PUBLIÉ D'APRÈS LES TRAVAUX LES PLUS RÉCENTS DE LA PHILOLOGIE LONDRES, 18, KING WILLIAM STREET, STRAND-LEIPZIG, 3, Koenigs-STRASSE 1869 Droits de propriété et de traduction réservés う m INTRODUCTION. I En publiant le second volume de ce travail, je me sens enhardi par la faveur avec laquelle a été accueilli le premier. De divers côtés, soit dans des correspondances particulières, soit dans des articles composés à l'occasion de mon livre, j'ai reçu des preuves de sympathie et des encouragements auxquels j'ai été singulièrement sensible; les personnes qui me les ont adressés peuvent être assurées de ma reconnaissance. Mais quelques-uns de ces témoignages m'ont trop vivement touché pour que je n'en fasse pas ici une mention spéciale. J'y ai trouvé en effet les éloges que je souhaitais le plus d'obtenir. M. Wagner, l'éminent philologue de Dresde, qui, depuis quarante ans appliqué à l'étude de Virgile, a renouvelé, dans l'édition dite quatrième de Heyne, la critique et l'interprétation du grand poëte romain, et qui a sous son propre nom publié une édition de Virgile qui fait autorité, n'a publiquement accordé la louange d'avoir, avec un esprit sérieux et rigoureusement scientifique, mis en œuvre les résultats des études de la philologie allemande sur mon sujet'. M. Hoffmann, de Vienne, a bien voulu m'accorder un témoignage à peu près semblable 2. M. Boissier, dans son Rapport sur l'Étude des lettres A 1. Neue Jahrbücher für Philologie und Pædagogik, t. XCVII, p. 145 et suiv. 2. Zeitschrift der OEster. Gymn. 1868, X. Heft, p. 730. |