| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1731 - 320 pages
...couleurs, qui m'entouroit ; fi j'etois aux fpe&acles, je voyois auffî-tôt cent lorgnettes dreflees contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été -vu que moi. Je fouris quelquefois d'en» tendre des gens , qui n'ctoient prefque jamais fortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1764 - 466 pages
...d'abord cent lorgnettes dreffées( * ) Les Perfans font l«s plus tolérans de tous les Maho-r ««tans, contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Europe - 1767 - 764 pages
...couleurs, qui m'entouroiç : fi j'étois aux fpe&acles, je trouvois d'abord cent lorgnettes drefTées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'en-< tendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre ,... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu (baron de la Brède) - 1771 - 688 pages
...couleurs , qui m "entourait : fi j'étois aux fpeftacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dreffées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 510 pages
...couleurs , qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, (*)... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui disoient fentre eux: II faut avouer qu'il a l'air bien Persan. Chose admirable ! je trouvois de mes portraits par-tout; je me voyois multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: 5 enfin jamais homme n'a tant été vu que moi-. Je...chambre , qui disaient entre eux : II faut avouer qn « a ï'air bien persan. Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1818 - 704 pages
...couleurs qui m'entouroit. Si j'élois aux spectacles, je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...couleurs, qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dressees contre ma figure : enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 506 pages
...couleurs , qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles, je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
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