Oeuvres complètes, Volume 2 |
Contents
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Common terms and phrases
appeloit auroient auroit avoient avoit Baluze Beaumanoir Berwick capitulaire de l'an cens chap Charlemagne Charles le Chauve Charles Martel choses citoyens clergé code combat judiciaire commerce comte coutumes crime Défontaines devoit donner donnoit ecclésiastiques édition de Baluze enfans établi Établissemens étoient étoit eût évêques faisoient faisoit falloit femmes fiefs firent françoise gens Germains gouvernement Grégoire de Tours guerre hommes libres Ibid Indes j'ai jugement justice Justinien l'abbé Dubos l'auteur l'Esprit des Lois l'usure leudes livre Loi des Lombards loi romaine loi salique loi Voconienne lois civiles lois des barbares lois politiques Louis le Débonnaire maire maréchal de Berwick mariage monarchie monnoie n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit nation noblesse parens parle paroît particuliers pays Pépin pourroit pouvoient pouvoit prince qu'un raison règle religion naturelle Ripuaires rois royaume saint Louis seigneur serfs seroient seroit temps-là terres tion tribunaux trouve usage vassaux vouloit Wisigoths
Popular passages
Page 318 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 101 - C'est ce droit des gens qui fait que, parmi nous, la victoire laisse aux peuples vaincus ces grandes choses, la vie, la liberté, les lois, les biens, et toujours la religion, lorsqu'on ne s'aveugle pas soi-même.
Page 214 - JE le dis, et il me semble que je n'ai fait cet ouvrage que pour le prouver, l'esprit de modération doit être celui du législateur; le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites.
Page 429 - Je ne puis comprendre comment les princes croient si aisément qu'ils sont tout, et comment les peuples sont si prêts à croire qu'ils ne sont rien. Aimer à lire, c'est faire un échange des heures d'ennui que l'on doit avoir en sa vie, contre des heures délicieuses.
Page 101 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci 384.
Page 139 - Posons donc pour maxime que, lorsqu'il s'agit du bien public, le iien public n'est jamais que l'on prive un particulier de son bien, ou même qu'on lui en retranche la moindre partie par une loi -'ou 'un règlement politique. Dans ce cas , il faut suivre à la rigueur la loi civile , qui est le palladium de la propriété.
Page 103 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 331 - Je n'examinerai donc les diverses religions du monde que par rapport au bien que l'on en tire dans l'état civil, soit que je parle de celle qui a sa racine dans le ciel, ou bien de celles qui ont la leur sur la terre.
Page 427 - Louis xiv , ni pacifique , ni guerrier : il avoit les formes de la justice, de la politique, de la dévotion , et l'air d'un grand roi. Doux avec ses domestiques , libéral avec ses courtisans , avide avec ses peuples , inquiet avec ses ennemis, despotique dans sa famille , roi dans sa cour, dur dans ses conseils , enfant dans celui de conscience, dupe de tout ce qui joue le prince, les ministres , les femmes et les dévots ; toujours gouvernant, et toujours gouverné, malheureux dans ses choix ,...
Page 338 - Nous sommes ici politiques, et non pas théologiens : et pour les théologiens mêmes, il ya bien de la différence entre tolérer une religion et l'approuver. Lorsque les lois d'un état ont cru devoir souffrir plusieurs religions, il faut qu'elles les obligent aussi à se tolérer entre elles.