Œuvres complètes de Voltaire: MélangesHachette, 1860 |
From inside the book
Results 1-5 of 97
Page 15
... quatre - vingts millions de revenu , et il a rempli son devoir en secourant l'État à proportion de ses richesses . Les évêques de France ont été pour la plupart respectables par leur con- duite , et leurs aumônes ont dû les rendre chers ...
... quatre - vingts millions de revenu , et il a rempli son devoir en secourant l'État à proportion de ses richesses . Les évêques de France ont été pour la plupart respectables par leur con- duite , et leurs aumônes ont dû les rendre chers ...
Page 20
... il n'est pas d'animaux plus ennemis de l'homme , que le sont entre eux les chrétiens quand la religion les divise . ( Cette note est de 1775. ) crer un jour quatre mille cinq cents prisonniers on demande 20 ÉCLAIRCISSEMENTS HISTORIQUES .
... il n'est pas d'animaux plus ennemis de l'homme , que le sont entre eux les chrétiens quand la religion les divise . ( Cette note est de 1775. ) crer un jour quatre mille cinq cents prisonniers on demande 20 ÉCLAIRCISSEMENTS HISTORIQUES .
Page 21
Voltaire. crer un jour quatre mille cinq cents prisonniers on demande au libelliste s'il aurait voulu être le prisonnier de saint Charlemagne . IX SOTTISE DE NONOTTE . Sur les rois de France bigames . - Notre homme assure , à l'occasion ...
Voltaire. crer un jour quatre mille cinq cents prisonniers on demande au libelliste s'il aurait voulu être le prisonnier de saint Charlemagne . IX SOTTISE DE NONOTTE . Sur les rois de France bigames . - Notre homme assure , à l'occasion ...
Page 24
... quatre chevaux blancs : les jésuites auront de la peine à faire servir dorénavant cette peinture de tableau d'autel dans les églises de Paris . - - XVe SOTTISE DE NONOTTE . Sur les croisades . Le bon sens de l'auteur du libelle se ...
... quatre chevaux blancs : les jésuites auront de la peine à faire servir dorénavant cette peinture de tableau d'autel dans les églises de Paris . - - XVe SOTTISE DE NONOTTE . Sur les croisades . Le bon sens de l'auteur du libelle se ...
Page 30
... quatre prêtres français qui l'immolaient à la faction de l'Angleterre . On sait assez comment on eut la bassesse artificieuse de mettre au- près d'elle un habit d'homme pour la tenter de reprendre cet habit , et avec quelle absurde ...
... quatre prêtres français qui l'immolaient à la faction de l'Angleterre . On sait assez comment on eut la bassesse artificieuse de mettre au- près d'elle un habit d'homme pour la tenter de reprendre cet habit , et avec quelle absurde ...
Common terms and phrases
anciens années appelle assez aurait auteur avaient avez avons barbare c'était cardinal cent chap chose chrétiens commence condamné conseil crime croire d'autres d'avoir d'être demande devait Dieu dire disait doit donner doute écrit effet enfants enfin esprit faisait femme fille fils fond force frère gens Grecs guerre Henri histoire hommes humain j'ai jésuite Jésus jour juges Juifs jusqu'à l'auteur l'esprit l'histoire laisse lettre lieu livre lois Louis lui-même main maître malheureux ment mieux mille miracles monde monsieur mort n'avait n'en n'était nation nature nombre nommé nouvelle ouvrage pape parler paroles passé pays peine pendant penser père personne petit petite peuple peut-être philosophe Pierre porte pouvait premier présent presque prêtre prince punir qu'un quatre raison rapporte regarde religion reste rien Romains Rome s'il saint savant semble sentiment serait servir seul siècle terre Testament traité trouve venir vérité Voltaire voyez vrai
Popular passages
Page 512 - II faut des spectacles dans les grandes villes et des romans aux peuples corrompus. J'ai vu les mœurs de mon temps, et j'ai publié ces lettres : que n'ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu!
Page 201 - Quoi ! des plus chères mains craignant les trahisons, J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons, J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie.
Page 117 - Nous savons que plusieurs chefs de famille, qui ont élevé de grandes fortunes dans les pays étrangers, sont prêts à retourner dans leur patrie ; ils ne demandent que la protection de la loi naturelle, la validité de leurs mariages, la certitude de l'état de leurs enfants, le droit d'hériter de leurs pères, la franchise de leurs personnes...
Page 506 - Oui, je ne crains point de le dire, s'il existait en Europe un seul gouvernement vraiment éclairé, un gouvernement dont les vues fussent vraiment utiles et saines, il eût rendu des honneurs publics à l'auteur d'Emile, il lui eût élevé des statues.
Page 249 - Cinna, par vos conseils je retiendrai l'empire, « Mais je le retiendrai pour vous en faire part.
Page 259 - ... tum vos, o Tyrii, stirpem et genus omne futurum exercete odiis, cinerique haec mittite nostro munera. nullus amor populis, nec foedera sunto. exoriare aliquis nostris ex ossibus ultor, qui face Dardanios ferroque sequare colonos, nunc, olim, quocumque dabunt se tempore vires. litora litoribus contraria, fluctibus undas inprecor, arma armis ; pugnent ipsique nepotesque.
Page 459 - Notre cœur égaré, sans guide et sans appui, Est brûlé de désirs, ou glacé par l'ennui ; Nul de nous n'a vécu sans connaître les larmes. De la société les secourables charmes Consolent nos douleurs, au moins quelques instans : Remède encor trop faible à des maux si constans.
Page 246 - J'ayme les Historiens ou fort simples ou excellens. Les simples, qui n'ont point dequoy y mesler quelque chose du leur, et qui n'y apportent que le soin et la diligence de r'amasser tout ce qui vient à leur notice, et d'enregistrer à la bonne foy toutes choses sans chois et sans triage, nous laissent le jugement entier pour la cognoissance de la vérité.
Page 512 - ... que ceux qui parviennent dans les monarchies ne sont le plus souvent que de petits brouillons, de petits fripons , de petits intrigants , à qui les petits talents , qui font dans les cours parvenir aux grandes places, ne servent qu'à montrer au public leur ineptie aussitôt qu'ils y sont parvenus.
Page 511 - Je sais , monsieur, combien de préjugés sont contre moi ; je sais que dans les démêlés entre le maître et le domestique, c'est toujours le dernier qui a tort ; je sais , d'ailleurs , qu'étant entièrement inconnu , je n'ai personne qui s'intéresse pour moi : votre générosité et mon bon droit sont mes seuls protecteurs ; mais je me confie également en l'un et en l'autre.