Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Volume 6 |
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affez ainfi alliés Antiochus armées armées romaines auffi Augufte auroit avoient avoit barbares bataille de Cannes c'eft c'eſt c'étoit Carthage Carthaginois caufe Céfar chofes Cicéron citoyens conferver Conftantin Conftantinople confuls conquêtes déeffe dieux difcipline difoit divifions efprit empereurs ennemis eſt état étoient étoit Etoliens faifoient faifoit fans ceffe feconde fecret fénat fent fervir feul firent fituation foibleffe foit foldats font force fous fouvent fubfifter fuccès fuis fuivi fujets Gnide Goths gouvernement graces Grecs guerre Herniques Hiftoire hommes ibid immenfes jufqu'à l'ame l'efprit l'empire laiffa livre loix lorfqu'il lorfque Lucullus Macédoine magiftrats maniere ment Mithridate n'avoient n'avoit n'eft n'étoient n'y avoit nations paffer paix paroît Parthes Perfes perfonne peuple plaifir plaifirs plufieurs Plutarque Polybe Pompée pouvoient pouvoit préfent prefque prince puiffance raifon refte république richeffes rois Romains Rome Samnites ſes Sylla Syrie tems Thémire Tite-Live tribuns troupes Vénus Voyez
Popular passages
Page 128 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre.
Page 213 - J'ai paru devant les Romains, citoyen au milieu de mes concitoyens ; et j'ai osé leur dire : Je suis prêt à rendre compte de tout le sang que j'ai versé pour la république; je répondrai à tous ceux qui viendront me demander leur père, leur fils ou leur frère. Tous les Romains se sont tus devant moi.
Page 41 - État libre des gens hardis dans la guerre et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de République, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 215 - Les dieux, qui ont donné à la plupart des hommes une lâche ambition, ont attaché à la liberté presque autant de malheurs qu'à la servitude. Mais, quel que doive être le prix de cette noble liberté, il faut bien le payer aux dieux.
Page 283 - Ce qui fait ordinairement une grande pensée, c'est lorsqu'on dit une chose qui en fait voir un grand nombre d'autres, et qu'on nous fait découvrir tout d'un coup ce que nous ne pouvions espérer qu'après une grande lecture.
Page 41 - ... toujours être. Ce fut uniquement la grandeur de la république qui fit le mal, et qui changea en guerres civiles les tumultes populaires. Il...
Page 67 - Il ya de mauvais exemples qui sont pires que les crimes; et plus d'états ont péri parce qu'on a violé les mœurs que parce qu'on a violé les lois.
Page 41 - ... opposées qu'elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total. Il peut y avoir de l'union dans un état où...
Page 14 - ... cela faisait aussi une bonne armée, chacun ayant un égal intérêt, et très grand, à défendre sa patrie. Quand les lois...
Page 35 - Les cenfeurs jettoient les yeux tous les cinq ans fur la fituation aâuelle de la république , & diftribuoient de manière le peuple dans fes diverfes tribus , que les tribuns & les ambitieux ne puflent pas fe rendre maîtres des fuffrages , & que le peuple même ne pût pas abufer de fon pouvoir. Le gouvernement de Rome fut admirable , en ce que...