L'Eneide, Volume 2Giguet et Michaud, 1808 |
From inside the book
Results 1-5 of 35
Page 11
... cœur , ont signalé son bras ! » Que d'éclat dans ses traits , de charme en son langage ! >> Qu'au récit des périls que brava son courage # Postquam primus amor deceptam morte fefellit ; Si non L'ÉNÉIDE . LIVRE QUATRIÈME. ...
... cœur , ont signalé son bras ! » Que d'éclat dans ses traits , de charme en son langage ! >> Qu'au récit des périls que brava son courage # Postquam primus amor deceptam morte fefellit ; Si non L'ÉNÉIDE . LIVRE QUATRIÈME. ...
Page 53
... bras soutiennent sa foiblesse , Et sur un lit pompeux la portent , loin du jour , Mourante de douleur , et de rage , et d'amour . Énée .... ah ! quel regret accable sa tendresse ! Qu'il voudroit de Didon consoler la tristesse ! Mais le ...
... bras soutiennent sa foiblesse , Et sur un lit pompeux la portent , loin du jour , Mourante de douleur , et de rage , et d'amour . Énée .... ah ! quel regret accable sa tendresse ! Qu'il voudroit de Didon consoler la tristesse ! Mais le ...
Page 71
... bras qui les sillonnent . L'Aurore abandonnoit la couche de Tithon , Et la Nuit pâlissoit de son premier rayon : Didon , du haut des tours , jetant les yeux sur l'onde , Les voit voguer au gré du vent qui les seconde . Regina e speculis ...
... bras qui les sillonnent . L'Aurore abandonnoit la couche de Tithon , Et la Nuit pâlissoit de son premier rayon : Didon , du haut des tours , jetant les yeux sur l'onde , Les voit voguer au gré du vent qui les seconde . Regina e speculis ...
Page 75
... bras , » De ses plus chers amis il pleure le trépas ! » Qu'une honteuse paix suive une guerre affreuse ! » Qu'au moment de régner une mort malheureuse » L'enlève avant le temps ! qu'il meure sans secours » Et que son corps sanglant ...
... bras , » De ses plus chers amis il pleure le trépas ! » Qu'une honteuse paix suive une guerre affreuse ! » Qu'au moment de régner une mort malheureuse » L'enlève avant le temps ! qu'il meure sans secours » Et que son corps sanglant ...
Page 83
... bras sa sœur presque glacée , Elle arrête son sang , la réchauffe . A ses cris , Didon rouvre en mourant ses yeux appesantis ; Sa force l'abandonne ; au fond de sa blessure , Son sang en bouillonnant forme un triste murmure . Trois fois ...
... bras sa sœur presque glacée , Elle arrête son sang , la réchauffe . A ses cris , Didon rouvre en mourant ses yeux appesantis ; Sa force l'abandonne ; au fond de sa blessure , Son sang en bouillonnant forme un triste murmure . Trois fois ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æther affreux agmina amante amor amour Anchise antè arma armis arva Ascagne atque avoit Carthage ciel cieux cœur combats conjux corpore coursiers cùm d'Aceste d'Anchise Darès destin dictis Dido Didon dieu dieux divine divûm douleur doux Énée enfers Eryx Eurytion fata feux fils flamme flots fureur genus gloire guerrier hæc Haud héros Hinc Hunc Idem ille Infelix ingens inter ipse Jamque Junon Jupiter jussa juventus l'amour l'Eneide l'onde lieux littora livre magni main malheureux mihi Misène Mnesthée moenia monstre mort Multa Nisus nuit nunc ombres omnes omnia Palinure paroît pater pectore pelago Pergame peuple Phlégéthon pleurs Pluton poëte prêtresse primùm procul quæ quàm quid Quis Quò quondam quos reine rivage rival sang sese sibylle sœur sort Styx super talia tandem tantùm terrâ terre Teucros tibi triste Troie Troyens Tuque umbras urbem vaisseaux Vénus verò Virgile viri voix yeux
Popular passages
Page 42 - Nec te noster amor, nec te data dextera quondam, Nec moritura tenet crudeli funere Dido ? Quin etiam hiberno moliris sidere classem, Et mediis properas aquilonibus ire per altum...
Page 252 - Talibus orabat dictis, arasque tenebat, cum sic orsa loqui vates : ' Sate sanguine divom, 125 Tros Anchisiade, facilis descensus Averno ; noctes atque dies patet atri janua Ditis ; sed revocare gradum superasque evadere ad auras, hoc opus, hic labor est.
Page 72 - ... tum vos, o Tyrii, stirpem et genus omne futurum exercete odiis, cinerique haec mittite nostro munera. nullus amor populis, nec foedera sunto. exoriare aliquis nostris ex ossibus ultor, qui face Dardanios ferroque sequare colonos, nunc, olim, quocumque dabunt se tempore vires. litora litoribus contraria, fluctibus undas inprecor, arma armis ; pugnent ipsique nepotesque.
Page 320 - Attigerint, quantas acies stragemque ciebunt ! Aggeribus socer Alpinis atque arce Monoeci 830 Descendens, gener adversis instructus Eois. Ne, pueri, ne tanta animis adsuescite bella, Neu patriae validas in viscera vertite vires ; Tuque prior, tu parce, genus qui ducis Olympo, Projice tela manu, sanguis meus ! — 835 Ille triumphata Capitolia ad alta Corintho Victor aget currum, caesis insignis Achivis.
Page 30 - ... luce sedet custos aut summi culmine tecti, turribus aut altis, et magnas territat urbes, tam ficti pravique tenax quam nuntia veri.
Page 204 - Italiam ; gens dura atque aspera cultu 730 debellanda tibi Latio est. Ditis tamen ante infernas accede domos, et Averna per alta congressus pete, nate, meos. Non me impia namque Tartara habent, tristes umbrae, sed amoena piorum concilia Elysiumque colo.
Page 202 - Nate dea, quo fata trahunt retrahuntque sequamur ; quidquid erit, superanda omnis fortuna ferendo est.
Page 252 - Cocytusque sinu labens circumvenit atro. Quod si tantus amor menti, si tanta cupido est Bis Stygios innare lacus, bis nigra videre Tartara, et insano juvat indulgere labori, 135 Accipe, quae peragenda prius.
Page 306 - Aenean, alacris palmas utrasque tetendit, 685 effusaeque genis lacrimae, et vox excidit ore : ' venisti tandem, tuaque exspectata parenti vicit iter durum pie-tas ? datur ora tueri, nate, tua, et notas audire et reddere voces ? sic equidem ducebam animo rebarque futurum 690 tempora dinumerans, nee me mea cura fefellit. quas ego te terras et quanta per aequora vectum accipio ! quantis iactatum, nate, periclis ! quam metui, ne quid Libyae tibi regna nocerent...
Page 73 - C'est ainsi que mon ombre exige qu'on l'honore. Sors de ma cendre, sors, prends la flamme et le fer, Toi qui dois me venger des enfants de Teucer! Que le peuple latin, que les fils de Carthage, Opposés par les lieux, le soient plus par leur rage! Que de leurs ports jaloux, que de leurs murs rivaux, Soldats contre soldats, vaisseaux contre vaisseaux, Courent ensanglanter et la mer et la terre!