Œuvres, Volume 13Giguet et Michaud, 1811 - French literature |
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... vents , la nature des lieux , Des anciens laboureurs l'usage héréditaire , Et les biens que prodigue ou refuse une terre . Dans ces riches vallons la moisson jaunira ; Sur ces coteaux riants la grappe noircira : Ici sont des vergers qu ...
... vents , la nature des lieux , Des anciens laboureurs l'usage héréditaire , Et les biens que prodigue ou refuse une terre . Dans ces riches vallons la moisson jaunira ; Sur ces coteaux riants la grappe noircira : Ici sont des vergers qu ...
Page 65
... vents froids ( 4 ) le souffle la resserre , Tandis qu'elle est traitable , on façonne la terre : De tes taureaux nerveux aiguillonne les flancs ; Sème l'orge ( 4 ) , le lin , les pavots nourrissants ; Dum siccâ tellure licet , dum ...
... vents froids ( 4 ) le souffle la resserre , Tandis qu'elle est traitable , on façonne la terre : De tes taureaux nerveux aiguillonne les flancs ; Sème l'orge ( 4 ) , le lin , les pavots nourrissants ; Dum siccâ tellure licet , dum ...
Page 67
... vents leurs ondes jaunissantes ? Attends jusqu'au lever ( 47 ) de la Couronne d'or . Plusieurs jettent leurs grains quand Maïa luit encor : Mais la terre à regret reçoit cette semence , Et de maigres épis trompent leur espérance . La ...
... vents leurs ondes jaunissantes ? Attends jusqu'au lever ( 47 ) de la Couronne d'or . Plusieurs jettent leurs grains quand Maïa luit encor : Mais la terre à regret reçoit cette semence , Et de maigres épis trompent leur espérance . La ...
Page 74
... coeli menses et sidera serva , Frigida Saturni sese quò stella receptet , Quos ignis coelo Cyllenius erret iu orbes . In primis venerare deos , atque annua magnæ J'ai vu les vents , grondant sur ces moissons superbes 74 GEORGICORUM LIB . I.
... coeli menses et sidera serva , Frigida Saturni sese quò stella receptet , Quos ignis coelo Cyllenius erret iu orbes . In primis venerare deos , atque annua magnæ J'ai vu les vents , grondant sur ces moissons superbes 74 GEORGICORUM LIB . I.
Page 75
Jacques Delille. J'ai vu les vents , grondant sur ces moissons superbes , Déraciner les blés , se disputer les gerbes ... vent croît , l'air frémit d'horribles sifflements ; En torrents redoublés les vastes cieux se fondent ; La rive au ...
Jacques Delille. J'ai vu les vents , grondant sur ces moissons superbes , Déraciner les blés , se disputer les gerbes ... vent croît , l'air frémit d'horribles sifflements ; En torrents redoublés les vastes cieux se fondent ; La rive au ...
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Common terms and phrases
abeilles acanthi æquor æthera aliæ apibus arbres arbrisseaux arva atque Bacchus bois brebis brillant brûlants Buffon Cérès champs char cieux circum cire coeli Columelle coursier cùm Cyrène dieux différentes domté eaux Émathie essaims etiam Eurydice fécondes feuillage fleurs fleuve flots flumina forêts foule froid fruits Géorgiques grains guérets hæc herbas Hésiode hexagones hiems Hinc ille illum ingenti inter ipsa ipse j'ai jour l'agriculture l'air l'hiver l'onde labor laboureur langue latè Latins littore malè miel moissons morceau namque nature neque nocte nourrit Nunc Nymphes omnes Omnia ondes orbem pecori Pélops peuple plaines plante Pline poëme poésie poète préceptes primùm printemps propolis quæ quæque quàm Quid quoque Romains roule ruche sæpè sese seulement sillons soleil sort sylvis tantùm taureau Taygète tecta terræ terre testudine texte Théophraste Thessalie Thrace tibi troupeaux vallons Varron verò vigne Virgile Virgile parle voit zéphyrs
Popular passages
Page 239 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 155 - Felix qui potuit rerum cognoscere causas, Atque metus omnes, et inexorabile fatum Subjecit pedibus, strepitumque Acherontis avari.
Page 46 - Dryadesque puellae: munera vestra cano); tuque, o, cui prima frementem fudit equum magno tellus percussa tridenti, Neptune; et cultor nemorum, cui pinguia Ceae ter centum nivei tondent dumeta iuvenci; 1 5 ipse nemus linquens patrium saltusque Lycaei Pan, ovium custos, tua si tibi Maenala curae, adsis, o Tegeaee, favens...
Page 54 - Et, cum exustus ager morientibus aestuat herbis, Ecce supercilio clivosi tramitis undam Elicit ? illa cadens raucum per levia murmur Saxa ciet, scatebrisque arentia temperat arva.
Page 239 - ... il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle ; mais docile...
Page 181 - La tragédie, informe et grossière en naissant, N'était qu'un simple chœur, où chacun, en dansant Et du dieu des raisins entonnant les louanges, S'efforçait d'attirer de fertiles vendanges. Là, le vin et la joie éveillant les esprits, Du plus habile chantre un bouc était le prix. Thespis fut le premier qui, barbouillé de lie...
Page 25 - ... abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur des périphrases ; enfin d'être long, de peur d'être bas ; de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces gentilshommes ruinés, qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger.
Page 126 - Media fert tristis sucos tardumque saporem felicis mali, quo non praesentius ullum, pocula si quando saevae infecere novercae, miscueruntque herbas et non innoxia verba, auxilium venit ac membris agit atra venena.
Page 106 - D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre ; Les flots en ont frémi , l'air en est ébranlé , Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure , Dont le son lent et sourd attriste la nature.