Répertoire du Théâtre François: "Tragédies"Petitot (M., Claude-Bernard) P. Didot l'ainé, chez Perlet, 1803 - French drama |
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... pour dire encore moins ; au lieu qu'un critique sérieux est obligé d'avoir raison . J'ai laissé dans la piece * un vers de Corneille , * Acte II , scene II . que la force de mon sujet m'avoit fait faire aussi 3 . PREFAC E. 17.
... pour dire encore moins ; au lieu qu'un critique sérieux est obligé d'avoir raison . J'ai laissé dans la piece * un vers de Corneille , * Acte II , scene II . que la force de mon sujet m'avoit fait faire aussi 3 . PREFAC E. 17.
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Petitot (M., Claude-Bernard). que la force de mon sujet m'avoit fait faire aussi ; et quand on m'a fait appercevoir qu'il étoit du Cid * , je n'ai pas cru devoir me donner la peine de l'affoiblir pour le déguiser . * Acte II , scene VII ...
Petitot (M., Claude-Bernard). que la force de mon sujet m'avoit fait faire aussi ; et quand on m'a fait appercevoir qu'il étoit du Cid * , je n'ai pas cru devoir me donner la peine de l'affoiblir pour le déguiser . * Acte II , scene VII ...
Page 90
... force du vainqueur N'excuse - t - elle pas la foiblesse du cœur ? Je n'en rougis donc point ; j'aime , et l'objet que j'aime Répond de même ardeur à mon amour extrême , Ou , puisque le premier il engagea ma foi , Je paie , à dire mieux ...
... force du vainqueur N'excuse - t - elle pas la foiblesse du cœur ? Je n'en rougis donc point ; j'aime , et l'objet que j'aime Répond de même ardeur à mon amour extrême , Ou , puisque le premier il engagea ma foi , Je paie , à dire mieux ...
Page 106
... force . Dans l'Ecole des peres , une jeune personne pleine de douceur plaint un pere qui , après avoir tout donné à ses enfans , éprouve leur ingratitude ; l'interlocuteur répond : C'est bien fait : faut - il plaindre Ces peres vrais ...
... force . Dans l'Ecole des peres , une jeune personne pleine de douceur plaint un pere qui , après avoir tout donné à ses enfans , éprouve leur ingratitude ; l'interlocuteur répond : C'est bien fait : faut - il plaindre Ces peres vrais ...
Page 111
... force et d'originalité . On peut attribuer aussi la chûte de cette piece à une circonstance qui dut à cette époque influer beaucoup sur le jugement des spectateurs : M. de Voltaire avoit peint dans Alzire les Espagnols sous les couleurs ...
... force et d'originalité . On peut attribuer aussi la chûte de cette piece à une circonstance qui dut à cette époque influer beaucoup sur le jugement des spectateurs : M. de Voltaire avoit peint dans Alzire les Espagnols sous les couleurs ...
Common terms and phrases
ACTE ADÉLAÏDE affreux alarmes ALPHONSE amant amour ANDROMAQUE ARBAS ASTYANAX asyle avoit barbare BLANCHE bonheur bras Carthage CASIMIR CASSANDRE CÉPHISE Chateaubrun cher CHRISTIERNE ciel cœur connois Constance courroux craint Crassus crime cruel déja destin DIDON dieux digne douleur ÉMILIE ÉNÉE époux étoit EUMENE fille fils foible foiblesse FRÉDÉRIC frémis funeste fureur gloire grace Grecs GUISCARD Gustave HÉCUBE Hélas héros hymen IARBE INÈS IPHIGÉNIE IPHIS Irene ISMÉNIE j'ai jour l'amour l'interrompant laisse larmes LAURE Léonor long-tems madame MADHERBAL Mahomet main malheureux maux mort mortels mufti NORICUS ORESTE Osmont paroît PEDRE pere peuple piece Piron pleurs poëte POLYXENE prince princesse PYLADE qu'un rage reine RODOLPHE rois sang Saurin SCENE PREMIERE SCENE VII seigneur sentimens seroit seul SIFFREDI soins soldats sort SPARTACUS succès SUNNON TADIL tems tendresse théâtre THÉODORE THESTOR THOAS tragédie transports tremble trépas triste trône Troyens tyran ULYSSE vainqueur vengeance venger vertu vois yeux zele
Popular passages
Page 160 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 254 - Noricus, je confesse, à ma honte, que tantôt, emporté d'une chaleur trop prompte, j'ai par un mot cruel blessé votre grand cœur ; mais, non moins que du mien, jaloux de votre honneur, je viens publiquement réparer cet outrage. Tous ces chefs assemblés vous rendront témoignage qu'ici je désavoue un aveugle transport : vous avez vaillamment secondé mon effort, quand du poste attaqué je me suis rendu maître ; et si j'ai réussi, je ne le dois, peut-être, qu'aux attaques déjà deux fois...
Page 257 - L'avantage du poste est sans doute pour vous : Mais sachez , Spartacus , que nous avons pour nous La nécessité même où nous sommes de vaincre. Vous savez (mille faits ont dû vous en convaincre) Que rien n'est impossible à des cœurs obstinés , Et que des grands périls les grands efforts sont nés. Du sort toujours changeant prévenez l'inconstance : Rome , qui sait priser votre haute vaillance , A des conditions que je viens apporter Avec vous aujourd'hui me permet de traiter. SPARTACUS....
Page 173 - D'un mot, j'aurois tranché ces difficultés vaines ; Si le Prince alarmé , rejetant ce secours , N'eût heureusement su m'en empêcher toujours. Enfin je m'accusai de trop de complaisance ; Et croyant qu'à mon ordre, il manquoit ma présence, Je vis Adélaïde. Ah , Rodolphe ! peins-toi Tout ce qu'a la beauté de séduisant en soi ! Tout ce qu'ont d'engageant la jeunesse...
Page 376 - Mais tu me fuis en vain, mon ombre te suivra. Tremble, ingrat, je mourrai, mais ma haine vivra. Tu vas fonder le trône où le Destin t'appelle...
Page 377 - Et moi je te déclare une guerre immortelle. Mon peuple héritera de ma haine pour toi : Le tien doit hériter de ton horreur pour moi. Que ces peuples rivaux, sur la terre et sur l'onde, De leurs divisions épouvantent le monde ! Que pour mieux se détruire ils franchissent les mers; Qu'ils ne puissent ensemble habiter l'univers; Qu'une égale fureur sans cesse les dévore, Qu'après s'être assouvie elle renaisse encore; Qu'ils violent...
Page 73 - Dans un trouble si grand j'ai peine à vous répondre: Mes frayeurs, vos bontés , tout sert à me confondre. Le prince ne vous doit paroître qu'un ingrat; D'un outrage apparent vous avez vu l'éclat: Je ne suis à vos yeux qu'une indigne rivale ; Cependant.... CONSTANCE. Qu'aujourd'hui la vertu nous égale.
Page 37 - C'est pousser un peu loin ces maximes d'état ; Et je ne croirai point commettre un attentat De vous dire, seigneur, que, malgré ces maximes. La nature a ses droits plus saints , plus légitimes. Le plus vil des mortels dispose de sa foi : Ce droit n'est-il éteint que pour le fils d'un roi? Et l'honneur d'être né si près du rang suprême Me doit-il en esclave arracher à moi-même?... Déja de mes discours frémit votre courroux; Mais regardez , seigneur, un fils à vos genoux : Prêtez à mes...
Page 350 - Je devrois te haïr , ingrat ! et je t'adore. Oui, tu peux sans amour t'éloigner de ces bords; Mais ne crois pas du moins me quitter sans remords : Ton cœur fût-il encor mille fois plus barbare , Tu donneras des pleurs au jour qui nous sépare ; Et, du haut de ces murs, témoins de mon trépas, Les feux de mon bûcher vont éclairer tes pas.
Page 114 - Où s'égare ton cœur! Ose lui commander : Illustre l'amitié, loin de la dégrader. Pense moins à Pylade, et t'occupe d'Oreste; , Du plus beau sang des rois n'avilis point le reste. Sois homme et me fais voir le fils d'Agamemnon. Oublie et tes remords, et ton crime, et ton nom; Que notre honneur soit seul présent à ta pensée.