Histoire naturelle, Volume 1, Part 2P. Didot l'ainé ... et Firmin Didot, 1799 - Natural history |
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Common terms and phrases
Aral assez auront avoit baie de Hudson bancs Bosphore brasses cailloux calcaires calcinables carrières Caspienne chaîne de montagnes collines considérable continent coquillages coquilles côté couche de terre courans craie d'autres d'occident en orient d'orient en occident degré détroit détroit de Davis différentes direction élevées embouchure endroits environ espèce étoient étoit fleuves forme fossiles glaces glaises globe golfe Persique grès Groenland hautes montagnes hauteur horizontales îles j'ai jusqu'à Kamtschatka l'Amérique l'argille l'eau l'Océan l'orient Lapponie largeur lieues de longueur limon lits marbres Marly-la-Ville marne masse matières Méditerranée ment mer Baltique mer Caspienne mer méditerranée mer Noire mer Rouge méridionale midi navigateurs nord au sud nouvelle Zemble observations ordinairement orientales par-tout paroissent paroît pays pente Pérou pétoncles pierres plaines pourroit presque productions marines produit profondeur quantité d'eau reçoit rivière roc vif rochers sable vitrifiable seroit sommet sorte Spitzberg surface tagnes terrain tion toises trouve des coquilles vitesse vitrescibles
Popular passages
Page 78 - ... alors ; que des animaux, et surtout des poissons, avaient donné aux pierres figurées toutes leurs différentes figures, etc., et il défia hardiment toute l'école d'Aristote d'attaquer ses preuves. C'est Bernard Palissy, Saintongeois, aussi grand physicien que la nature seule en puisse former.
Page 273 - Recueil des voyages qui ont servi à l'établissement de la compagnie des Indes de Hollande, un petit journal historique au sujet des...
Page 75 - J'AI souvent examiné des carrières du haut en bas, dont les bancs étoient remplis de coquilles ; j'ai vu des collines entières qui en sont composées , des chaînes de rochers qui en contiennent une grande quantité dans toute leur étendue. Le volume de ces productions de la mer est étonnant, et le nombre de ces dépouilles d'animaux marins , est si prodigieux , qu'il n'est guère possible d'ima*giner qu'il puisse y en avoir davantage dans la mer. C'est en considérant cette multitude innombrable...
Page 255 - Il ya sur la surface de la terre des contrées élevées qui paraissent être des points de partage marqués par la nature pour la distribution des eaux. Les environs du mont Saint-Gothard sont un de ces points en Europe : un autre point est le pays situé entre les provinces de Belozera et de Vologda en Moscovie, d'où descendent, des rivières dont les unes vont à la mer Blanche , d'autres à la...
Page 383 - Des courans , dont on ne saurait expliquer la violence qu'en les faisant partir de quelque mer occidentale , tiennent ce lieu débarrassé de glaces , tandis que le reste du golfe en est entièrement couvert. Enfin les baleines, qui cherchent constamment dans...
Page 26 - Dans les pays inhabités , dans les lieux où on ne coupe pas les bois , où les animaux ne broutent pas les plantes , cette couche de terre végétale s'augmente assez considérablement avec le tems ; dans tous les...
Page 175 - Alpes en quatorze endroits différens, deux fois l'Apennin , et fait plusieurs tours dans les environs de ces montagnes et dans le mont Jura, que toutes les montagnes sont formées dans leurs contours à peu près eomme les ouvrages de fortification.
Page 136 - Voltaire : j'eus regret alors à mes expressions. 'Voilà la vérité, je la déclare autant pour M. de Voltaire , que pour moi-même et pour la postérité , à laquelle je ne voudrais pas laisser douter de la haute estime que j'ai toujours eue pour un homme aussi rare, et qui fait tant d'honneur à son siècle.
Page 85 - ... sur la Terre , étant les dépouilles de plusieurs siècles , elles ont dû former un volume fort considérable. Il ya , comme on voit , une prodigieuse quantité de coquilles bien conservées dans les marbres , dans les pierres à chaux , dans les craies , dans les marnes , etc. ; on les...
Page 307 - ... qui est près de trois fois plus longue et presque aussi étroite que le golfe Persique, ne reçoit aucun fleuve dont le mouvement puisse s'opposer à celui du flux, au lieu que le golfe Persique en reçoit de très-considérables à son extrémité la plus avancée dans les terres.