| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 506 pages
...chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce qu« je valois réellement. Libre de tous ornemens étrangers , je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur , qui m'avoit fait perdre , en un instant , Tattention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 510 pages
...quelque chose d'admirable. Cet essai me fit cpnnohre ce que je valois réellement. Libre de tous ornemens étrangers , je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur , qui m'avoit fait perdre, en un instant, l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique ; car j 'entrai tout-à-coup dans... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan , et à en endosser un à l'européenne , pour voir 's'il resterait encore...ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai nie fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous ornemens étrangers, je me vis apprécié... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1818 - 704 pages
...étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime...car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...encore dans ma physionomie quelque chos« d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornements étrangers,...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 482 pages
...étrangers , je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime...car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1823 - 510 pages
...essai me fit counoitre eu que je valais réellement» Libre de tous ornements étrangers, je me visi apprécié au plus juste. J'eus sujet de me, plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait en un instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dans un néant... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 506 pages
...chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-àcoup dans... | |
| Caspar Hirzel, Conrad von Orell - French language - 1828 - 500 pages
...chose d'admirable. Cet essai me lit connoitre ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention 1 et l'estime publique ; car j'entrai loul-à-coup dans... | |
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