De l'esprit des lois, précédé de l'analyse de cet ouvrage par d'AlembertP. Pourrat fres, 1834 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 4
... prince . La nature du despotisme exige que le tyran exerce son autorité ou par lui seul , ou par un seul qui le représente . Quant au principe des trois gouvernements , celui de la démocratie est l'amour de la république , c'est- à ...
... prince . La nature du despotisme exige que le tyran exerce son autorité ou par lui seul , ou par un seul qui le représente . Quant au principe des trois gouvernements , celui de la démocratie est l'amour de la république , c'est- à ...
Page 16
... prince . Enfin il est des nations auxquelles le commerce est désavantageux : ce ne sont pas celles qui n'ont besoin de rien , mais celles qui ont besoin de tout : paradoxe que l'auteur rend sensible par l'exemple de la Pologne , qui ...
... prince . Enfin il est des nations auxquelles le commerce est désavantageux : ce ne sont pas celles qui n'ont besoin de rien , mais celles qui ont besoin de tout : paradoxe que l'auteur rend sensible par l'exemple de la Pologne , qui ...
Page 29
... une raison primitive ; et les lois sont * La loi , dit Plutarque , est la reine de tous mortels et immortels . Au traité , Qu'il est requis qu'un prince soit savant . les rapports qui se trouvent entre elle et les dif-
... une raison primitive ; et les lois sont * La loi , dit Plutarque , est la reine de tous mortels et immortels . Au traité , Qu'il est requis qu'un prince soit savant . les rapports qui se trouvent entre elle et les dif-
Page 53
... prince est la source de tout pouvoir politique et civil . Ces lois fondamentales supposent nécessairement des canaux moyens par où coule la puissance : car , s'il n'y a dans l'état que la volonté momentanée et capricieuse d'un seul ...
... prince est la source de tout pouvoir politique et civil . Ces lois fondamentales supposent nécessairement des canaux moyens par où coule la puissance : car , s'il n'y a dans l'état que la volonté momentanée et capricieuse d'un seul ...
Page 56
... prince n'est pas un dépôt conve- nable : il est , par sa nature , le dépôt de la volonté momentanée du prince qui exécute , et non pas le dépôt des lois fondamentales . De plus , le conseil du monarque change sans cesse ; il n'est point ...
... prince n'est pas un dépôt conve- nable : il est , par sa nature , le dépôt de la volonté momentanée du prince qui exécute , et non pas le dépôt des lois fondamentales . De plus , le conseil du monarque change sans cesse ; il n'est point ...
Contents
40 | |
49 | |
57 | |
64 | |
69 | |
83 | |
109 | |
121 | |
312 | |
314 | |
315 | |
316 | |
318 | |
323 | |
326 | |
328 | |
127 | |
136 | |
143 | |
151 | |
157 | |
165 | |
171 | |
172 | |
175 | |
179 | |
180 | |
183 | |
185 | |
187 | |
188 | |
189 | |
191 | |
194 | |
196 | |
197 | |
199 | |
201 | |
203 | |
204 | |
205 | |
207 | |
209 | |
210 | |
211 | |
214 | |
215 | |
216 | |
217 | |
219 | |
225 | |
231 | |
238 | |
244 | |
252 | |
254 | |
255 | |
256 | |
258 | |
259 | |
260 | |
262 | |
264 | |
267 | |
269 | |
270 | |
272 | |
273 | |
275 | |
276 | |
277 | |
279 | |
285 | |
286 | |
287 | |
288 | |
290 | |
291 | |
293 | |
330 | |
333 | |
343 | |
347 | |
348 | |
349 | |
351 | |
352 | |
356 | |
358 | |
360 | |
361 | |
364 | |
365 | |
371 | |
377 | |
383 | |
389 | |
396 | |
402 | |
408 | |
414 | |
425 | |
431 | |
432 | |
434 | |
437 | |
438 | |
440 | |
442 | |
444 | |
445 | |
448 | |
449 | |
450 | |
451 | |
453 | |
454 | |
455 | |
456 | |
458 | |
460 | |
461 | |
462 | |
463 | |
466 | |
468 | |
471 | |
474 | |
477 | |
478 | |
479 | |
480 | |
482 | |
483 | |
485 | |
487 | |
488 | |
489 | |
490 | |
491 | |
493 | |
500 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
¹ Voyez abus accusé affaires Aristote Arrien Athènes auroit avoient avoit blique c'étoit chap CHAPITRE VII Chine choses citoyen climat connoître conquête constitution consuls corruption crime de lèse-majesté décemvirs démocratie Denys d'Halicarnasse doit doivent donner empereurs enfants esclaves établi états despotiques étoient étoit faisoit falloit femmes foiblesse force fortune François Pyrard gens gouvernement despotique grandeur Grecs guerre hommes Ibid l'aristocratie l'esclavage L'ESPRIT DES LOIS l'état l'honneur Lacédémone liberté lois civiles lois somptuaires luxe magistrats magistrature maître ment mœurs monarchie monarque n'avoit nation nature nobles paroît particuliers patriciens pays peine père Perse personne peuple plébéiens Plutarque politique pourroit pouvoient pouvoir préteur prince principe provinces puissance de juger puissance exécutrice puissance législative punir raison rapport règle religion répu république répudiation richesses rois Romains Rome s'il sance sénat sénateurs sent seroient seroit servitude Servius Tullius seul sorte sujets sûreté tion Tite-Live toyens tribunal tributs tyrannie vertu
Popular passages
Page 37 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien , et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible , sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 40 - Je suppose trois définitions , ou plutôt trois faits : l'un , que «le gouver« nement républicain est celui où le peuple en « corps, ou seulement une partie du peuple , a la « souveraine puissance : le monarchique , celui où « un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies : « au lieu que , dans le despotique , un seul , sans « loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et
Page 39 - Elles doivent être relatives au physique du pays; au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs, ou pasteurs: elles doivent se rapporter au...
Page 294 - La puissance de juger ne doit pas être donnée à un sénat permanent , mais exercée par des personnes tirées du corps du peuple 1 dans certains temps de l'année , de la manière prescrite par la loi, pour former un tribunal qui ne dure qu'autant que la nécessité le requiert.
Page 27 - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve, je me croirais le plus heureux des mortels.
Page 81 - L'extrême obéissance suppose de l'ignorance dans celui qui obéit; elle en suppose même dans celui qui commande; il n'a point à délibérer, à douter, ni à raisonner; il n'a qu'à vouloir.
Page 167 - C'est qu'on augmentoit les supplices à mesure qu'on manquoit de mœurs. Il seroit aisé de prouver que, dans tous ou presque tous les États d'Europe, les peines ont diminué ou augmenté à mesure qu'on s'est plus approché ou plus éloigné de la liberté. Dans les pays despotiques on est si malheureux, que l'on y craint plus la mort qu'on ne regrette la vie; les supplices y doivent donc être plus rigoureux.
Page 42 - Le peuple qui a la souveraine puissance doit faire par lui-même tout ce qu'il peut bien faire ; et ce qu'il ne peut pas bien faire , il faut qu'il le fasse par ses ministres.
Page 309 - Ce n'est point à moi à examiner si les Anglais jouissent actuellement de cette liberté ou non. Il me suffit de dire qu'elle est établie par leurs lois, et je n'en cherche pas davantage.
Page 412 - ... d'une telle situation est l'augmentation perpétuelle des tributs, et, ce qui prévient tous les remèdes à venir, on ne compte plus sur les revenus, mais on fait la guerre avec son capital. Il n'est pas inouï de voir des États hypothéquer leurs fonds pendant la paix même, et employer, pour se ruiner, des moyens, qu'ils appellent extraordinaires, et qui le sont si fort que le fils de famille le plus dérangé les imagine à peine.