Oeuvres de Monsieur de Montesquieu, Volume 2F. Grasset, 1761 |
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... état . CHAP . II . Que c'est mal raisonner , de dire la grandeur des tributs foit bonne par elle- même . que 57 CHAP . III . Des tributs , dans les pays où une partie du peuple eft efclave de la glebe . 59 CHAP . IV . D'une république ...
... état . CHAP . II . Que c'est mal raisonner , de dire la grandeur des tributs foit bonne par elle- même . que 57 CHAP . III . Des tributs , dans les pays où une partie du peuple eft efclave de la glebe . 59 CHAP . IV . D'une république ...
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... états defpotiques . 407 CHAP . XV . Ufage de quelques pays d'Italie . 468 CHA CHAPITRE XVI . Du fecours que l'état peut tirer des DES CHAPITRES . XV.
... états defpotiques . 407 CHAP . XV . Ufage de quelques pays d'Italie . 468 CHA CHAPITRE XVI . Du fecours que l'état peut tirer des DES CHAPITRES . XV.
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Charles de Secondat baron de Montesquieu. CHAPITRE XVI . Du fecours que l'état peut tirer des banquiers . CHAP . XVII . Des dettes publiques . 469 ibid . CHAP . XVIII . Du paiement des dettes publi- ques . CHAP . XIX . Des prêts à ...
Charles de Secondat baron de Montesquieu. CHAPITRE XVI . Du fecours que l'état peut tirer des banquiers . CHAP . XVII . Des dettes publiques . 469 ibid . CHAP . XVIII . Du paiement des dettes publi- ques . CHAP . XIX . Des prêts à ...
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... état natu- rel confifte à pouvoir faire tout ce que les loix na . turelles nous ordonnent , & à ne point être contraint de faire ce que ces loix n'ordonnent pas ; dans l'état civil , à pouvoir faire ce que les loix de la fociété civile ...
... état natu- rel confifte à pouvoir faire tout ce que les loix na . turelles nous ordonnent , & à ne point être contraint de faire ce que ces loix n'ordonnent pas ; dans l'état civil , à pouvoir faire ce que les loix de la fociété civile ...
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... état civil ; & dans l'état civil on la diftin- guera relativement aux loix fondamentales & relativement aux loix civiles . On l'appelle au premier égard naturelle , au fecond égard politique , au troifieme égard civile . Voilà ce que l ...
... état civil ; & dans l'état civil on la diftin- guera relativement aux loix fondamentales & relativement aux loix civiles . On l'appelle au premier égard naturelle , au fecond égard politique , au troifieme égard civile . Voilà ce que l ...
Common terms and phrases
accufé affez Afie aifément ainfi auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eſt c'étoit Carthage Carthaginois caufe CHAP CHAPITRE VII Chine chofes Cicéron citoyen climat commerce conféquent conferver confidérable conftitution defpotique efclaves efpeces efprit enfans eſt établi état étoient étoit faifoit feconde femble femmes fent féparer feroient feroit fervi fervitude feul figne fociété foient foit font fous fouvent François Pyrard fuivant fujets fuppofe fureté gens gouvernement Grecs Grégoire de Tours hommes Ibid Indes jufqu'à l'Afie l'argent l'efprit l'esclavage l'état l'ufage laiffe législateurs liberté loi falique loix loix civiles lorfqu'il lorfque mammelons manieres marchandifes ment mer rouge midi mœurs monarchie monnoie MONTESQUIEU n'eft nation nature navigation néceffaire nord paffer particuliere pays penfer Perfe perfonne peuples ples Pline plufieurs Plutarque pourroit prefque prince puiffance puiffe raifon refte richeffes rois roit Romains Strabon Tacite Tartares terres tion tributs ufage ufures vaiffeaux СНА כל دو دو
Popular passages
Page 120 - Une preuve que les nègres n'ont pas le sens commun c'est qu'ils font plus de cas d'un collier de verre que de l'or, qui, chez des nations policées, est d'une si grande conséquence.
Page 292 - Le commerce guérit des préjugés destructeurs, et c'est presque une règle générale que partout où il ya des mœurs douces il ya du commerce, et que partout où il ya du commerce il ya des mœurs douces.
Page 35 - J'avoue pourtant que l'usage des peuples les plus libres qui aient jamais été sur la terre me fait croire qu'il ya des cas où il faut mettre pour un moment un voile sur la liberté, comme l'on cache les statues des dieux.
Page 403 - L'objet de ces colonies est de faire le commerce à de meilleures conditions qu'on ne le fait avec les peuples voisins , avec lesquels tous les avantages sont réciproques.
Page 74 - Il n'est pas inouï de voir des états hypothéquer leurs fonds pendant la paix même, et employer pour se ruiner des moyens qu'ils appellent extraordinaires, et qui le sont si fort, que le fils de famille le plus dérangé les imagine à peine.
Page 120 - Egyptiens, les meilleurs philosophes du monde, étaient d'une si grande conséquence, qu'ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains. Une preuve que les nègres n'ont pas le sens commun, c'est qu'ils font plus de cas d'un collier de verre que de l'or, qui, chez...
Page 22 - Les paroles ne forment point un corps de délit; elles ne restent que dans l'idée. La plupart du temps elles ne signifient point par elles-mêmes, mais par le ton dont on les dit. Souvent, en redisant les mêmes paroles, on ne rend pas le même sens : ce sens dépend de la liaison qu'elles ont avec d'autres choses. Quelquefois le silence exprime plus que tous les discours. Il n'ya rien de si équivoque que tout cela.
Page 246 - S'IL y avoit dans le monde une nation qui eût une humeur sociable, une ouverture de cœur, une joie dans la vie, un goût, une facilité à communiquer ses pensées ; qui fût vive, agréable, enjouée, quelquefois imprudente, souvent indiscrète; et qui eût avec cela du courage, de la générosité, de la franchise, un certain point d'honneur, il ne faudroit point chercher à gêner par des lois ses manières, pour ne point gêner ses vertus.
Page 7 - Le mal est venu de cette idée , qu'il faut venger la Divinité. Mais il faut faire honorer la Divinité, et ne la venger jamais.
Page 73 - État augmente ce qu'il appelle ses troupes, les autres soudain augmentent les leurs; de façon qu'on ne gagne rien par là que la ruine commune. Chaque monarque tient sur pied toutes les armées qu'il pourrait avoir si ses peuples étaient en danger d'être exterminés; et on nomme paix cet état d'effort de tous contre tous.