La France sous Louis XV (1715-1774)Didier et Cie, 1866 |
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affaires Anglais armée arriva Autrichiens avaient bataille Bavière Belle-Isle Belle-Isle à Breteuil Bohême Breteuil çaise camp campagne cardinal cardinal Fleury cent Châteauroux Chauvelin Coigny commandement comte de Saxe conseil courtisans d'Argenson déclaration demande devait duchesse Édimbourg Égra ennemis envoyé Espagnols Fleury fran Francfort Frauenberg Frédéric garnison général gouvernement guerre Hollande jour l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'électeur de Bavière l'Empereur l'Espagne l'évêque l'infant Labourdonnais laisser lettre Lintz Louis XV magistrats Maillebois Majesté mandement marche maréchal de Broglie maréchal de Richelieu Marie-Thérèse Maurepas mée Mémoires ment mille hommes mille livres ministre Mme de Châteauroux Mme de Mailly n'avait nation négociations Noailles officiers ordres paix parlement peuple Piseck Pologne porter pouvait Prague premier président prendre prince Charles prince Édouard projets Prusse Prussiens refuse reine de Hongrie Rhin Richelieu royaume s'était Sardaigne Saxons septembre serait Silésie soldats suiv tion traité traité de Séville troupes trouvait vaisseaux Versailles victoire Villars Vintimille Voltaire
Popular passages
Page 129 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde : on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Page 139 - La nation anglaise est la seule de la terre qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant, et qui d'efforts en efforts ait enfin établi ce gouvernement sage où le prince, tout-puissant pour faire du bien, a les mains liées pour faire le mal; où les seigneurs sont grands sans insolence et sans vassaux, et où le peuple partage le gouvernement sans confusion.
Page 146 - ... peut-être ne serons-nous jamais capables de connaître si un être purement matériel pense' ou non , par la raison qu'il nous est impossible de découvrir par la contemplation de nos propres idées, sans révélation , si Dieu n'a point donné à quelque amas de matière, disposée comme il le trouve à propos, la puissance d'apercevoir et de penser, ou s'il a joint et uni à la matière ainsi disposée une substance immatérielle qui pense.
Page 130 - ... toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 128 - C'est ici qu'il faut se donner le spectacle des choses humaines. Qu'on voie dans l'histoire de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuples détruits, tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique...
Page 343 - Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l'âge d'or, et le règne d'Astrée, Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, Et le jardin de nos premiers parents; Moi je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m'a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs : Ce temps profane est tout fait pour mes mœurs. J'aime le luxe, et même la mollesse, Tous...
Page 276 - mais elle n'ya pas trouvé de possibilité, et c'est à nous » à nous conformer à ses lumières et à sa prudence. On a » fait de grandes fautes, il est vrai, il serait inutile de les » rappeler ; mais si nous eussions réuni toutes nos troupes, » le mal n'eût pas été sans remède. Il ne faut plus y songer » et ne penser qu'à la paix, puisque Votre Majesté la croit » nécessaire, et le roi ne la désire pas moins que Votre
Page 139 - Il en a coûté sans doute pour établir la liberté en Angleterre; c'est dans des mers de sang qu'on a noyé l'idole du pouvoir despotique; mais les Anglais ne croient point avoir acheté trop cher de bonnes lois.
Page 98 - MÉMOIRES des Commissaires du Roi et de ceux de Sa Majesté Britannique, sur les possessions et les droits respectifs des deux couronnes en Amérique ; avec les actes publics et pièces justificatives.
Page 139 - France de jeunes gens connus par leurs débauches, et élevés à la prélature par des intrigues de femmes, font publiquement l'amour, s'égaient à composer des chansons tendres, donnent tous les jours des soupers délicats et longs, et de là vont implorer les lumières du Saint-Esprit et se nomment hardiment les successeurs des apôtres, ils remercient Dieu d'être protestants.