| Publius Vergilius Maro - 1804 - 390 pages
...fraîcheur de l'air , les doux » rayons de la lune , le frémissement argenté dont l'eau M brilloit autour de nous , le concours des plus agréables »...sensations, la présence même de cet objet chéri , rien ne » pouvoit détourner de mon cœur mille réflexions doulou» reuses. » Àt non infi'lii animi Pbccnissa... | |
| Virgil - 1808 - 410 pages
...fraîcheur de l'air, les doux » rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau » brilloit autour de nous, le concours des plus agréables »...sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne » pouvoit détourner de mon cœur mille réflexions douloua reuses. » 56) PAGE 66, VERS 9. At non... | |
| Jacques Delille - French literature - 1809 - 400 pages
...fraîcheur de l'air, les doux » rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau » brilloit autour de nous, le concours des plus agréables » sensations, la présence même de cet objet chéfi, rien ne » pouvoit détourner de mon cœur mille réflexions doulblt» reuscs. » œ > PAGE... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 636 pages
...fraîcheur de l'air , les doux rayons de la lune , le frémissement argenté dont l'eau In il loi i autour de nous , le concours des plus- agréables..., la présence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 670 pages
...la fraîcheur de l'air ,. les doux rayons de la lune , le frémissement argenté dont l'eau brilloit autour de nous , le concours des plus agréables sensations..., la présence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 620 pages
...je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein , la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune , le frémissement argenté..., la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jacques Delille - English poetry - 1824 - 366 pages
...fraîcheur de l'air, les doux « rayons de la lune, le fre'missement argenté dont l'eau «brilloit autour de nous, le concours des plus agréables «..., la présence même de cet objet chéri, rien ne « pou voit détourner de mon cœur mille réflexions doulou« reuses. « (55) Oculisve aut pectore... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 574 pages
...serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brilloit autour de nous, le concours des plus agréables sensations..., la présence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 568 pages
...serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brilloit autour de nous, le concours des plus agréables sensations..., la présence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. ,< . Je commençai par me rappeler une... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 436 pages
..., la fraîcheur de l'air, les doux rayons de laluiio, le frémissement argenté dont l'eaubrilloit autour de nous, le concours des plus agréables sensations..., la présence même de cet objet chéri , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
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