Oeuvres, Volume 2

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chez Jean-François Bastien, 1788
 

Contents

Nouvelle cause physique de la servitude de lAsie et de la liberté de lEurope
35
De lAfrique et de lAmérique
36
De la capitale de lempire
37
LIVRE XVIII
38
Continuation du même sujet
39
Quels sont les pays les plus cultivés
40
Nouveaux effets de la fertilité et de la stérilité du pays
42
Des peuples des isles ibid CHAP VI Des pays formés par lindustrie des hommes43
43
Des ouvrages des hommes
44
Rapport général des loix
45
Du terrein de lAmérique
46
Des peuples sauvages et des peuples bar bares
47
Du droit des gens chez les peuples qui ne cul tivent point les terres
48
Des loix civiles chez les peuples qui ne cul tivent point les terres
49
De létat politique des peuples qui ne cultivene point les terres
50
Des loix civiles chez les peuples qui ne con noissent point lusage de la monnoie
51
Des loix politiques chez les peuples qui nont point lusage de la monnoie
52
Force de la superstition
53
De la liberté des Arabes et de la servitude des Tartares
54
Du droit des gens des Tartares
56
Loi civile des Tartares
57
Dune loi civile des peuples Germains
58
De la longue chevelure des rois Francs
67
Des mariages des rois Francs ibid CHAP XXV CHILDÉRIC
68
De la majorité des rois Francs
69
Continuation du même sujet
72
De ladoption chez les Germains
73
Esprit sanguinaire des rois Francs
74
Des assemblées de la nation chez les Francs
75
De lautorité du clergé dans la première race
76
Combien pour les meilleures loix il est néces
79
Effets de lhumeur sociale ibid
85
Quels sont les moyens naturels de changer
91
Conséquence du chapitre précédent
97
Comment les loix doivent être relatives aux mœurs et aux manières
102
Continuation du même sujet
103
Comment les loix suivent les mœurs ibid CHAP XXIV Continuation du même sujet
104
Continuation du même sujet
105
Continuation du même sujet
106
Comment les loix peuvent contribuer à for mer les mœurs les manières et le caractère dune na tion
107
X
122
De lesprit du commerce
123
De la pauvreté des peuples
125
Du commerce dans les divers gouvernemensibid CHAP V Des peuples qui ont fait le commerce décono mie
128
Quelques effets dune grande navigation
129
Esprit de lAngleterre sur le commerce
130
Comment on a gêné quelquefois le commerce déconomie
131
De lexclusion en fait de commerce
132
Etablissement propre au commerce déconomie
133
Continuation du même sujet
134
De la liberté du commerce
135
Ce qui détruit cette liberté
136
Des loix de commerce qui emportent la con fiscation des marchandises
137
De la contrainte par corps
138
Belle loi
139
Des juges pour le commerce
140
Que le prince ne doit point faire le com merce
141
Continuation du même sujet
142
Réflexion particulière
143
A quelles nations il est désavantageux de faire le commerce
145
X I
149
Des peuples dAfrique
151
Principale différence du commerce des anciens davec celui daujourdhui
152
Autres différences
153
Du commerce des anciens
154
Du commerce des Grecs
163
DAlexandre Sa conquête
168
Du commerce des rois Grecs après Alexandre
173
Du tour de lAfrique
181
Carthage et Marseille
185
Isle de Délos Mithridate
193
Du génie des Romains pour la marine
196
Du génie des Romains pour le commerce
197
Commerce des Romains avec les Barbares
199
Du commerce des Romains avec lArabie et les Indes
200
Du commerce après la destruction des
205
état
212
Des richesses que lEspagne tira de lAmé
218
Problême
225
Des monnoies idéales
231
Continuation du même sujet
237
Des opérations que les Romains firent sur
254
Usage de quelques pays dItalie
261
Du secours que létat peut tirer des ban quiers
262
Des dettes publiques ibid CHAP XVIII Du paiement des dettes publiques
264
Des bâtards dans les divers gouvernemens
284
Du consentement des pères au mariage
286
Continuation du même sujet
287
Des filles
288
Ce qui détermine au mariage
289
De la dureté du gouvernement ibid CHAP XII Du nombre des filles et des garçons dans les diffé ens pays
291
Des ports de mer
292
Des productions de la terre qui demandent plus ou moins dhommes
293
Du nombre des habitans par rapport aux arts
294
Des vues du législateur sur la propagation de lespèce
296
De la Grèce et du nombre de ses habi
297
De lexposition des enfans
318
Comment le change gêne les états despo
323
lation
324
Paradoxe de Bayle
330
Autre paradoxe de Bayle
337
Des loix de perfection dans la religion
338
De laccord des loix de la morale avec celles de la religion
339
Des Esséens
340
De la secte stoïque ibid CHAP XI De la contemplation
342
Des pénitences
343
Des crimes inexpiables ibid CHAP XIV Comment la force de la religion sapplique à celle des loix civiles
345
Comment les loix civiles corrigent quelquefois les fausses religions
348
Comment les loix de la religion corrigent les inconvéniens de la constitution politique
349
Continuation du même sujet
350
Comment les loix de la religion ont leffet des loix civiles
351
Que cest moins la vérité ou la fausseté dun dogme qui le rend utile ou pernicieux aux hommes dans létat civil que lusage ou labus que lon en fait
352
Continuation du même sujet
354
De la métempsycose
355
Combien il est dangereux que la religion ins pire de lhorreur pour des choses indifférentes
356
CHAP XXIII Des fêtes
357
Des loix de religion locales
358
Inconvénient du transport dune religion dun pays à un autre
360
Continuation du même sujet
361
X V
363
Des temples
367
Des ministres de la religion
370
Des bornes que les loix doivent mettre aux richesses du clergé
372
Des monastères
374
Du luxe de la superstition
375
Du pontificat
377
De la tolérance en fait de religion
378
Continuation du même sujet
379
Du changement de religion
380
Des loix pénales
381
Trèshumbles remontrances aux inquisiteurs dEspagne et de Portugal
382
Pourquoi la religion chrétienne est si odieuse au Japon
387
De la propagation de la religion
388
Des loix divines et des loix humaines
391
Que lordre des successions dépend des principes
398
Que les choses qui doivent être réglées par
404
Dans quels cas dans les mariages entre
411
Quil ne faut point régler par les principes
417
Quil faut examiner si les loix qui paroissent
423
Que les réglemens de police sont dun autre
430
De lorigine et des révolutions des loix civiles chez
452
Différence capitale entre les loix saliques
459
Continuation du même sujet
467
Continuation du même sujet
475
Différence de la loi salique ou des Francs
481
Manière de penser de nos pères
487
Comment la preuve par le combat sétendit
491
Nouvelle raison de loubli des loix saliques des loix romaines et des capitulaires
498
Origine du pointdhonneur
500
Nouvelle réflexion sur le pointdhonneur chez les Germains
503
Des mœurs relatives aux combats
504
De la jurisprudence du combat judiciaire
507
Règles établies dans le combat judiciaire
508
Des bornes que lon mettoit à lusage du combat judiciaire
511
Du combat judiciaire entre une des parties et un des témoins
515
Du combat judiciaire entre une partie et un des pairs du seigneur Appel de faux jugement
517
De lappel de défaute de droit
526
Epoque du règne de saint Louis
533
Observations sur les appels
538
Continuation du même sujet ibid CHAP XXXII Continuation du même sujet
540
Continuation du même sujet
541
Comment la procédure devint secrète
542
Des dépens
544
De la partie publique
546
Comment les établissemens de S Louis tombèrent dans loubli
551
Continuation du même sujet
554
Continuation du même sujet
558
Comment on prit les formes judiciaires des décrétales
560
Flux et reflux de la jurisdiction ecclésiastique
561

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 334 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 339 - Dans un pays où l'on a le malheur d'avoir une religion que Dieu n'a pas donnée, il est toujours nécessaire qu'elle s'accorde avec la morale , parce que la religion , même fausse , est le meilleur garant que les hommes puissent avoir de la probité des hommes.
Page 19 - L ya cette différence entre le divorce et la répudiation , que le divorce se fait par un consentement mutuel à l'occasion d'une incompatibilité mutuelle ; au lieu que la répudiation se fait par la volonté et pour l'avantage d'une des deux parties-, indépendamment de la volonté et de l'avantage de l'autre.
Page 473 - Les lois saliques, bourguignonnes et wisigothes furent donc extrêmement négligées à la fin de la seconde race; et, au commencement de la troisième, on n'en entendit presque plus parler. Sous les deux premières races on assembla souvent la nation, c'est-à-dire les seigneurs et les évêques : il n'étoit point encore question des communes.
Page 144 - ... partie de la nation, qui sert toujours avec le capital de son bien ; qui, quand elle est ruinée, donne sa place à une autre qui servira avec son capital encore; qui va à la guerre pour que personne n'ose dire qu'elle n'ya pas été; qui, quand elle ne peut espérer les richesses, espère les honneurs; et, lorsqu'elle ne les obtient pas, se console, parce qu'elle a acquis de l'honneur; toutes ces choses ont nécessairement contribué à la grandeur de ce royaume.
Page 123 - L'EFFET naturel du commerce est de porter à la paix. Deux nations qui négocient ensemble se rendent réciproquement dépendantes : si l'une a intérêt d'acheter, l'autre a intérêt de vendre; et toutes les unions sont fondées sur des besoins mutuels.
Page 336 - C'est que les peuples du nord ont et auront toujours un esprit d'indépendance et de liberté que n'ont pas les peuples du midi, et qu'une religion qui n'a point de chef visible, convient mieux à l'indépendance du climat que celle qui en a un18.
Page 331 - Dire que la religion n'est pas un motif réprimant, parce qu'elle ne réprime pas toujours, c'est dire que les lois civiles ne sont pas un motif réprimant non plus. C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits.
Page 145 - ... appartient donc à chaque État en particulier. Mais les effets mobiliers , comme l'argent, les billets, les lettres de change, les actions sur les compagnies, les vaisseaux , toutes les marchandises , appartiennent au monde entier, qui, dans ce rapport, ne compose qu'un seul État, dont toutes les sociétés sont les membres : le peuple qui possède le plus de ces effets mobiliers de l'univers est le plus riche.
Page 331 - La question n'est pas de savoir s'il vaudroit mieux qu'un certain homme ou qu'un certain peuple n'eût point de religion que d'abuser de celle qu'il a; mais de savoir quel est le moindre mal, que l'on abuse quelquefois de la religion, ou qu'il n'y en ait point du tout parmi les hommes.

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