L'Enéide, Volume 2Giguet et Michaud, 1804 |
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Page 13
... coeur épouvanté ; Je tressaille d'horreur ; mais ma main téméraire Du prodige effrayant veut sonder le mystère : Je tente d'arracher un second arbrisseau , Un nouveau sang jaillit d'un arbuste nouveau . Tremblant , j'offre mes voeux aux ...
... coeur épouvanté ; Je tressaille d'horreur ; mais ma main téméraire Du prodige effrayant veut sonder le mystère : Je tente d'arracher un second arbrisseau , Un nouveau sang jaillit d'un arbuste nouveau . Tremblant , j'offre mes voeux aux ...
Page 17
... coeur faisant taire la gloire , Oublia l'amitié pour suivre la victoire . Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! Égorge Polydore , et saisit son trésor , Et la terre cacha sa victime sanglante . A peine j'eus calmé ma première ...
... coeur faisant taire la gloire , Oublia l'amitié pour suivre la victoire . Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! Égorge Polydore , et saisit son trésor , Et la terre cacha sa victime sanglante . A peine j'eus calmé ma première ...
Page 71
... coeurs : de ces bords orageux Nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête . Les vagues quelquefois nous portent sur leur faîte , Nous poussent vers les cieux , et des voûtes des airs Retombent avec nous au gouffre des enfers . Trois fois ...
... coeurs : de ces bords orageux Nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête . Les vagues quelquefois nous portent sur leur faîte , Nous poussent vers les cieux , et des voûtes des airs Retombent avec nous au gouffre des enfers . Trois fois ...
Page 119
... cœur , Nourrit d'un feu secret la dévorante ardeur : Les vertus du héros , l'éclat de sa naissance , Les combats , les écueils ... coeur noble se sent de sa noble origine . Ne cui me vinclo vellem sociare jugali , Postquam primus L'ÉNÉIDE .
... cœur , Nourrit d'un feu secret la dévorante ardeur : Les vertus du héros , l'éclat de sa naissance , Les combats , les écueils ... coeur noble se sent de sa noble origine . Ne cui me vinclo vellem sociare jugali , Postquam primus L'ÉNÉIDE .
Page 121
... cœur , ont signalé son bras ! » Que d'éclat dans ses traits , de charme en son langage ! » Qu'au récit des périls que brava son courage , » Mon ame en l'écoutant se sentoit alarmer ! » Ah ! si mon coeur flétri pouvoit encore aimer ...
... cœur , ont signalé son bras ! » Que d'éclat dans ses traits , de charme en son langage ! » Qu'au récit des périls que brava son courage , » Mon ame en l'écoutant se sentoit alarmer ! » Ah ! si mon coeur flétri pouvoit encore aimer ...
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Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æther affreux agmina amante amor amour Anchise aras arma armis arva Ascagne atque autels avoit beauté bords Carthage cher cieux clamore classem coeur combat course cursus d'Aceste d'Anchise d'Hector Darès deinde destin dictis Dido Didon dieux divûm doux Énée Éryx étoit Euryale Eurytion fata flamme flots flotte Grecs hæc Haud héros heureux Hinc Hunc Ilion Illa Ille Infelix ingens inter Ipse Italiam Jamque Junon Jupiter jussa juventus l'amour l'Énéide l'onde Latium lieux littora magnis main malheureux mers mihi Mnesthée moenia monstre mort Multa nequidquam Nisus nunc omnes Palinure paroît pater pectore pelago Pergame peuple poëte portus Priam primùm procul puppi quæ Quid quis quò quondam quum reine rivage rivaux sang scopuli Sicile socii sort Sychée talia tandem terre tibi tombeau Troie Troyens undis urbem urbes vaisseaux vela vents Vénus verò Virgile viri Xanthe yeux
Popular passages
Page 163 - S'est-il laissé fléchir à mes cris douloureux ? » At-il au moins daigné tourner vers moi les yeux ? » Prosternée à ses pieds, plaintive, suppliante, » N'at-il pas d'un front calme écouté son amante ? » Le cruel ! quand pour lui j'ai tout sacrifié, » M'at-il, pour tant d'amour, rendu quelque pitié?
Page 14 - ... accessi, viridemque ab humo convellere silvam conatus, ramis tegerem ut frondentibus aras, 25 horrendum et dictu video mirabile monstrum. nam, quae prima solo ruptis radicibus arbos vellitur, huic atro liquuntur sanguine guttae, et terram tabo maculant.
Page 16 - Eloquar, an sileam ? — gemitus lacrimabilis imo Auditur tumulo, et vox reddita fertur ad aures : +» Quid miserum, Aenea, laceras ? jam parce sepulto ; Parce pias scelerare manus. Non me tibi Troja Externum tulit, aut cruor hie de stipite manat. Heu ! fuge crudeles terras, fuge litus avarum. Nam Polydorus ego. Hie confixum ferrea texit 45 Telorum seges et jaculis increvit acutis.
Page 181 - Qui du noir Achéron représentent les eaux; Exprime un lait impur d'une herbe empoisonnée , Au flambeau de la nuit par l'airain moissonnée. Enfin, pour rendre encor le charme plus puissant Elle y joint la tumeur que le coursier naissant Apporte sur son front , et que , pour ce mystère , On enlève aussitôt à son avide mère. La reine , sans ceinture , un pied sans brodequin , Déjà tient son offrande en sa tremblante main.
Page 54 - Haec loca vi quondam et vasta convulsa ruina (tantum aevi longinqua valet mutare vetustas) 415 dissiluisse ferunt, cum protinus utraque tellus una foret: venit medio vi pontus et undis Hesperium Siculo latus abscidit, arvaque et urbes litore diductas angusto interluit aestu.
Page 242 - C'est ainsi qu'en regrets sa douleur se déclare; Mais bientôt, de son art employant le secours, Pour rappeler l'objet de ses tristes amours, Elle invoque à grands cris tous les dieux du Ténare, Les Parques, Némésis, Cerbère, Phlégéton, Et l'inflexible Hécate, et l'horrible Alecton.
Page 17 - Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, » Viens-tu troubler mon ombre, et rouvrir mes blessures? ,» Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas : » D'un insensible bois ce sang ne coule pas. » Cette contrée a vu terminer ma misère ; » Mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : » Épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! » Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien.
Page 186 - Dixit, vaginaque eripit ensem Fulmineum, strictoque ferit retinacula ferro. 580 Idem omnes simul ardor habet ; rapiuntque ruuntque ; Litora deseruere ; latet sub classibus aequor ; Adnixi torquent spumas, et caerula verrunt. Et jam prima novo spargebat lumine terras Tithoni croceum linquens Aurora cubile.
Page 163 - Je l'ai reçu, l'ingrat ! des fureurs de l'orage J'ai sauvé ses sujets , ses vaisseaux du naufrage. Je lui donne mon cœur, mon empire, ma main : O fureur ! et voilà que ce monstre inhumain Ose imputer aux dieux son horrible parjure, Me parle et d'Apollon et d'oracle el d'augure!
Page 33 - Au sortir de la mer nous offrent leurs asiles, Et, de loin dominant les flots Ioniens, Sur leurs tranquilles bords appellent les Troyens. Vain espoir ! Céléno , la reine des Harpies , Infecta ces beaux lieux de ses troupes impies : Depuis que...