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TABLE ANALYTIQUE.

prit d'une nation, quand il n'est pas contraire à l'esprit du Ne doivent point ignorer la diffégouvernement, 338. rence qui se trouve entre les vices moraux et les vices politiques, 339.- Règles qu'ils doivent se prescrire pour un Etat despotique, 339, 340. Comment quelques-uns ont confondu les principes qui gouvernent les hommes, 341.Devraient prendre Solon pour modèle, 343. - Doivent, par rapport à la propagation, régler leurs vues sur le climat, 396.- Sont obligés de faire des lois qui combattent les senComment doivent introtiments naturels mêmes, 437.duire les lois utiles qui choquent les préjugés et les usages De quel esprit doivent être animés, 471. généraux, 465. Leurs lois se sentent toujours de leurs passions et de leurs - Où ont-ils appris ce qu'il faut prescrire préjugés, 478. — pour gouverner les sociétés avec équité, 534. gislateurs romains. Sur quelles maximes ils réglèrent l'usure, après la destruction de la république, 392. gislatif (corps). Doit-il être longtemps sans être assemblé? 267. Doit-il être toujours assemblé? ibid. - Doit-il avoir la faculté de s'assembler lui-même? ibid. - Quel doit être son pouvoir vis-à-vis de la puissance exécutrice? ibid. gislative (puissance). Voyez Puissance législative. gs. Pourquoi la loi Voconienne y mit des bornes, 436. nitivum, 103.

ON. Son entreprise contre les Vandales, 177. — Successeur le Basile, perd par sa faute Tauroménie et l'île de Lemnos, 1183.

154.

PIDUS. Parait en armes dans la place publique de Rome, - L'un des membres du second triumvirat, 155. Exelu du triumvirat par Octave, 156. — L'injustice de ce triumvir est une grande preuve de l'injustice des Romains de son temps, 289.

pre. Dans quels pays elle s'est étendue, 304.

preux. Etaient morts civilement par la loi des Lombards,

304.

⇒Cse-majesté (crime de). Ce que les Anglais entendent par ce
Précautions que l'on doit apporter dans la pu-
mot, 71.-
Lorsqu'il est vague, le gouver-
nition de ce crime, 284.
C'est un abus
nement dégénère en despotisme, ibid.
atroce de qualifier ainsi les actions qui ne le sont pas : ty-
rannie monstrueuse exercée par les empereurs romains sous
prétexte de ce crime, ibid. -N'avait point lieu sous les bons
empereurs, quand il n'était pas direct, 285. - Ce que c'est
proprement suivant Ulpien, ibid. Les pensées ne doi-
vent point être regardées comme faisant partie de ce crime,
ibid. — Ni les paroles indiscrètes, ibid - Quand et dans
quels gouvernements les écrits doivent être regardés comme
crime de lèse-majesté, 286. — Calomnie dans ce crime, 288.
Il est dangereux de le trop punir dans une république,
ibid.

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ttres anonymes. Sont odieuses, et ne méritent attention que quand il s'agit du salut du prince, 291. -ttres de change. Époque et auteurs de leur établissement, 373. Ont arraché le commerce des bras de la mauvaise foi, pour le faire rentrer dans le sein de la probité, ibid. — C'est à elles que nous sommes redevables de la moderation des gouvernements d'aujourd'hui et de l'anéantissement du machiavélisme, 374.

ettres familieres de l'auteur, 634 et suiv.

ettres de grâce. Leur utilité dans une monarchie, 236. ettres persanes, I et suiv. - Il y a quelques juvenilia que l'auteur voudrait en refrancher, 667.

eudes. Nos premiers historiens nomment ainsi ce que nous appelons vassaux : leur origine, 489. — Il paraît, par tout ce qu'en dit l'auteur, que ce mot était proprement dit des vassaux du roi, ibid. et suiv. — Par qui étaient menés à la guerre et qui ils y menaient, 490.- Pourquoi leurs arrièrevassaux n'étaient pas menés à la guerre par les comtes, 491. Etaient des comtes dans leurs seigneuries, 491, 492. Voyez l'assaux,

„EUVIGILDE. Corrigea les lois des Wisigoths, 439, not. I. Lévitique. Nous avons conservé ses dispositions sur les biens du clergé, excepté celles qui mettent des bornes à ces biens, 417.

264.

264.

Libelles. Voyez Écrits.
Liberté. Elle fait naitre l'opulence, et contribue à la popula-
tion, 84. - Chacun a attaché à ce mot l'idée qu'il a tirée du
gouvernement dans lequel il vit, 263 et suiv. - On a quel-
quefois confondu la liberté du peuple avec sa puissance,
- Juste idée que l'on doit se faire de la liberté, ibid.
431. On ne doit pas la confondre avec l'indépendance,
- Elle ne réside pas plus essentiellement dans les ré-
· Constitution de gouverne-
publiques qu'ailleurs, ibid.
ment unique qui peut l'établir et la maintenir, ibid. — Elle
est plus ou moins étendue, suivant l'objet particulier que
chaque État se propose, ibid. — Existe principalement en
Angleterre, ibid. et suiv. Il n'y en a point dans les Etats
ou la puissance législative et la puissance exécutrice sont
dans la même main, 265. — Il n'y en a point lorsque la puis-
sance de juger est réunie à la législative et à l'exécutrice, ibid.
Ce qui la forme dans son rapport avec la constitution de
Considérée dans le rapport qu'elle a avec le
l'Etat, 280.-
citoyen; en quoi elle consiste, ibid. Sur quoi est princi-
Un homme qui, dans un pays
palement fondée, 281.

-

1

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où l'on suit les meilleures lois criminelles possibles, est con-
damné à étre pendu, et doit l'être le lendemain, est plus
libre qu'un bacha ne l'est en Turquie, ibid. - Est favori-
sée par la nature des peines et leur proportion, ibid.
Comment on en suspend l'usage dans une république, 289.
- On doit quelquefois, même dans les Etats les plus libres,
jeter un voile dessus, ibid. - Des choses qui l'attaquent
- Ses rapports avec la levée des
Est
dans la monarchie, 290.
tributs et la grandeur des revenus publics, 293, 296. —
mortellement attaquée en France, par la façon dont on y
L'impôt qui lui est
lève les impôts sur les boissons, 295. -
le plus naturel est celui sur les marchandises, 297. —Quand
on en abuse pour rendre les tributs excessifs, elle dégénére
en servitude; et l'on est obligé de diminuer les tributs, ibid.
Se
Causes physiques qui font qu'il y en a plus en Europe
que dans toutes les autres parties du monde, 324.
conserve mieux dans les montagnes qu'ailleurs, 326.
Les terres sont cultivées en raison de la liberté et non de
leur fertilité, ibid. — Se maintient mieux dans les îles que
dans le continent, 327. — Convient dans les pays formés par
l'industrie des hommes, ibid. - Celle dont jouissent les
peuples qui ne cultivent point les terres est très-grande,
329, 336. Les Tartares sont une exception à la règle pré-
cédente: pourquoi, 330. — Est très-grande chez les peuples
qui n'ont pas l'usage de la monnaie, ibid. Exception à
la règle précédente, ibid. — De celle dont jouissent les Ara-
ibid. Est quelquefois insupportable aux peuples qui
ne sont pas accoutumés à en jouir cause et exemples de
Est une partie des coutumes du
cette bizarrerie, 337.
Effets bizarres et utiles qu'elle produit
peuple libre, 344. —
doivent avoir
Facultés que
en Angleterre, ibid. et suiv.-
Celle des Anglais se soutient
Ne s'ac-
ceux qui en jouissent, 315.
quelquefois par les emprunts de la nation, 346.
commode guère de la politesse, 348. - Rend superbes les
nations qui en jouissent : les autres ne sont que vaines,
ibid. Ne rend pas les historiens plus véridiques que l'es-
clavage pourquoi, ibid. — Est naturelle aux peuples du
Nord, qui ont besoin de beaucoup d'activité et d'industrie
pour se procurer les biens que la nature leur refuse; elle
Est
est comme insupportable aux peuples du Midi, auxquels
la nature donne plus qu'ils n'ont besoin, 357, 358.
acquise aux hommes par les lois politiques; conséquences
qui en résultent, 429. — On ne doit point décider par ces
lois ce qui ne doit l'être que par celles qui concernent la
propriété conséquences de ce principe, ibid. - Dans les
commencements de la monarchie française, les questions
sur la liberté des particuliers ne pouvaient être jugées que
dans les placites du comte, et non dans ceux de ses ofti-
ciers, 491.

bes,

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Liberté civile. Époque de sa puissance à Rome, 290.
Liberté de sortir du royaume. Devrait être accordée à tous les
sujets d'un Etat despotique, 293.

Liberté d'un citoyen. En quoi elle consiste, 265. — Il faut
quelquefois priver un citoyen de sa liberté, pour conserver

1

celle de tous cela ne se doit faire que par une loi particulière authentique : exemple tiré de l'Angleterre, 289. — - Lois qui y sont favorables dans la république, ibid.-Un citoyen ne la peut pas vendre pour devenir esclave d'un autre, 308. Liberté du commerçant. Est fort gênée dans les États libres, et fort étendue dans ceux où le pouvoir est absolu, 353. Liberté du commerce. Est fort limitée dans les États où le pouvoir est absolu, et fort libre dans les autres :pourquoi, 353. Liberté philosophique. En quoi elle consiste, 280. Liberté politique. En quoi elle consiste, ibid. — Époque de sa naissance à Rome, 290.

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Lieutenant. Celui du juge représente les anciens prud'hommes, qu'il était obligé de consulter autrefois, 468.

Ligne de démarcation établie par le pape Alexandre VI, entre les Espagnols et les Portugais, 374.

Ligues contre les Romains, rares: pourquoi, 139 et suiv. Limites posées par la nature même à certains États, 138. LIONNE (le comte de), président des nouvellistes, 89. Littérature. Peu de cas qu'en font les philosophes, 105. LIVIUS (le censeur M.). Nota trente-quatre tribus tout à la fois,

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Lods et ventes. Origine de ce droit, 526. LOI. Ce mot est celui pour lequel le principal ouvrage de l'auteur a été composé. Il y est donc présenté sous un très-grand nombre de faces, et sous un très-grand nombre de rapports. On le trouvera ici divisé en autant de classes qu'on a pu apercevoir de différentes faces principales. Toutes ces classes sont rangées alphabétiquement dans l'ordre qui suit: Loi Acilia. Loi de Gondebaud. Loi de Valentinien. Loi des Douze Tables. Loi du talion. Loi Gabinienne, Loi Oppienne. Loi Pappienne. Loi Porcia. Loi Salique. Loi Valérienne.Loi Voconienne. Lois (ce mot pris dans sa signification générique). Lois agraires. Lois barbares. Lois civiles. Lois civiles des Français. Lois civiles sur les fiefs. Lois (clergé.) Lois (climat). Lois (commerce). Lois (conspiration). Lois Cornéliennes. Lois criminelles. Lois d'Angleterre. Lois de Crète. Lois de la Grèce. Lois de la morale. Lois de l'éducation. Lois de Lycurgue. Lois de Moïse. Lois de Penn. Lois de Platon. Lois des Bavarois. Lois des Bourguignons. Lois des Lombards. Lois des peuples germains. Lois (despotisme). Lois des Saxons. Lois des Wisigoths. Lois divines. Lois domestiques. Lois du mouvement, Lois (égalité). Lois (esclawage). Lois (Espagne). Lois feodales. Lois (France). Lois humaines. Lois (Japon). Lois Juliennes. Lois (liberté). Lois (mariage). Lois (mœurs). Lois (monarchie). Lois (monnaie). Lois naturelles. Lois (Orient). Lois politiques. Lois positives. Lois (république). Lois (religion). Lois ripuaires. Lois romaines. Lois sacrées. Lois (sobriété). Lois somptuaires. Lois (suicide). Lois (terrain).

Loi Acilia. Les circonstances où elle a été rendue en font une des plus sages lois qu'il y ait, 234.

Loi de Gondebaud. Quel en était le caractère, l'objet, 441. Loi de Valentinien permettant la polygamie dans l'empire: pourquoi ne réussit pas, 316.

Loi des Douze Tables. Pourquoi imposait des peines trop sévères, 234.- Dans quel cas admettait la loi du talion, 236. Changement sage qu'elle apporta dans le pouvoir de juger à Rome, 277. Ne contenait aucune disposition touchant les usures, 390.- A qui elle déférait la succession, 433 et suiv. Pourquoi permettait à un testateur de se

choisir tel citoyen qu'il jugerait à propos pour son hi tier, contre toutes les précautions que l'on avait prises por empêcher les biens d'une famille de passer dans une a 434. Est-il vrai qu'elle ait autorisé le créancier à par morceaux le débiteur insolvable? 471. — La differ qu'elle mettait entre le voleur manifeste et le voirur s manifeste n'avait aucune liaison avec les autres lois civit. des Romains: d'où cette disposition avait été tirée, CLComment avait rectifié la disposition par laquelle el pe mettait de tuer un voleur qui se mettait en defense, CaEtait un modèle de précision, ibid

Loi du talion. Voyez Talion.

Loi Gabinienne. Ce que c'était, 391.

Loi Oppienne. Pourquoi Caton fit des efforts pour la fam cevoir quel était le but de cette loi, 435.

Loi Pappienne. Ses dispositions touchant les mariages. - | Dans quel temps, par qui, et dans quelle vue elle fut fa

437.

Loi Porcia. Comment rendit sans application celles quizuar fixé des peines, 234.

Loi salique. Origine et explication de celle que nous Dom ainsi, 331 et suiv.- Disposition de cette loi touchs successions, 332. — N'a jamais eu pour objet la pr d'un sexe sur un autre, ni la perpétuité de la fame, 4 nom, etc. Elle n'était qu'économique : preaves turses da texte même de cette loi, ibid. - Ordre qu'elle avait etzias dans les successions : elle n'exclut pas indistinctement les filles de la terre salique, ibid. et suiv.-S'explique par celles des Francs ripuaires et des Saxons, 313. - Cest elle qui a affecté la couronne aux måles exclusivement, itad C'est en vertu de sa disposition que tous les freres suce daient également à la couronne, 334.- Elle ne put être redgée qu'après que les Francs furent sortis de la Germanie : Jer pays, 438.-Les rois de la première race en retran chereste qui ne pouvait s'accorder avec le christianisme, et en lis sèrent subsister tout le fond, 439. Le clergé n'y a poin mis la main, comme aux autres lois barbares, et elle n'a point admis de peines corporelles, ibid. — Difference capitale entre elle et celles des Wisigoths et des Bourguignons, 441, 445 et suiv. - Tarif des sommes qu'elle impost pour la punition des crimes: distinctions affligeantes qu'el mettait à cet égard entre les Francs et les Romains, 44 451.- Pourquoi acquit-elle une autorité presque genera” dans le pays des Francs, tandis que le droit romain s perdit peu à peu? 441. — N'avait point lieu en Bourgogne: preuve, ibid. Ne fut jamais reçue dans le pays de l'etablissement des Goths, ibid. - Comment cessa d'être e usage chez les Français, 443 et suiv.-On y ajouta plusie capitulaires, 444.- Était personnelle seulement ou terrtoriale seulement, ou l'un et l'autre à la fois, suivant les circonstances et c'est cette variation qui est la source de nos coutumes, 445. - N'admit point l'usage des propos négatives, 446. - Exception à ce qui vient d'être dit, ai - N'admit point la preuve par le combat judiciaire, r..... Admettait la preuve par l'eau bouillante: temperam" dont elle usait pour adoucir la rigueur de cette crant épreuve, 447.- Pourquoi tomba dans l'oubli,-456. — Ca≈ bien adjugeait de composition à celui à qui on avait repre ché d'avoir laissé son bouclier: réformée, à cet égard, pr Charlemagne, 452. — Appelle hommes qui sont sous la s du roi ce que nous appelons vassaux, 489.

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Loi Valérienne. Quelle en fut l'occasion: ce qu'elle cont nait, 232, 277.

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Loi Voconienne. Etait-ce une injustice, dans cette loi, de m pas permettre d'instituer une femme héritière, pas mer sa fille unique? 424.- Comment on trouva dans les k^ mes judiciaires le moyen de l'éluder, 436 et suiv. — S fiait le citoyen et l'homme, et ne s'occupait que de la publique, 437.-Cas où la loi Pappienne en fit cesser Lip hibition, en faveur de la propagation, tbid. Par pass ( degrés on parvint à l'abolir tout à fait, ibid.

Lois. Leur définition, 190. — Ont-elles leur application a toc les cas? 49. Règles suivant lesquelles elles auraient être faites, 55. — · On doit se déterminer difficilement a

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TABLE ANALYTIQUE.

abroger, 55. N'ont jamais plus de force que quand elles secondent la passion dominante de la nation pour qui elles - Tous les ètres ont des lois relatives sont faites, 132.leur nature; ce qui prouve l'absurdité de la fatalité imaginée par les matérialistes, ibid. — Dérivent de la raison primitive, ibid. Celles de la création sont les mêmes que celles de la conservation, ibid. — Entre celles qui gouver2 nent les êtres intelligents, il y en a qui sont éternelles : qui elles sont, ibid. — La loi qui prescrit de se conformer à celles de la société dans laquelle on vit est antérieure à Sont suivies plus constamment par la loi positive, ibid. le monde physique que par le monde intelligent: pourquoi, ibid. - Considérées dans le rapport que les peuples ont entre eux, forment le droit des gens; dans le rapport qu'ont ceux qui gouvernent avec ceux qui sont gouvernés, forment Les rapports le droit politique; dans le rapport que tous les citoyens ont entre eux, forment le droit civil, 192. Leur rapport avec la force qu'elles ont entre elles, 193. — défensive, 253. Leur rapport avec la force offensive, 256.-Diverses sortes de celles qui gouvernent les hommes: 1o le droit naturel; 2o le droit divin; 3° le droit ecclesiasatique ou canonique; 4° le droit des gens; 5° le droit politique général; 6o le droit politique particulier; 7° le droit de conquête; 8o le droit civil; 9o le droit domestique. C'est dans ces diverses classes qu'il faut trouver les rapports que les lois doivent avoir avec l'ordre des choses sur lesquelles Les êtres intelligents ne suiLE SALUT DU PEUPLE Helles statuent, 422 et suiv. Avent pas toujours les leurs, 191, 428. — EST LA SUPRÊME LOI. Conséquences qui découlent de cette maxime, 432.- Le nouvelliste ecclésiastique a donné dans une grande absurdité, en croyant trouver dans la définition des lois, telle que l'auteur la donne, la preuve qu'il est spinosiste, tandis que cette définition même, et ce qui suit, détruit le système de Spinosa, 529 et suiv. Lois agraires. Sont utiles dans une démocratie, 238. défaut d'art, sont utiles à la propagation, 396. - Pourquoi Cicéron les regardait comme funestes, 429. - Par qui faites Pourquoi le peuple ne cessa de les demanà Rome, 434. der à Rome, ibid. Lois barbares. Doivent servir de modèle aux conquérants, 257, · Quand et par qui furent rédigées celles des Saliens, Ripuaires, Bavarois, Allemands, Thuringiens, Frisons, Saxons, Wisigoths, Bourguignons et Lombards : simplicité admirable de celles des six premiers de ces peuples; causes de cette simplicité : pourquoi celles des quatre autres n'en eurent pas tant, 438 et suiv. —- N'étaient point attachées à un certain territoire; elles étaient toutes personnelles : pourquoi, 439, 441.-Comment on leur substitua les coutumes, 445.-En quoi différaient de la loi salique, 446. — qui concernaient les crimes ne pouvaient convenir qu'à des peuples simples, et qui avaient une certaine candeur, ibid. Admettaient toutes, excepté la loi salique, la preuve On y trouve des énigmes par le combat singulier, ibid. à chaque pas, 451.- Les peines qu'elles infligeaient aux criminels étaient toutes pécuniaires, et ne demandaient point de partie publique, 463. — Pourquoi roulent presque toutes sur les troupeaux, 480, 481.- Pourquoi sont écrites en latín: pourquoi on y donne aux mots latins un sens qu'ils n'avaient pas originairement : pourquoi on en a forgé de nou veaux, 487. — Pourquoi ont fixé le prix des compositions : ce prix y est réglé avec une précision et une sagesse admirables, 493.

258.

Аи

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199.- - Doivent remédier aux abus qui peuvent résulter de la nature du gouvernement, 218.-Différents degrés de simplicité qu'elles doivent avoir, dans les différents gouDans quels gouvernements et dans vernements, 226. — quels cas on en doit suivre le texte précis dans les jugements, 228.-A force d'être sévères, elles deviennent impuissantes : exemple tiré du Japon, 233 et suiv. Dans quels cas et pourquoi elles donnent leur confiance aux hommes, 236. — Peuvent régler ce qu'on doit aux autres, non tout ce qu'on se doit à soi-même, 242. - Sont tout à la fois clairvoyantes et aveugles; quand et par qui leur rigidité doit être modérée, 268. - Les prétextes spécieux que l'on emploie pour Doifaire paraitre justes celles qui sont les plus injustes sont la preuve de la dépravation d'une nation, 288, 289. - De celles vent être différentes chez les différents peuples, suivant - Celles qu'ils sont plus ou moins communicatifs, 324. des peuples qui ne cultivent point les terres, 329. — des peuples qui n'ont pas l'usage de la monnaie, ibid. et suiv. Celles des Tartares, au sujet des successions, 331. - Quelle est celle des Germains d'où l'on a tiré ce que nous appelons la loi salique, ibid. et suiv. Considérées dans le rapport qu'elles ont avec les principes qui forment l'esprit général, les mœurs et les manières d'une nation, 335 - Gouet suiv, 344 et suiv. Combien, pour les meilleures lois, il est nécessaire que les esprits soient préparés, 337. vernent les hommes concurremment avec le climat, les etc. de là nait l'esprit général d'une nation, mœurs, Différence entre leurs effets et ceux des ibid. et suiv. Ce que c'est, ibid.-Ce n'est point par leur mœurs, 310. moyen que l'on doit changer les mœurs et les manières d'une nation, ibid. — Différence entre les lois et les mœurs, 341. -Ce ne sont point les lois qui ont établi les mœurs, ibid. - Comment doivent être relatives aux mœurs et aux manières, 343. - Comment peuvent contribuer à former les mœurs, les manières et le caractère d'une nation, 344 et suiv. Considérées dans le rapport qu'elles ont avec Celles qui font regarder le nombre des habitants, 397.comme nécessaire ce qui est indifférent font regarder comme Sont quelquefois indifférent ce qui est nécessaire, 410. obligées de défendre les mœurs contre la religion, 411. Ne doivent Rapport qu'elles doivent avoir avec l'ordre des choses sur lesquelles elles statuent, 422, 423 et suiv. point être contraires à la loi naturelle : exemples, 423 et suiv.-Règlent seules les successions et le partage des biens, 424 et suiv. Seules, avec les lois politiques, décident, dans les monarchies purement électives, dans quels cas la raison veut que la couronne soit déférée aux enfants ou à Dans quel d'autres, 421.-Seules, avec les lois politiques, règlent les Leur objet, ibid. droits des bâtards, 425. · Celles cas doivent être suivies, lorsqu'elles permettent, plutôt que -Cas où elles décelles de la religion qui défendent, 426. — pendent des mœurs et des manières, 429. - Leurs défenses sont accidentelles, ibid. — Les hommes leur ont sacrifié la communauté naturelle des biens : conséquences qui en résultent, ibid. - Sont le palladium de la propriété, ibid. - Il est absurde de réclamer celles de quelque peuple que ce soit, quand il s'agit de régler la succession à la couronne, 430. Il faut examiner si celles qui paraissent se contredire sont du même ordre, 431. Ne doivent point décider les choses qui dépendent du droit des gens, ibid. — On est libre quand ce sont elles qui gouvernent, ibid. Leur puissance et leur autorité ne sont pas la même chose, 432.- Il y en a d'un ordre particulier, qui sont celles de la police, ibid. Il ne faut pas confondre leur violation avec celle de la simple police, 433. Il n'est pas impossible qu'elles n'obtiennent une grande partie de leur objet, quand elles sont telles qu'elles ne forcent que les honnêtes gens à les éluder, 437. De la manière de les composer, 471, ·Celles qui paraissent s'éloigner des vues De celles 475, 478, 479.du législateur y sont souvent conformes, 471. — - - Celles qui choquent les vues du législateur, ibid.-Exemple d'une loi qui est en contradiction avec elle-même, 472. qui paraissent les mêmes n'ont pas toujours le même effet ni le même motif, ibid. — Nécessité de les bien composer,

Loi civiles. Celles d'une nation peuvent difficilement con-
venir à une autre, 192.- Doivent être propres au peuple
pour qui elles sont faites, et relatives au principe et à la
nature de son gouvernement, au physique et au climat du
Pourquoi
pays, aux mœurs, aux inclinations et à la religion des ha-
Litants, ibid. et suiv. 199, 209, 213 et suiv.
l'auteur n'a point séparé les lois civiles des lois politiques,
193. Qui sont celles qui dérivent de la nature du gou-
Ou doivent être déposées
vernement, ibid. et suiv.
La noblesse et le conseil du
prince sont incapables de ce dépôt, ibid.

dans une monarchie, 198.

Doivent être relatives tant au principe qu'à la nature du gouvernement,

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MONTESQUIEU.

46

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472. - Celles qui paraissent contraires dérivent quelquefois du même esprit, 473. De quelle manière celles qui sont diverses peuvent être comparées, ibid. — Celles qui paraissent les mêmes sont quelquefois réellement différentes, 474. Ne doivent point être séparées de l'objet pour lequel elles sont faites, 474, 475. Dépendent des lois politiques pourquoi, 475. — Ne doivent point étre séparées des circonstances dans lesquelles elles ont été faites, ibid. Il est bon quelquefois qu'elles se corrigent elles-mêmes, ibid. Précautions que doivent apporter celles qui permettent de se faire justice à soi-même, ibid. Comment doivent être composées, quant au style et quant au fond des choses, ibid. et suiv. - Leur présomption vaut mieux que celle de l'homme, 477. — On n'en doit point faire d'inutiles exemple tiré de la loi Falcidie, ibid. — C'est une mauvaise manière de les faire par des rescrits, comme faisaient les empereurs romains: pourquoi, ibid. et suiv Est-il nécessaire qu'elles soient uniformes dans un Etat? 478. Se sentent toujours des passions et des préjugés du législateur, ibid.

Lois civiles des Français. Leur origine et leurs révolutions, 438 et suiv.

Lois civiles sur les fiefs. Leur origine, 528.

Lois (clerge). Bornes qu'elles doivent mettre aux richesses du clergé, 417.

Lois (climat). Leur rapport avec la nature du climat, 300 et suiv. Doivent exciter les hommes à la culture des terres dans les climats chauds : pourquoi, 303. — De celles qui ont rapport aux maladies du climat, 304.-La confiance qu'elles ont dans le peuple est différente, selon les climats, 306, 307. Comment celles de l'esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat, 307.

merce,

Lois (commerce). Des lois, dans le rapport qu'elles ont avec le commerce, considéré dans sa nature et ses distinctions, 349 et suiv. 357.-De celles qui emportent la confiscation de la marchandise, 353. - -De celles qui établissent la sûreté du com354.-Des lois, dans le rapport qu'elles ont avec le commerce, considéré dans les révolutions qu'il a eues dans le monde, 357.- Des lois du commerce aux Indes, 374 et suiv. Lois fondamentales du commerce de l'Europe, 375 et suiv. Lois (conspiration). Précautions que l'on doit apporter dans les lois qui regardent la révélation des conspirations, 288. Lois Cornéliennes. Leur auteur, leur cruauté, leurs motifs,

235.

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Lois criminelles. Les différents degrés de simplicité qu'elles doivent avoir dans les différents gouvernements, 227.-Combien on a été de temps à les perfectionner; combien elles étaient imparfaites à Cumes, à Rome sous les rois, en France La liberté du citoyen sous les premiers rois, 281 et suiv. dépend principalement de leur bonté, 280.- Un homme qui, dans un État où l'on suit les meilleures lois criminelles qui soient possibles, est condamné à être pendu, et doit l'être le lendemain, est plus libre qu'un bacha en Turquie,281.-Comment on peut parvenir à faire les meilleures qu'il soit possible, ibid. - Doivent tirer chaque peine de la nature du crime, ibid. et suiv. Ne doivent punir que les actions extérieures, 284 et suiv. - Le criminel qu'elles font mourir ne peut réclamer contre elles, puisque c'est parce qu'elles le font mourir qu'elles lui ont sauvé la vie à tous les instants, 308. - En fait de religion, les lois criminelles n'ont d'effet que comme destruction, 420. - Celle qui permet aux enfants d'accuser leur pere de vol ou d'adultère est contraire à la nature, 423. -Celles qui sont les plus cruelles peuvent-elles être les meilleures? 471.

Lois d'Angleterre. Ont été produites en partie par le climat, 344 et suiv. Voyez Angleterre.

-

Lois de Crète. Sont l'origine sur lequel on a copié celles de Lacédémone, 207.

Lois de la Grèce. Celles de Minos, de Lycurgue et de Platon, ne peuvent subsister que dans un petit État,208. - Ont puni, ainsi que les lois romaines, l'homicide de soi-même, sans avoir le même objet, 473.- Source de plusieurs lois abominables de la Grèce 475.

Lois de la morale. Sont bien moins observées que les lois physiques, 190, 191. — - Quel en est le principal effet, 191. Lois de l'éducation. Doivent être relatives au principe du gouvernement, 204 et suiv.

Lois de Lycurgue. Leurs contradictions apparentes prouvest la grandeur de son génie, 207. — Ne pouvaient suleister que dans un petit État, 208.

Lois de Moise. Leur sagesse au sujet des asiles, 416, 417. Lois de Penn. Comparées avec celles de Lycurgue, 207. Lois de Platon. Étaient la correction de celles de Lacedemote, 207.

Lois des Bavarois. On y ajouta plusieurs capitulaires; suže qu'eut cette opération, 444.

Lois des Bourguignons. Sont assez Judicieuses, 439. — ment cessèrent d'être en usage chez les Français, 443 et saiv Lois des Lombards. Les changements qu'elles essuyérent fa rent plutôt des additions que des changements, 439. - Sent assez judicieuses, ibid. — On y ajouta plusieurs capitulaire suite qu'eut cette opération, 444.

Lois des peuples germains. Leurs différents caractères, a

et suiv.

Lois (despotisme). Il n'y a point de lois fondamentales d les États despotiques, 198.- Qui sont celles qui derivent de l'état despotique, ibid. — Il en faut un très-petit nombre dass un État despotique, 219. Comment elles sont relative 20 pouvoir despotique,ibid.-Lavolonté du prince est la seule lo dans les États despotiques,ibid. et suiv.-Causes de leur simplicité dans les États despotiques, 227.-Celles qui ordonnent aux enfants de n'avoir d'autre profession que celle de jeur père ne sont bonnes que dans un Etat despotique, 355. Lois des Saxons. Causes de leur dureté, 439. Lois des Wisigoths. Furent refondues par leurs rois et par le clergé. Ce fut le clergé qui y introduisit les peines corporelles, qui furent toujours inconnues dans les autres lois harbares auxquelles il ne toucha point, 439.- C'est de ces lois qu'ont été tirées toutes celles de l'inquisition : les moines n'ont fait les copier, ibid. — Sont idiotes, n'atteignent point le but, que frivoles dans le fond, et gigantesques dans le style, ibid. Triomphèrent en Espagne; et le droit romain s'y perdit. 443. Comment cessèrent d'être en usage en France, ibid et suiv. - L'ignorance de l'écriture les a fait tomber en Espagne,

444.

Lois divines. Rappellent sans cesse l'homme à Dieu, qu'il aurait oublié à tous les instants, 191. C'est un grand principe qu'elles sont d'une autre nature que les lois humaines, 429.Autres principes auxquels celui-là est soumis. 1o Les leis divines sont invariables, les lois humaines sont variables: 29 la principale force des lois divines vient de ce qu'on croit la religion: elles doivent donc être anciennes. La principar force des lois humaines vient de la crainte; elles peuvent donc être nouvelles, ibid.

Lois domestiques. On ne doit point décider de ce qui est de leur ressort par les lois civiles, 431.

Lois du mouvement. Sont invariables, 190.

Lois (égalité). Loi singulière qui, en introduisant l'égalité, la rend odieuse, 213.

Lois (esclavage). Comment celles de l'esclavage civil ont du rapport avec la nature du climat, 307. — Ce qu'elles doivent faire par rapport à l'esclavage, 311. — - Comment celles de l'esclavage domestique ont du rapport avec la nature du cămat, 315. Comment celles de la servitude politique ont da rapport avec la nature du climat, 322.

Lois (Espagne). Absurdité de celles qui ont été faites sur l'emploi de l'or et de l'argent, 377.

Lois féodales. Ont pu avoir des raisons pour appeler les måles i la succession, à l'exclusion des filles, 424.- Quand la France commença à être plutôt gouvernée par les lois féodales que par les lois politiques, 443, 444.-Quand s'établirent, tõid. — Théorie de ces lois, dans le rapport qu'elles ont avec la monarchie, 478 et suiv. et 503 el suiv. - Leurs sources,

479.

Lois (France). Les anciennes lois de France étaient parfaitement dans l'esprit de la monarchie, 232. — Ne doivent point, en France, gêner les manières, elles gêneraient les vertus

338.-Quand commencèrent, en France, à plier sous l'autorité des coutumes, 445.

is humaines. Tirent leur principal avantage de la nouveauté, 422. - Voyez Lois divines.

vis (Japon). Pourquoi sont si sévères au Japon, 233, 306 et suiv.-Tyrannisent le Japon, 338. — Punissent au Japon la moindre des obéissance; c'est ce qui a rendu la religion chrétienne odieuse, 421.

is Juliennes. Avaient rendu le crime de lèse-majesté arbiraire, 285. Ce que c'était, 399.- On n'en a plus que des ragments: où se trouvent ces fragments: détails de leurs disositions contre le célibat, ibid. et suiv.

is (liberté). De celles qui forment la liberté politique, dans son rapport avec la constitution, 263.- De celles qui forment a liberté politique, dans son rapport avec le citoyen, 280. — Comment forment la liberté du citoyen, ibid. et suiv. Paadoxe sur la liberté, 281. — Authenticité que doivent avoir Selles qui privent un seul citoyen de sa liberté, lors même que 'est pour conserver celle de tous, 289.- De celles qui sont Cavorables à la liberté des citoyens, dans une république,ibid. - De celles qui peuvent mettre un peu de liberté dans les tats despotiques, 292. - N'ont pu faire de la liberté du cigoyen un objet de commerce, 308. — Peuvent être telles, ue les travaux les plus pénibles soient faits par des homes libres et heureux, 310.

es (mariages). Ont, dans certains pays, établi divers ordres 3 femmes légitimes, 393. - Dans quels cas il faut suivre les is civiles, en fait de mariage, plutôt que celles de la region, 427. — Dans quels cas les lois civiles doivent régler s mariages entre parents; dans quels cas ce doit être les is de la nature, ibid. et suiv. - Ne peuvent ni ne doivent ermettre les mariages incestueux : quels ils sont, 428. — ermettent ou défendent les mariages, selon qu'ils paraissent onformes ou contraires à la loi de nature dans les difféents pays, 429.

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s (monarchie). Arrêtent les entreprises tyranniques des honarques: mais dans une république n'ont aucun pouvoir ur celles d'un citoyen subitement revêtu d'une autorité u'elles n'ont pas prévue, 196. — La monarchie a pour base s lois fondamentales de l'État, 197. — Qui sont celles qui érivent du gouvernement monarchique, ibid. — Doivent, ans une monarchie, avoir un dépôt fixe : quel est ce déôt, 198.- Dans une monarchie, tiennent lieu de vertu, Jointes à l'honneur, produisent, dans une monarhie, le même effet que la vertu, 201, 202. L'honneur ur donne la vie, dans une monarchie, 202. — Comment ont relatives à leur principe, dans une monarchie, 217. — oivent-elles contraindre les citoyens d'accepter les emlois? 224. Le monarque ne peut les enfreindre sans anger, 230. Leur exécution, dans la monarchie, fait a sûreté et le bonheur du monarque, 290. — Doivent meacer, et le prince encourager, 291.

1.

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́s (monnaie). Leur rapport avec l'usage de la monnaie,

78.

is naturelles. S'établissent entre les êtres unis par le seniment, 191.-Leur source. Règles pour les connaitre bien, bid. — Règles pour les discerner d'avec les autres, ibid. — Celle qui nous porte vers Dieu est la première par son imortance, et non la première dans l'ordre des lois, ibid. Quelles sont les premières dans l'ordre de la nature même, bid. et suiv Obligent les pères à nourrir leurs enfants, mais non pas à les faire héritiers, 424. — C'est par elles qu'il 'aut décider dans les cas qui les regardent, et non par les préceptes de la religion, 425. — Dans quels cas doivent régler les mariages entre parents : dans quels cas ce doit être les lois civiles, 427 et suiv. Ne peuvent être locales, 428, 429.-Leur défense est invariable, ibid. —Est-ce un

crime de dire que la première loi de la nature est la paix, et que la plus importune est celle qui prescrit à l'homme ses devoirs envers Dieu ? 533.

Lois (Orient). Raisons physiques de leur immutabilité en Orient, 302.

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- Pour

Lois politiques. Quel est leur principal effet, 192. quoi l'auteur n'a point séparé les lois politiques des lois civiles, 193. De celles des peuples qui n'ont point l'usage de la monnaie, 329, 330. — La religion chrétienne veut que les hommes aient celles qui concernent la religion 419. Elles seules, avec les lois civiles, règlent les successions, et le partage des biens, 424. Seules, avec les lois civiles, décident, dans les monarchies purement électives, dans quels cas la raison veut que la couronne soit déférée aux enfants, ou à d'autres, ibid. Seules, avec les lois civiles, règlent les successions des bátards, 425. — Les hommes leur ont sacrifié leur indépendance naturelle : conséquences qui en résultent, 429. —Règlent seules la succession à la couronne, 430.-Ce n'est point par ces lois que l'on doit décider ce qui est du droit des gens, 431. - Celle qui, par quelque circonstance, détruit l'Etat, doit être changée, 432. Les lois civiles en dépendent : pourquoi,

475.

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Lois (religion.) Quel en est l'effet principal, 191. - Quelles sont les principales qui furent faites dans l'objet de la perfection chrétienne, 402. - Leur rapport avec la religion établie dans chaque pays, considérée dans ses pratiques et en elle-même, 406, 415. — La religion chrétienne veut que les hommes aient les meilleures lois civiles qui sont possibles, 406.- Celles d'une religion qui n'a pas seulement le bon pour objet, mais le meilleur ou la perfection, doivent étre des conseils, et non des préceptes, 408. - Celles d'une religion, quelle qu'elle soit, doivent s'accorder avec celles de la morale, ibid. — Comment la force de la religion doit s'appliquer à la leur, 410. — Il est bien dangereux que les lois civiles permettent ce que la religion doit défendre, quand celle-ci defend ce qu'elles doivent permettre, ibid. Ne peuvent pas réprimer un peuple dont la religion ne promet que des récompenses, et point de peines, 410, 411. - Comment corrigent quelquefois les fausses religions, 411. - Comment les lois de la religion ont l'effet des lois civiles, 412.-Du rapport qu'elles ont avec l'établissement de la religion de chaque pays, et sa police extérieure, 415 et suiv. 422 et suiv. Il faut, dans la religion, des lois d'épargne, 418. Comment doivent être dirigées celles d'un Etat qui tolère plusieurs religions, 419. — Dans quels cas les lois civiles doivent être suivies lorsqu'elles permettent, plutôt que celles de la religion qui défendent, 425, 426. Quand doiton, à l'égard des mariages, suivre les lois civiles plutôt que celles de la religion? 427.

Lois (république). Celles qui établissent le droit de suffrages dans la démocratie sont fondamentales, 193. - Qui sont celles qui dérivent du gouvernement républicain, et premièrement de la démocratie, 193 et suiv. - Par qui doivent être faites dans une démocratie, 195. - Qui sont celles qui dérivent du gouvernement aristocratique, ibid. et suiv. Qui sont ceux qui les font, et qui les font exécuter dans l'aristocratie, 195. — Avec quelle exactitude elles doivent être maintenues dans une république, ibid. et suiv.

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