... règne. Cette faveur, accordée avec discernement, est ce qui produit de l'émulation, et qui échauffe les grands génies ; c'est beaucoup de faire des fondations, c'est quelque chose de les soutenir ; mais s'en tenir à ces établissements, c'est... Oeuvres ...: Correspondance générale - Page 536by Voltaire - 1839Full view - About this book
| François-René vicomte de Chateaubriand - Art and religion - 1816 - 430 pages
...roi pendant ses maladies, et lui lisoit ces chefs-d'œuvre d'éloquence et de poésie qui décnroient ce beau règne. Cette faveur accordée avec discernement,...dans la même ruche l'abeille et le frelon. Louis XIV songeoit à tout; il protég'.oit les académies, et distinguoit ceux qui se signaloient; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Art and religion - 1816 - 424 pages
...pendant ses maladies, et lui lisoit ces chefs-d'œuvre d'éloquence et de poésie qui décoroient ce-beau règne. Cette faveur accordée avec discernement,...dans la même ruche l'abeille et le frelon. Louis XIV songeoit à tout; il protégcoit les académies, et distinguoit ceux qui se signaloient; il ne prodiguoit... | |
| Voltaire - 1821 - 576 pages
...mêmes asiles pour l'homme inntile et pour le grand homme ; c'est recevoir dans la même ruche i'abeillc et le frelon. Louis XIV songeait à tout; il protégeait...académies, et distinguait ceux qui se signalaient. Une prodiguait point ses faveurs à un genre demérite, A l'exclusion des autres, comme tant de prmces... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1827 - 422 pages
...faire des fondations, c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...la même ruche l'abeille et le frelon. » Louis XIV songeoit à tout ; il protégeoit les Académies, et distinguoit ceux qui se signaloient; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1827 - 426 pages
...faire des fondations, c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...la même ruche l'abeille et le frelon. » Louis XIV songeoit à tout ; il protégeoit les Académies, et distinguoit ceux qui se signaloient; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 384 pages
...s'en i cuir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme iuutile et pour le grand homme; c'est .recevoir dans la même ruche l'abeille et le frelon, «Louis XIV songeoit à tout; il protégeoit les académies, et distinguoit ceux qui se signaloient ; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 394 pages
...faire des fondations , c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...la même ruche l'abeille et le frelon. « Louis XIV songeoit à tout ; il protégeoit les académies , et distinguoit ceux qui se signaloient ; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 378 pages
...faire des fondations , c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements, c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...la même ruche l'abeille et le frelon. « Louis XIV songeoit à tout; il protégeoit les académies, et distinguoit ceux qui se signaloient ; il ne prodiguoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1840 - 762 pages
...faire des fondations ; c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...la même ruche l'abeille et le frelon. « Louis XIV songeoit à tout ; il protégeoit les académies , et distinguait ceux qui se signalaient ; il ne prodiguait... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 684 pages
...faire des fondations, c'est quelque chose de les soutenir : mais s'en tenir à ces établissements , c'est souvent préparer les mêmes asiles pour l'homme...ruche l'abeille et le frelon. .< Louis XIV songeait a tout ; il protégeait les académies, et distinguait ceux qui se signalaient ; il ne prodiguait point... | |
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