Œuvres, Volume 13Giguet et Michaud, 1811 - French literature |
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... abeilles est une tradition que Virgile adopta sans doute , moins comme naturaliste que comme poète , parce qu'elle amène cette belle fable d'Aristée , qui est reconnue pour un chef - d'œuvre de sentiment et de poésie , et dont on ...
... abeilles est une tradition que Virgile adopta sans doute , moins comme naturaliste que comme poète , parce qu'elle amène cette belle fable d'Aristée , qui est reconnue pour un chef - d'œuvre de sentiment et de poésie , et dont on ...
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... abeilles , tous ces objets qui , malgré la dépravation de nos mœurs , les préjugés de l'or- gueil , ont des droits si puissants sur notre ame ; voilà ce que présente le poëme de Virgile : il est riche comme la na- ture , il est ...
... abeilles , tous ces objets qui , malgré la dépravation de nos mœurs , les préjugés de l'or- gueil , ont des droits si puissants sur notre ame ; voilà ce que présente le poëme de Virgile : il est riche comme la na- ture , il est ...
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... abeilles , qu'à des êtres inanimés , comme les arbres . On ne peut lire , à la fin du second livre , l'éloge de la vie champêtre dont j'ai déjà parlé , sans être tenté de vivre à la campagne , et sans préfé- rer , contre le sentiment de ...
... abeilles , qu'à des êtres inanimés , comme les arbres . On ne peut lire , à la fin du second livre , l'éloge de la vie champêtre dont j'ai déjà parlé , sans être tenté de vivre à la campagne , et sans préfé- rer , contre le sentiment de ...
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... abeilles et des fourmis , ici il compare les occupations des abeilles à celles des Cyclopes . Enfin , le quatrième livre des Georgiques semble être un prélude de l'Énéïde : en parlant si magnifiquement d'un insecte , il nous annonçait ...
... abeilles et des fourmis , ici il compare les occupations des abeilles à celles des Cyclopes . Enfin , le quatrième livre des Georgiques semble être un prélude de l'Énéïde : en parlant si magnifiquement d'un insecte , il nous annonçait ...
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... abeilles , tous ces tableaux délicieux qui ont inspiré l'auteur des Géorgiques , que j'ai cru sentir quelque étincelle du feu nécessaire pour le bien rendre . Jamais je n'ai trouvé la nature plus belle qu'en lisant Virgile ; jamais je n ...
... abeilles , tous ces tableaux délicieux qui ont inspiré l'auteur des Géorgiques , que j'ai cru sentir quelque étincelle du feu nécessaire pour le bien rendre . Jamais je n'ai trouvé la nature plus belle qu'en lisant Virgile ; jamais je n ...
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Common terms and phrases
abeilles acanthi æquor æthera aliæ apibus arbres arbrisseaux arva atque Bacchus bois brebis brillant brûlants Buffon Cérès champs char cieux circum cire coeli Columelle coursier cùm Cyrène dieux différentes domté eaux Émathie essaims etiam Eurydice fécondes feuillage fleurs fleuve flots flumina forêts foule froid fruits Géorgiques grains guérets hæc herbas Hésiode hexagones hiems Hinc ille illum ingenti inter ipsa ipse j'ai jour l'agriculture l'air l'hiver l'onde labor laboureur langue latè Latins littore malè miel moissons morceau namque nature neque nocte nourrit Nunc Nymphes omnes Omnia ondes orbem pecori Pélops peuple plaines plante Pline poëme poésie poète préceptes primùm printemps propolis quæ quæque quàm Quid quoque Romains roule ruche sæpè sese seulement sillons soleil sort sylvis tantùm taureau Taygète tecta terræ terre testudine texte Théophraste Thessalie Thrace tibi troupeaux vallons Varron verò vigne Virgile Virgile parle voit zéphyrs
Popular passages
Page 239 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 155 - Felix qui potuit rerum cognoscere causas, Atque metus omnes, et inexorabile fatum Subjecit pedibus, strepitumque Acherontis avari.
Page 46 - Dryadesque puellae: munera vestra cano); tuque, o, cui prima frementem fudit equum magno tellus percussa tridenti, Neptune; et cultor nemorum, cui pinguia Ceae ter centum nivei tondent dumeta iuvenci; 1 5 ipse nemus linquens patrium saltusque Lycaei Pan, ovium custos, tua si tibi Maenala curae, adsis, o Tegeaee, favens...
Page 54 - Et, cum exustus ager morientibus aestuat herbis, Ecce supercilio clivosi tramitis undam Elicit ? illa cadens raucum per levia murmur Saxa ciet, scatebrisque arentia temperat arva.
Page 239 - ... il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle ; mais docile...
Page 181 - La tragédie, informe et grossière en naissant, N'était qu'un simple chœur, où chacun, en dansant Et du dieu des raisins entonnant les louanges, S'efforçait d'attirer de fertiles vendanges. Là, le vin et la joie éveillant les esprits, Du plus habile chantre un bouc était le prix. Thespis fut le premier qui, barbouillé de lie...
Page 25 - ... abandonné les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur des périphrases ; enfin d'être long, de peur d'être bas ; de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces gentilshommes ruinés, qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger.
Page 126 - Media fert tristis sucos tardumque saporem felicis mali, quo non praesentius ullum, pocula si quando saevae infecere novercae, miscueruntque herbas et non innoxia verba, auxilium venit ac membris agit atra venena.
Page 106 - D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre ; Les flots en ont frémi , l'air en est ébranlé , Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure , Dont le son lent et sourd attriste la nature.