Petits traités, Volume 2Pagnerre, 1848 - France |
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Common terms and phrases
affections âme aurait besoin bonheur cause CHAPITRE chose civile civilisation commence commun condition conjugale conséquence contraire corps cours créé d'être destinée devoir Dieu dire divine doit domestique donner douleur doute effet également enfants esprit établissements état facultés famille femme fond force forme général gouvernement Grèce hommes humaine institutions intelligence jours juste justice l'âme l'amour l'autre l'égalité l'esprit l'État l'homme l'humanité l'ordre l'un législateur liberté libre lien lieu limites loin lois lui-même main maladies médecine ment mieux monde morale moyens nations nature naturel nécessaire nombre parler particulier passions peine pensée père personne peuple philosophie place porte premier présent propre propriétaire propriété Providence puisse qu'à qu'en qu'une raison rapports règle rendre reste rien s'il santé saurait science sens sentiment serait seulement siècle social société soins sorte souvent succession suite sujet surtout terre tion traité travail trouve vérité vertu vice villes voie volonté vrai
Popular passages
Page 167 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Page 41 - Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789 (placée ensuite en tête de la Constitution de 1791) Les représentants du peuple français, constitués en ASSEMBLÉE NATIONALE, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements...
Page 122 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 122 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 133 - D'avoir assez de vie, ou de persévérance? Et Dieu, qui tient votre âme et vos jours dans sa main, Promet-il à. vos vœux de le pouvoir demain? Il est toujours tout juste et tout bon; mais sa grâce Ne descend pas toujours avec même efficace; Après certains moments que perdent nos longueurs, Elle quitte ces traits qui pénètrent les cœurs; Le nôtre s'endurcit, la repousse, l'égare : Le bras qui la versait en devient plus avare, Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement,...
Page 105 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 60 - Enfin je tiens que Dieu ne saurait agir comme au hasard par un décret absolument absolu, ou par une volonté indépendante de motifs raisonnables. Et je suis persuadé qu'il est toujours mû, dans la dispensation de ses grâces, par des raisons où entre la nature des objets ; autrement il n'agirait point suivant la sagesse...
Page 114 - Une propriété particulière est un bien acquis en vertu des lois. La loi seule constitue la propriété, parce qu'il n'ya que la volonté politique qui puisse opérer la renonciation de tous et donner un titre commun, un garant à la jouissance d'un seul.
Page 18 - Pater ipse colendi Haud facilem esse viam voluit, primusque per artem Movit agros curis acuens mortalia corda, Nee torpere gravi passus sua regna veterno.
Page 10 - Martyrs du travail, levez-vous, et parlez ! Dites comme on spéculait, dans les hôpitaux, sur les aliments et les remèdes qu'ordonnaient pour vous les médecins ! Dites quels soins on prenait de votre corps et de votre âme ! Dites comment la fraude était partout ! quels poisons la spéculation mêlait au pain...