aliena sunt , afficientem probaverit . ( 4 ) Dans la novelle 117 , chap . XIV . de l'Europe . Le premier eunuque de l'impé- ratrice , 106 DE L'ESPRIT DES LOIX ...
... Cicéron , seconde Philippique . ( 3 ) Si verberibus , quæ ingenuis aliena sunt , afficientem probaverit . ( 4 ) Dans la novelle 117 , chap . XIV . de l'Europe . Le premier eunuque de l'impé- ratrice , 106 DE L'ESPRIT DES LOIX ...
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... Cicéron ( * ) disoit si bien « Je n'aime point qu'un même peuple soit en même temps le dominateur et le » facteur , de l'univers » . En effet , il faudroit supposer que chaque particulier dans cet état , et tout l'état même , eussent ...
... Cicéron ( * ) disoit si bien « Je n'aime point qu'un même peuple soit en même temps le dominateur et le » facteur , de l'univers » . En effet , il faudroit supposer que chaque particulier dans cet état , et tout l'état même , eussent ...
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... Cicéron dit ( 4 ) que ceux de Salamine vou- loient emprunter de l'argent à Rome , et qu'ils ne le pouvoient pas à cause de la loi Gabinienne . Il faut que je cherche ce que c'étoit que cette loi . ? Lorsque les prêts à intérêt eurent ...
... Cicéron dit ( 4 ) que ceux de Salamine vou- loient emprunter de l'argent à Rome , et qu'ils ne le pouvoient pas à cause de la loi Gabinienne . Il faut que je cherche ce que c'étoit que cette loi . ? Lorsque les prêts à intérêt eurent ...
Contents
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Common terms and phrases
auroient auroit avoient avoit Beaum Beaumanoir Bourguignons capitulaires change chap CHAPITRE XX Chine choses Cicéron citoyens climat code combat judiciaire commerce coutumes d'enfans d'Ulpien de-là Défontaines Denys d'Halicarnasse devoit Dion donner enfans établi établissemens état étoient étoit faisoient faisoit falloit femmes filles firent fragm François Pyrard gens Gondebaud gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre hommes Ibid Indes jugement Justinien l'an l'argent l'état l'usage l'usure législateur liberté loi des Lombards loi salique loix civiles Lombards marchandises mariage mer Rouge mœurs monnoie n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit nation nature naturelle navigation nombre Pappienne par-tout parens paroît particuliers pays père Perse peuples barbares Plutarque politique pourroit pouvoient pouvoit première guerre Punique prince qu'un raison Recueil des voyages régler religion république répudiation richesses Ripuaires rois Romains Rome seigneur sénatus-consulte seroient seroit servi à l'établissement Strabon Suétone Tacite Tartares terre terrein Tite-Live trouve usage usures vouloit Voyez Wisigoths
Popular passages
Page 334 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 339 - Dans un pays où l'on a le malheur d'avoir une religion que Dieu n'a pas donnée, il est toujours nécessaire qu'elle s'accorde avec la morale , parce que la religion , même fausse , est le meilleur garant que les hommes puissent avoir de la probité des hommes.
Page 19 - L ya cette différence entre le divorce et la répudiation , que le divorce se fait par un consentement mutuel à l'occasion d'une incompatibilité mutuelle ; au lieu que la répudiation se fait par la volonté et pour l'avantage d'une des deux parties-, indépendamment de la volonté et de l'avantage de l'autre.
Page 473 - Les lois saliques, bourguignonnes et wisigothes furent donc extrêmement négligées à la fin de la seconde race; et, au commencement de la troisième, on n'en entendit presque plus parler. Sous les deux premières races on assembla souvent la nation, c'est-à-dire les seigneurs et les évêques : il n'étoit point encore question des communes.
Page 144 - ... partie de la nation, qui sert toujours avec le capital de son bien ; qui, quand elle est ruinée, donne sa place à une autre qui servira avec son capital encore; qui va à la guerre pour que personne n'ose dire qu'elle n'ya pas été; qui, quand elle ne peut espérer les richesses, espère les honneurs; et, lorsqu'elle ne les obtient pas, se console, parce qu'elle a acquis de l'honneur; toutes ces choses ont nécessairement contribué à la grandeur de ce royaume.
Page 123 - L'EFFET naturel du commerce est de porter à la paix. Deux nations qui négocient ensemble se rendent réciproquement dépendantes : si l'une a intérêt d'acheter, l'autre a intérêt de vendre; et toutes les unions sont fondées sur des besoins mutuels.
Page 336 - C'est que les peuples du nord ont et auront toujours un esprit d'indépendance et de liberté que n'ont pas les peuples du midi, et qu'une religion qui n'a point de chef visible, convient mieux à l'indépendance du climat que celle qui en a un18.
Page 331 - Dire que la religion n'est pas un motif réprimant, parce qu'elle ne réprime pas toujours, c'est dire que les lois civiles ne sont pas un motif réprimant non plus. C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits.
Page 145 - ... appartient donc à chaque État en particulier. Mais les effets mobiliers , comme l'argent, les billets, les lettres de change, les actions sur les compagnies, les vaisseaux , toutes les marchandises , appartiennent au monde entier, qui, dans ce rapport, ne compose qu'un seul État, dont toutes les sociétés sont les membres : le peuple qui possède le plus de ces effets mobiliers de l'univers est le plus riche.
Page 331 - La question n'est pas de savoir s'il vaudroit mieux qu'un certain homme ou qu'un certain peuple n'eût point de religion que d'abuser de celle qu'il a; mais de savoir quel est le moindre mal, que l'on abuse quelquefois de la religion, ou qu'il n'y en ait point du tout parmi les hommes.