Répertoire du Théâtre François: "Tragédies" |
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ACTE ADÉLAÏDE affreux aime ALPHONSE amour avoit barbare bientôt BLANCHE bonheur bras caractere cher CHRISTIERNE ciel cœur Constance coups couronne courroux cours crainte crime cruel déja destin devoir DIDON dieux digne doit donner douleur doute ÉMILIE ÉNÉE enfin étoit fers fille fils fond force fureur GARDES gloire Grecs GUISCARD Gustave HÉCUBE Hélas héros heureux homme hymen IARBE INÈS IPHIGÉNIE Irene j'ai jour juste l'amour l'auteur l'interrompant laisse lieux livre loin madame MADHERBAL Mahomet main maître malheureux maux mort mortels ORESTE parle peine pere peuple peut-être piece pieds pleurs porte pouvoir premier PREMIERE prêt prince princesse qu'à qu'en qu'un regards reine rend rendre respect reste rien rois s'il sais sang SCENE secret seigneur sens sentiment seul SIFFREDI soins soldats sort SPARTACUS succès sujet tems théâtre tragédie traits transports triste trône trouble trouve Troyens vain vertu veut veux vient vois voyant yeux zele
Popular passages
Page 160 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 254 - Noricus, je confesse, à ma honte, que tantôt, emporté d'une chaleur trop prompte, j'ai par un mot cruel blessé votre grand cœur ; mais, non moins que du mien, jaloux de votre honneur, je viens publiquement réparer cet outrage. Tous ces chefs assemblés vous rendront témoignage qu'ici je désavoue un aveugle transport : vous avez vaillamment secondé mon effort, quand du poste attaqué je me suis rendu maître ; et si j'ai réussi, je ne le dois, peut-être, qu'aux attaques déjà deux fois...
Page 257 - L'avantage du poste est sans doute pour vous : Mais sachez , Spartacus , que nous avons pour nous La nécessité même où nous sommes de vaincre. Vous savez (mille faits ont dû vous en convaincre) Que rien n'est impossible à des cœurs obstinés , Et que des grands périls les grands efforts sont nés. Du sort toujours changeant prévenez l'inconstance : Rome , qui sait priser votre haute vaillance , A des conditions que je viens apporter Avec vous aujourd'hui me permet de traiter. SPARTACUS....
Page 173 - D'un mot, j'aurois tranché ces difficultés vaines ; Si le Prince alarmé , rejetant ce secours , N'eût heureusement su m'en empêcher toujours. Enfin je m'accusai de trop de complaisance ; Et croyant qu'à mon ordre, il manquoit ma présence, Je vis Adélaïde. Ah , Rodolphe ! peins-toi Tout ce qu'a la beauté de séduisant en soi ! Tout ce qu'ont d'engageant la jeunesse...
Page 376 - Mais tu me fuis en vain, mon ombre te suivra. Tremble, ingrat, je mourrai, mais ma haine vivra. Tu vas fonder le trône où le Destin t'appelle...
Page 377 - Et moi je te déclare une guerre immortelle. Mon peuple héritera de ma haine pour toi : Le tien doit hériter de ton horreur pour moi. Que ces peuples rivaux, sur la terre et sur l'onde, De leurs divisions épouvantent le monde ! Que pour mieux se détruire ils franchissent les mers; Qu'ils ne puissent ensemble habiter l'univers; Qu'une égale fureur sans cesse les dévore, Qu'après s'être assouvie elle renaisse encore; Qu'ils violent...
Page 73 - Dans un trouble si grand j'ai peine à vous répondre: Mes frayeurs, vos bontés , tout sert à me confondre. Le prince ne vous doit paroître qu'un ingrat; D'un outrage apparent vous avez vu l'éclat: Je ne suis à vos yeux qu'une indigne rivale ; Cependant.... CONSTANCE. Qu'aujourd'hui la vertu nous égale.
Page 37 - C'est pousser un peu loin ces maximes d'état ; Et je ne croirai point commettre un attentat De vous dire, seigneur, que, malgré ces maximes. La nature a ses droits plus saints , plus légitimes. Le plus vil des mortels dispose de sa foi : Ce droit n'est-il éteint que pour le fils d'un roi? Et l'honneur d'être né si près du rang suprême Me doit-il en esclave arracher à moi-même?... Déja de mes discours frémit votre courroux; Mais regardez , seigneur, un fils à vos genoux : Prêtez à mes...
Page 350 - Je devrois te haïr , ingrat ! et je t'adore. Oui, tu peux sans amour t'éloigner de ces bords; Mais ne crois pas du moins me quitter sans remords : Ton cœur fût-il encor mille fois plus barbare , Tu donneras des pleurs au jour qui nous sépare ; Et, du haut de ces murs, témoins de mon trépas, Les feux de mon bûcher vont éclairer tes pas.
Page 114 - Où s'égare ton cœur! Ose lui commander : Illustre l'amitié, loin de la dégrader. Pense moins à Pylade, et t'occupe d'Oreste; , Du plus beau sang des rois n'avilis point le reste. Sois homme et me fais voir le fils d'Agamemnon. Oublie et tes remords, et ton crime, et ton nom; Que notre honneur soit seul présent à ta pensée.