Oeuvres de Montesquieu, Volume 4Dalibon, 1822 |
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antrustions appelé appeloit Aulu-Gelle auroit avoient avoit Beaumanoir capitulaires cens chap CHAPITRE VII Charlemagne Charles-le-Chauve choses Cicéron citoyens codes des lois combat judiciaire comte coutumes crime Défontaines Denys d'Halicarnasse devoient devoit donner donnoit ecclésiastiques édition de Baluze enfans établi Établissemens état étoient étoit faisoient faisoit falloit femmes fideicommis fiefs firent Fragmens d'Ulpien fussent Gaules gens Germains Gondebaud Goths gouvernement Grégoire de Tours guerre hommes libres Ibid justice Justinien l'abbé Dubos l'an l'argent l'édit de Pistes l'état l'usage du combat législateur leudes loi des Lombards loi politique loi romaine loi salique loi Voconienne lois civiles lois des barbares Louis-le-Débonnaire mariage monarchie monnoie n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit nation Pappienne parens paroît particuliers payoit pays père peuples Plutarque pouvoient pouvoit prince puni qu'un raison règlemens régler religion république ripuaires rois saint Louis seigneur serfs seroit succession temps-là terres tion Tite-Live tribunaux usage vassaux Verrès vouloit Wisigoths
Popular passages
Page 129 - Dans un pays où l'on a le malheur d'avoir une religion que Dieu n'a pas donnée, il est toujours nécessaire qu'elle s'accorde avec la morale , parce que la religion , même fausse , est le meilleur garant que les hommes puissent avoir de la probité des hommes.
Page 420 - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales : un chêne antique s'élève ' ; l'œil en voit de loin les feuillages ; il approche ; il en voit la tige ; mais il n'en aperçoit point les racines; il faut percer la terre pour les trouver.
Page 127 - ... trèsbien les droits de la défense naturelle ; plus ils croiraient devoir à la religion, plus ils penseraient devoir à la patrie. Les principes du christianisme bien gravés dans le cœur , seroient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 388 - Je le dis, et il me semble que je n'ai fait cet ouvrage que pour le prouver : l'esprit de modération 'doit être celui du législateur; le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites.
Page 123 - Que, d'un côté, l'on se mette devant les yeux les massacres continuels des rois et des chefs grecs et romains , et de l'autre la destruction des peuples et des villes par ces mêmes chefs...
Page 122 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 123 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 121 - La question n'est pas de savoir s'il vaudroit mieux qu'un certain homme ou qu'un certain peuple n'eût point de religion que d'abuser de celle qu'il a; mais de savoir quel est le moindre mal, que l'on abuse quelquefois de la religion, ou qu'il n'y en ait point du tout parmi les hommes.
Page 72 - Partout où il se trouve une place où deux personnes peuvent vivre commodément , il se fait un mariage. La nature y porte assez lorsqu'elle n'est point arrêtée par la difficulté de la subsistance.
Page 276 - Chartres , que lorsque de nouveaux fiefs s'établissaient, les rois se privaient du droit de les y envoyer. Ainsi , lorsque tout à peu près fut devenu fief, ces officiers ne purent plus être employés; il n'y eut plus de loi commune, parce que personne ne pouvait faire observer la loi commune.