Petits traités, Volume 2Pagnerre, 1849 - France |
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Popular passages
Page 4 - Qui reconnaît les grâces, aime à en faire; et en bannissant l'ingratitude , le plaisir de faire du bien demeure si pur, qu'il n'ya plus moyen de n'y être pas sensible.
Page 2 - Grèce de ces beaux préceptes. Il y eut des extravagants qui prirent le nom de philosophes, mais ceux qui étaient suivis étaient ceux qui enseignaient à sacrifier l'intérêt particulier, et même la vie, à l'intérêt général et au salut de l'État; et c'était la maxime la plus commune des philosophes, qu'il fallait ou se retirer des affaires publiques, ou n'y regarder que le bien public.
Page 4 - Égyptiens, les prêtres et les soldats avaient des marques d'honneur particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étaient en estime; et on ne croyait pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuaient au bien public.
Page 128 - Du travail des enfants qu emploient les ateliers, les usines et les manufactures , considéré dans les intérêts mutuels de la société, des familles et de l'industrie...
Page 1 - ... parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres , plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.
Page 99 - C'est une suite d'îlots séparés par des ruelles sombres et étroites, aboutissant à de petites cours connues sous le nom de courettes, servant tout à la fois d'égouts et de dépôts d'immondices, où règne une humidité constante en toute saison. Les fenêtres des habitations et les portes des caves s'ouvrent sur ces passages infects, au fond desquels une grille repose horizontalement sur des puisards qui servent de latrines publiques le jour et la nuit. Les habitations de la communauté sont...
Page 3 - N'en parlons pas davantage, et venons aux peuples policés. Les Égyptiens sont les premiers où l'on ait su les règles du gouvernement. Cette nation grave et sérieuse connut d'abord la vraie fin de la politique, qui est de rendre la vie commode et les peuples heureux.
Page 72 - ... presque toujours dépourvus de meubles et d'ustensiles de ménage. Le foyer domestique des malheureux habitants de ces réduits , se compose d'uNE LITIÈRE DE PAILLE EFFONDRÉE, SANS DRAPS NI COUVERTURES, et leur vaisselle consiste en un pot de bois ou de grès écorné qui sert à tous les usages. LES ENFANTS...
Page 97 - ... ces caves ne reçoivent d'air et de jour que par la porte de l'escalier qui y conduit, et qui donne sur la rue ; leur étendue est rarement de deux mètres à deux mètres et demi de hauteur sur cinq mètres de côté, et il y en a une infinité qui ont des proportions beaucoup moindres. Notre honorable confrère , M. Villermé , a caractérisé avec une triste concision le sort des malheureux qui les habitent , en disant « que pour eux le jour arrive une heure plus tard que pour les autres...
Page 71 - On n'entre dans ces maisons que par des allées basses, étroites et obscures, où souvent un homme ne peut se tenir debout. Les allées servent de lit à un ruisseau fétide chargé des eaux grasses et des immondices de toute espèce qui pleuyent de tous les étages et qui séjournent dans de petites cours mal pavées, en flaques pestilentielles.