L'Énéide, Volume 2Michaud Frères, 1813 |
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... terre à l'instant s'entr'ouvre sous mes pas ; >> Que l'enfer m'engloutisse en ses royaumes sombres , >> Ces royaumes affreux , pâle séjour des ombres , » Si jamais , ô pudeur ! je viole ta loi ! >> Celui qui le premier reçut jadis ma ...
... terre à l'instant s'entr'ouvre sous mes pas ; >> Que l'enfer m'engloutisse en ses royaumes sombres , >> Ces royaumes affreux , pâle séjour des ombres , » Si jamais , ô pudeur ! je viole ta loi ! >> Celui qui le premier reçut jadis ma ...
Page 21
... terre l'enfanta pour se venger des cieux , Elle aime à publier les faiblesses des dieux : Digne soeur des géants qu'écrasa leur tonnerre , Son front est dans l'olympe , et ses pieds sur la terre ; Rien ne peut égaler son bruit ...
... terre l'enfanta pour se venger des cieux , Elle aime à publier les faiblesses des dieux : Digne soeur des géants qu'écrasa leur tonnerre , Son front est dans l'olympe , et ses pieds sur la terre ; Rien ne peut égaler son bruit ...
Page 27
... terre et l'espace des airs , Effleure mollement le rivage des mers . Ses pieds ailés à peine ont touché le rivage Où d'humbles toits font place aux pompes de Carthage : Il voit le chef troyen de ces grands monuments Diriger les travaux ...
... terre et l'espace des airs , Effleure mollement le rivage des mers . Ses pieds ailés à peine ont touché le rivage Où d'humbles toits font place aux pompes de Carthage : Il voit le chef troyen de ces grands monuments Diriger les travaux ...
Page 31
... terre un regard immobile . « Cessez , dit - il enfin , un reproche inutile : >> Grande reine ! mon coeur se plaît à l'avouer , » De vos soins généreux j'ai lieu de me louer ; >> J'en conserve à jamais la mémoire chérie ; >> Leur ...
... terre un regard immobile . « Cessez , dit - il enfin , un reproche inutile : >> Grande reine ! mon coeur se plaît à l'avouer , » De vos soins généreux j'ai lieu de me louer ; >> J'en conserve à jamais la mémoire chérie ; >> Leur ...
Page 41
... terre ; Lui , ferme sur son roc , triomphe de leur guerre , Soutient pompeusement sa tête dans les airs , Et plonge sa racine au gouffre des enfers : Tel était le héros ; son ame courageuse Soutient de mille assauts la tempête orageuse ...
... terre ; Lui , ferme sur son roc , triomphe de leur guerre , Soutient pompeusement sa tête dans les airs , Et plonge sa racine au gouffre des enfers : Tel était le héros ; son ame courageuse Soutient de mille assauts la tempête orageuse ...
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Common terms and phrases
Aceste Æneas æquora æther affreux agmina amante amor amour Anchise antè arma armis arva Ascagne atque brillante Carthage ciel cieux cœlum cœur conjux corpore cùm d'Aceste d'Anchise Darès Denys d'Halicarnasse destin dictis Dido Didon dieu dieux divine Eneas Énée enfers Eryx Eurytion fata feux fils flamme flots flotte fureur genus gloire guerrier hæc Haud héros Homère Hunc ille imité Infelix ingens inter ipse Jamque Junon Jupiter l'amour L'ÉNÉIDE l'onde lieux littora livre magni main malheureux mihi Misène Mnesthée mort Multa Nisus nuit nunc ombres omnes omnia Palinure pectore pelago Pergame peuple Phlégéthon pleurs poète prêtresse primùm procul puppes quæ Quam Quid Quis Quò quondam quos reine rivage rivaux sese seul Sibylle Sicile soror sort super talia tandem temple terrâ terre Teucri tibi triste Troie Troyens Tuque umbras urbem urbes vaisseaux Vénus verò Virgile viri voix vole yeux
Popular passages
Page 265 - vers de Virgile, en faisant dire à Mentor : « L'âme » universelle du monde est comme un grand océan » de Lumière : nos esprits sont comme de petits ruis» seaux qui en sortent et qui y retournent pour s'y
Page 82 - Malheureuse ! voilà comme tu m'as perdue ! Au jour que je fuyais c'est toi qui m'as rendue. Tes prières m'ont fait oublier mon devoir : J'évitais Hippolyte , et tu me l'as fait voir.
Page 81 - de m'égayer , m'attristait. Peu à peu je sentis • augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un » ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de
Page 185 - II n'est que trop aisé de descendre aux enfers, » Les palais de Pluton nuit et jour sont ouverts ; » Mais rentrer dans la vie et revoir la lumière » Est un bonheur bien rare, un vœu bien téméraire. » Le destin n'accorda ce privilège heureux » Qu'à peu de favoris issus du sang des dieux.
Page 117 - de qui le bras, sous les murs d'Ilion, Près du tombeau d'Hector, par un combat célèbre Honorant ce héros et sa pompe funèbre, De l'énorme Butés, ce Bébryce orgueilleux, Qui comptait Amycus au rang de ses aïeux, Terrassa la fureur, et de sa main puissante Coucha son front altier sur la poudre sanglante. Il se
Page 37 - sien. De ces mers où le jour va plonger sa lumière , Des bornes de l'Afrique où sur sa tête altière L'infatigable Atlas porte le poids des cieux , Une antique prêtresse est venue en ces lieux : Consacrée aux autels des jeunes Hespérides, C'est elle qui jadis contre des mains avides
Page 195 - amers, Et des Remords rongeurs l'escorte vengeresse ; , La pâle Maladie, et la triste Vieillesse; L'Indigence en lambeaux , l'inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère, et le Dieu des combats; Le Travail qui gémit, la Terreur qui frissonne, Et la Faim qui frémit des conseils qu'elle donne; Et l'Ivresse du crime, et les Filles d'enfer
Page 49 - que du glaive cruel Ses suivantes ont vu partir le coup mortel, Ont vu sur le bûcher la reine défaillante, Dans ses sanglantes mains l'épée encor fumante. La funeste nouvelle est semée en tous lieux , Les dômes du
Page 47 - En tribut à ta reine offre un sang qu'elle abhorre : » C'est ainsi que mon ombre exige qu'on l'honore. )> Sors de ma cendre , sors, prends la flamme
Page 37 - De ma ruine , hélas ! le complice fatal. » Pour chasser de mon cœur un amour trop funeste , » II nous faut de l'ingrat détruire ce qui reste. » Elle dit, et pâlit. Mais cependant sa sœur Ne peut de son projet soupçonner la fureur. Elle n'augure pas de sa douleur cachée Un désespoir plus grand qu'à la mort de Sichée, Et dresse innocemment