Beiträge zur neueren LiteraturgeschichteC. Winter., 1914 - German literature |
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allzu antiken Ausdruck autres Barckhausen beiden besonders Betrachtung bien Bossuet Brief Buch Bürger c'est causes choses Despotie Despotismus Dichter Dichterische Dinge durchaus eben eigentlich Einfluß einzelnen erst Esprit des Lois être fait fast findet Frankreich französischen Freiheit freilich ganze Gedanken Gefühl gerade Geschichte Gesellschaft Gesetz Gesetzgeber Gewalt gewiß gleichen grands großen Grunde hält Handel Haß heißt heit Herrscher Histoire véritable historischen hommes Ideal indem jetzt Kapitel keit Klemperer Klima kommt könnte Landes lassen läßt legislatorischen Leidenschaft Lettres Persanes liberté lich ließ Ludwigs XIV Lysimach Machiavelli Machiavellismus macht mais Menschen menschlichen Möglichkeit Monarchie Montes Montesquieu morales muß Natur neue Notwendigkeit Persischen Briefe peuple Philosophen point politique politischen Polygamie qu'elles qu'il quieu Recht Religion Republik republikanischen Römer römischen scheint schen schließlich Schluß sieht Sitte Sklaverei soll sozusagen Staat staatlichen ständig stark stellt Teil tesquieu tout UNIV Usbek VICTOR KLEMPERER viel vielleicht Volk Voltaire weiß wenig Werk Wesen wieder wirklich wohl zugleich
Popular passages
Page 184 - ... né di crudele, né di laudabile né d'ignominioso; anzi, posposto ogni altro rispetto, seguire al tutto quel partito che le salvi la vita, e mantenghile la libertà.
Page 88 - Il en est des livres comme du feu de nos foyers ; on va prendre ce feu chez son voisin , on l'allume chez soi, on le communique à d'autres, et il appartient à tous.
Page 103 - Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrete le pouvoir.
Page 196 - C'est ici qu'il faut se donner le spectacle des choses humaines. Qu'on voie dans l'histoire de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuples détruits, tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique, de sagesse, de prudence, de constance, de courage, ce projet d'envahir tout, si bien formé, si bien soutenu, si bien fini, à quoi aboutit-il qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres...
Page 41 - La vertu , dans une république , est une chose très simple ; c'est l'amour de la république ; c'est un sentiment, et non une suite de connoissances; le dernier homme de l'état peut avoir ce sentiment comme le premier.
Page 163 - L'Europe n'est plus qu'une nation composée de plusieurs, la France et l'Angleterre ont besoin de l'opulence de la Pologne et de la Moscovie, comme une de leurs provinces a besoin des autres : et l'État qui croit augmenter sa puissance par la ruine de celui qui le touche, s'affaiblit ordinairement avec lui.
Page 244 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 47 - Quand les sauvages de la Louisiane veulent avoir du fruit, ils coupent l'arbre au pied, et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique.
Page 205 - Nous voyons que, dans les pays où l'on n'est affecté que de l'esprit de commerce, on trafique de toutes les actions humaines et de toutes les vertus morales: les plus petites choses, celles que l'humanité demande, s'y font ou s'y donnent pour de l'argent.
Page 196 - ... politique, de sagesse, de prudence , de constance , de courage; ce projet d'envahir tout , si bien formé , si bien soutenu , si bien fini , à quoi aboutit-il , qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres? Quoi ! ce sénat...