Histoire de Napoléon, de sa famille et de son époque au point de vue de l'influence des idées napoléoniennes sur le monde, Volume 1Plon frères, 1853 - France |
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aide de camp Alpes Alvinzi armée armes arrive attaquer Augereau Autrichiens avez Bassano bataille bataille d'Arcole bataillons Beaulieu Bernadotte Berthier blessés Bologne Bonaparte braves Brenta Brescia campagne Castiglione cavalerie cents hommes chargé cheval citoyen colonne combat commandait Corse courage d'Arcole d'artillerie d'Augereau Davidowich Dego demi-brigade Desaix devant Directoire division drapeaux écrivait Égypte ennemis forces gauche général en chef général Kilmaine gloire gouvernement grenadiers guerre Guyeux héros heures j'ai Joubert jours Kaire Kilmaine Kléber l'Adige l'armée d'Italie l'armée française l'Autriche l'avant-garde l'Égypte l'empereur l'ennemi Laharpe laisser Lannes Legnago lettre Livourne Louis Bonaparte mameluks Mantoue marche Masséna ment Milan militaire mille hommes Mincio ministre mouvement Murat officiers ordonne paix peuple pièces de canon Piémont pont portes position prince prisonniers quartier général Quasdanowich républicains République française retraite Rhin rive Rivoli Rome Roverbella s'était Saint-Jean-d'Acre Salicetti Serrurier soldats succès tion Tortone traverser troupes Tyrol Vaubois Venise vénitien Vérone victoire village voulait Wurmser
Popular passages
Page 436 - Soldats, Vous allez entreprendre une conquête dont les effets sur la civilisation et le commerce du monde sont incalculables. Vous porterez à l'Angleterre le coup le plus sûr et le plus sensible, en attendant que vous puissiez lui donner le coup de mort.
Page 400 - Les vraies conquêtes, les seules qui ne donnent aucun regret, sont celles que l'on fait sur l'ignorance. L'occupation la plus honorable comme la plus utile pour les nations, c'est de contribuer à l'extension des idées humaines. La vraie puissance de la République française doit consister désormais à ne pas permettre qu'il existe une seule idée nouvelle qu'elle ne lui appartienne.
Page 329 - ... favorables, l'Allemagne n'en sera pas moins ravagée. Quant à moi, monsieur le général en chef, si l'ouverture que j'ai l'honneur de vous faire peut sauver la vie à un seul homme, je m'estimerai plus fier de la couronne civique, que je me trouverai avoir méritée, que de la triste gloire qui peut revenir des succès militaires.
Page 17 - Piémont ; vous avez fait quinze mille prisonniers , tué ou blessé plus de dix mille hommes. Vous vous étiez jusqu'ici battus pour des rochers stériles , illustrés par votre courage , mais inutiles à la patrie. Vous égalez aujourd'hui par vos services l'armée conquérante de la Hollande et du Rhin.
Page 489 - Faites connaître au peuple que, depuis que le monde est monde, il était écrit qu'après avoir détruit les ennemis de l'islamisme, fait abattre les croix , je viendrais du fond de l'Occident remplir la tâche qui m'a été imposée.
Page 430 - Vous êtes une des ailes de l'armée d'Angleterre. Vous avez fait la guerre de montagnes, de plaines, de sièges ; il vous reste à faire la guerre maritime. Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour à tour sur cette même mer et aux plaines de Zama. La victoire ne les abandonna jamais, parce que constamment elles furent braves, patientes à supporter les fatigues, disciplinées et unies entre elles.
Page 396 - Le peuple franÇais, pour être libre, avait les rois à combattre. «Pour obtenir une constitution fondée sur la raison, il avait dix-huit siècles de préjugés à vaincre. «La constitution de l'an III et vous, avez triomphé de tous ces obstacles.
Page 436 - Les légions romaines protégeaient toutes les religions. Vous trouverez ici des usages différents de ceux de l'Europe : il faut vous y accoutumer. « Les peuples chez lesquels nous allons traitent les femmes différemment que nous ; mais, dans tous les pays, celui qui viole est un monstre. « Le pillage n'enrichit qu'un petit nombre d'hommes, il nous déshonore, il détruit nos ressources, il nous rend ennemis les peuples qu'il est de notre intérêt d'avoir pour amis.
Page 507 - Encore quelques jours, et vous aviez l'espoir de prendre le pacha même au milieu de son palais ; mais, dans cette saison, la prise du château d'Acre ne vaut pas la perte de quelques jours ; les braves que je devrais d'ailleurs y perdre sont aujourd'hui nécessaires pour des opérations plus essentielles.
Page 355 - Soldats ! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée sont là. Des montagnes nous séparent de la France ; vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir la constitution, défendre la liberté, soutenir le gouvernement et les républicains.